SPIRIT OF SHINOBI

embrace your power




  1. ANNONCES

    21.07.24 evenement Le deuxième Évènement du forum, « Les voix du passé » est lancé ! L'ensemble des RPs sont disponibles dans la catégorie qui lui est dédiée !

    15.06.24 changement Le forum passe officiellement à l'automne 83 avec le lancement des RPs de pré-évènement !

    22.04.24 patch Le Patch .02 est disponible !

    01.02.24 patch Le Patch .01 est disponible !

    20.12.23 nouveautés La news de fin d'année est sortie, affublée de nombreux changements et nouveautés, notamment dans les mises à jour de topics, de contextes, ainsi que d'un bottin des PnJs apparus en narrations afin de faciliter leur suivi !

    31.10.23 nouveautés La news d'octobre est sortie et le forum se dote, à l'occasion d'Halloween, d'un bestiaire de yokai dédié aux joueurs ainsi que d'une nouvelle bannière ! Kumo obient également un nouveau Ninjutsu Spécial, les reliques mystiques.

    24.10.23 changement Le forum passe officiellement à l'été 83. De nouvelles trames sont apparues pour chaque faction !

    18.07.23 update Les doubles-comptes sont désormais ouverts à toutes les factions et nous mettons en place les rangs intermédiaire pour donner plus de visibilité sur l'avancée du personnage ! La faction de Kiri récupère également un bonus XP à la présentation.

    04.07.23 update Les doubles-comptes sont désormais fermés pour la faction de Kumo qui a retrouvé sa pleine attractivité : ils demeurent toutefois ouverts à Kiri ! Nous retirons également les bonus XP associés, puisque l'activité atteinte nous convient.

    01.07.23 update Le forum dispose désormais d'un thème sombre ! Reportez-vous au petit curseur sur votre droite pour changer de l'un à l'autre.

    24.06.23 NEWS ! La news de juin est sortie ! Au programme ; des précisions et changements sur notre philosophie, la faction des Errants et les paliers de progression.

    23.06.23 changement Le forum passe officiellement l'an 83 (printemps). De nouveaux enjeux sont apparus sur les contextes de chaque faction !

    Automne 83

    Cent huit ans avant notre ère, le chakra courut sur le monde comme une traînée de poudre. Venu de nulle part et de partout à la fois, il étreignit les hommes et anima leurs corps comme ceux des nouveau-nés dès leur premier souffle. Tel un raz-de-marée changeant le monde, son énergie leur offrit les prémices de ce qu’ils nommeraient « pouvoir », bien des années plus tard.

    Celui de dépasser les limites que la nature leur avait jusque-là imposées. De donner vie et corps à leurs ambitions les plus folles comme à leurs vices les plus abjects.

    Leurs chairs avaient été bénies de la grâce de l’alizée et de la force des typhons : leurs coups étaient plus précis, leurs organismes plus vigoureux. Un simple bond les menait jusqu’aux cimes des arbres majestueux du désormais Pays du Bois. Leurs pas les guidaient sans peine à travers les monts qui édifièrent bien plus tard les frontières de l’actuel Pays des Montagnes.

    Alors, ils embrassèrent cette nouveauté comme chaque bien de l’Humanité : avec le profond désir de la dompter jusqu’au moindre détail, de faire cette énergie sienne avant tant d’autres. Il leur fallut des décennies pour maîtriser ce que le plus simple shinobi peut accomplir aujourd’hui – mais ils y parvinrent, en demeurant dans la profonde ignorance de l’origine du chakra.

    Et ils comprirent. À quel point il pouvait receler la puissance de faire de l’imagination une réalité ; à quel point ils pouvaient dompter les leurs par la force et fonder les dynasties qui gouvernèrent le monde des années durant.

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    XP

    Homura

    personnages, +10 XP


    Kiri

    personnages, +10 XP


    Kumo

    personnages, +10 XP


    Errants

    personnages


  2. Image decoration
    shogunat printemps 83
    Contexte d'Homura
    Régie par la noblesse, la richesse et par un grand sens de l'honneur et de la droiture, Homura se distingue ni plus ni moins des autres villages par son caractère guerrier à la limite du comportement militaire. Les shinobis qui sont formés pour devenir des shinobis d'Homura sont, dès leur plus jeune âge ou dès l'entrée dans la formation, forcés de respecter ce code d'honneur. Il est précisé que quiconque y dérogerait se verrait sanctionné de différentes façons... des travaux d'intérêt publique à l'emprisonnement et du bannissement des terres d'Homura à la pure et simple mise à mort.

    ❈ Tout shinobi doit être capable de se sacrifier pour la cause Homura-jin.

    ❈ Tout shinobi doit être capable de donner sa vie pour ses camarades, particulièrement s'ils sont plus jeunes ou s'ils sont moins expérimentés. De la même manière, il doit un incontestable respect à ces derniers.

    ❈ Tout shinobi doit être capable de se sacrifier pour les civils.

    ❈ Tout shinobi doit être capable de réussir une mission primordiale même si cela signifie abandonner ou laisser mourir ses camarades.

    ❈ Tout shinobi doit être capable de dissimuler ses sentiments personnels ; pire que cela, il se doit de les ignorer et de les faire passer au second plan.

    ❈ Tout shinobi doit une indiscutable fidélité à sa faction. Toute information dissimulée, cachée volontairement ou toute trahison quelconque sera sévèrement sanctionnée.

    ❈ Tout shinobi doit se dévouer à son entraînement et au perfectionnement de son corps et de son esprit. Il doit respect aux siens et aux autres, tolérance aux différences, empathie aux plus faibles et rigueur dans ses efforts personnels (qui doivent être constants et variés).

    ❈ Tout shinobi doit un indiscutable respect à ses supérieurs hiérarchiques et doit obéir au doigt et à l'oeil à leurs ordres. Toute insubordination sera sévèrement sanctionnée.
    Image Personnage

    FUJIWARA SENCHI Portant sur ses épaules l'ensemble du clan Fujiwara, Senchi est un guerrier hors pair dont le jeune âge, la force d'esprit, la droiture, la témérité et les compétences l'ont rendu capable de se hisser au sommet. Un lien particulier mais inconnu le lie à Iwao, la Shogun, sans que personne ne sache trop quoi en penser. Certains le suspecteraient même d'être à l'origine de la mort de son père, bien que rien ne l'incrimine.

    Image Personnage

    HYÛGA EIMEI Figure représentante du clan Hyûga, devenu chef en l'an 68, Eimei incarne toute la fierté des siens. Droit, noble, charismatique tout en restant sobre, il semble en savoir plus qu'il ne le devrait. Il est à l'origine de l'ensemble des mouvements du clan Hyûga, car rares sont les membres de son clan osant défier ses ordres ou agir sans son aval. Il fait parti de la branche principale.

    Image Personnage

    NARA KUENAI Etant à la tête du clan Nara, Kuenai est extrêmement perspicace et dispose d'une intuition impressionnante. Très soucieuse des maux qui pèsent sur Homura, elle est parfaitement lucide vis-à-vis du comportement des siens comme de celui des autres clans et s'organise toujours dans l'ombre afin de limiter les dégâts. Certains la suspectent d'avoir assassiné Fujiwara Oda, et de nombreuses preuves mèneraient à penser qu'elle est coupable. Etrangement, elle rejette l'entière culpabilité sur Fujiwara Senchi.

    Enjeu n°1 :

    COOPÉRER AVEC KIRI ET KUMO

    65%

    Enjeu n°2 :

    CONNAÎTRE SES ENNEMIS

    10%

    Enjeu n°3 :

    VERS LES PROFONDEURS INCONNUES

    100%

    Derniers RP

    Retour au temple souterrain

    À l'été 83, un shinobi d'Homura se rend au sein du temple souterrain découvert lors de l'attaque d'Oto sur Homura, en périphérie du Shogunat. Ses découvertes mènent le lieu à son scellement complet par le clan Uzumaki, ainsi qu'à l'amnésie du genin.

    Le massacre du boucher

    À l'été 83, 90 civils sont assassinés dans la bourgade de Rindо̄ par un homme se faisant appeler « le Boucher ».
    Au terme d'un combat qui se révéla être une victoire pour l'escouade envoyée par Homura, il fut assassiné par Yamamoto Janome au moment où il s'apprêtait à leur révéler les plans de l'Alliance.
    À sa mort, le pouvoir des fils noirs, le Jiongu, réapparu à travers le monde.

    Évènement

    L'ombre derrière la guerre

    En hiver de l’an 82, Homura fut prise pour cible par les forces armées du Pays du Son qui attaquèrent de front la capitale de l’Empire.
    Rejoints par les autorités du Shogunat, les Genin firent face à de nombreux guerriers d'Oto, une dizaine de yokai éveillés ainsi qu'à Yamamoto Janome, qui se révéla chef d'orchestre de ce conflit.
    Alors que ce face à face tournait en défaveur d'Homura, Naga, un shinobi ayant rejoint leurs forces armées, s'énonça comme un traître qui avait enfin récupéré ce qu'il cherchait depuis toutes ces années.
    Il invoqua Kyuubi, le Démon Renard, avant de prendre la fuite avec Janome sur son dos... non sans avoir occis tous les yokai de ce dernier, comme pour le punir pour sa cruauté qu'il n'avait pas prévue au programme.

    Culture & religion

    → La chasse 春・狩猟期 – printemps
    → Festival de la Lune Rouge 夏・赤月の祭り – été
    → Virée aux morts 秋・死者への旅行 – automne
    → Nouvel an guerrier 冬・戦士新年 – hiver

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  3. Image decoration
    kirigakure printemps 83
    Contexte de Kiri
    S'il y a bien un lieu dans lequel la mort peut survenir à tout moment, c'est bien au sein du Village Caché de la Brume. Depuis des années, afin de lutter contre le retard qu'eut prit le pays par rapport aux autres factions, les autorités de l'Eau se décidèrent à mettre au point une philosophie qui leur permettrait de rattraper l'avancement des autres factions. C'est notamment au travers de l'assassinat que ces derniers trouvèrent leur réponse et ainsi furent éduquées les jeunes pousses destinées à devenir les futurs shinobis de Kiri. A un style sanglant et sanguinaire, loin de toute valeur humaine.

    ▒ Chaque Shinobi doit être capable de mourir pour la Brume et pour ses habitants.

    ▒ Chaque Shinobi doit capable d'abandonner, de laisser mourir voire de tuer ses camarades si cela leur permet la réussite d'une mission primordiale.

    ▒ Chaque Shinobi ne dispose d'aucun sentiment personnel : ils doivent agir sous les ordres de la hiérarchie.

    ▒ L'entraînement de chaque shinobi doit être rigoureux et il doit toujours être au service de l'identité de la Brume.

    ▒ Chaque Shinobi doit servitude et obéissance à la hiérarchie, tout manquement sera vu comme insubordination.

    ▒ Chaque Shinobi doit tuer tous les adversaires qui se dresseront sur le chemin de Kiri.

    ▒ La Brume est l'alliée de Kiri, nul ne doit la remettre en question.
    Image Personnage

    YUKI ZENRYŌ Yuki Zenryо̄, autrefois jeune membre du clan dont tous reconnaissaient le potentiel, devint chef de clan à la mort de Yuki Saburô en l'an 75. Très proche de la Mizukage, il lui assure son soutien inconditionnel et celui de son clan.

    Image Personnage

    KAGUYA TAOSU Cheffe du clan Kaguya, Taosu est connue comme étant une guerrière redoutable et particulièrement avide de sang et de trippes. Supportant avec fidélité l'identité de ce clan depuis des décennies, elle est, malgré son apparence, extrêmement hostile, sournoise et meurtrière, si bien qu'elle est redoutée dans son clan entier. Elle éprouve une très forte rancœur envers Oboroge, la Mizukage, car sa simple présence a fait diminuer de manière importante son quota d'assassinats par jour.

    Image Personnage

    SEIDŌ IMIFUMEI Personnalité émérite parmi les sabreurs, tout le monde au sein de Kiri connait Imifumei. Combattant redoutable maîtrisant Sо̄kо̄jikan, le Sabre du Temps, l'ensemble de Kiri le voit comme un shinobi imbattable. Il est vénéré de tous, car tous le connaissent comme un homme héroïque, portant de grandes valeurs d'espoir, de courage et de persévérance auprès des plus faibles.

    Enjeu n°1 :

    SE RENSEIGNER À L'INTERNATIONAL

    20%

    Enjeu n°2 :

    LE MYSTÈRE D'ARASHI

    0%

    Enjeu n°3 :

    LES ORIGINES DE LA BRUME SANGLANTE

    30%

    Derniers RP

    La lutte contre le yokai originel, groupe 1 et groupe 2

    Une escouade menée par Kaguya Bankichi permis à la Brume de repérer la trace de Shinchū et, au terme d'un affrontement difficile, de l'éliminer en le prenant par surprise. L'ensemble de l'escouade fut frappée par une marque maudite mystérieuse lors de son ultime râle.

    Enjeu : les origines de la Brume Sanglante & La Brume du Seigneur

    TBA

    Évènement

    Désastres sous une brume de sang

    À l'hiver de l'an 82, Kiri souffrit simultanément la disparition d’un grand nombre de ses habitants et la désertion apparente de trois de ses éléments les plus prometteurs
    Les enquêtes menées révélèrent d’une part que les civils avaient été massacrés par des Yokais, dont le plus imposant était Shinchū, dit « le Yokai Originel », et d’autre part que les déserteurs avaient été tués par deux individus restés non identifiés, mais dont l’un d’eux manipulait une forme d'orage.
    L’hypothèse d’une alliance entre ces deux menaces n’était pas exclue.

    Culture & religion

    → Soutien aux cultures 春・米農業のサポート – printemps
    → Grande marée 夏・大潮 – été
    → Parade de sang 秋・血液示威運動 – automne
    → Hymne à la Brume 冬・霧に賛美歌 – hiver

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  4. Image decoration
    kumogakure printemps 83
    Contexte de Kumo
    Parmi les lieux les plus malsains et insidieux du Yuusei, Kumo s'y érige en maître. Faussement uni, le village est peuplé de shinobis qui ne souhaitent qu'agir pour leurs intérêts propres ou pour ceux des personnes pour lesquelles elles travaillent. Etrangement, cela est parfaitement assumé par tout le monde et ainsi sont éduqués les shinobis. En plus de cet état d'esprit, rédigé par le Daimyo en personne, Kumo dispose d'un Code de Renseignements que tout le monde doit consciencieusement respecter sous peine d'être sanctionné par le dernier. Evidemment, la crainte de ce dernier incite et invite tout le monde à les appliquer sans broncher.

    ζ Chaque Shinobi doit être capable de mourir pour son Daimyo.

    ζ Chaque Shinobi ne peut discuter des ordres de la hiérarchie. Aussi, tout manquement aux ordres du Daimyo est passible d'une peine de mort.

    ζ Chaque Shinobi doit être capable d'accomplir toute mission, même si cela lui impose des sacrifices insurmontables.

    ζ Chaque Shinobi doit s'entraîner en vue de récupérer toujours plus d'informations, et afin d'être toujours plus discret.

    ζ Toute information récoltée doit revenir au Daimyo sans aucune exception.

    ζ Toute personne surprise en train de comploter contre le Daimyo sera soumise à la peine de mort.
    Image Personnage

    SHIRATSUCHI BAKU'EN Baku'en est, en plus d'être le chef du clan Shiratsuchi, l'homme qui les a relevé de leur condition de "parfaits petits soldats obéissants". Désireux de liberté et de justice, il est animé par une grande hostilité qu'il parvient à maintenir discrète pour restaurer l'honneur de son clan, qu'il estime bafoué depuis des décennies. Secrètement, il rêve de pouvoir mener une rébellion contre Koriki Tomio, au risque que cela mène à l'extermination des siens.

    Image Personnage

    ABURAME YOKOSHIMA Fourbe, manipulatrice et très protectrice vis-à-vis des siens, Yokoshima est la cheffe du clan Aburame. Soupçonnée – sans preuves concrètes – par plusieurs personnalités d'avoir son nez fourré dans toutes les affaires, elle est autant admirée que crainte. En plus d'être une des rares personnes du clan Aburame à maîtriser les Rinkaichû, des rumeurs courent selon lesquelles elle serait à même d'agir efficacement, n'importe quand et dans tous les recoins du village.

    Image Personnage

    INUZUKA GETSUMEN — DÉCÉDÉ Fier et orgueilleux, à l'image des siens, Getsumen était le chef du clan Inuzuka. Reconnu pour sa ténacité au combat et pour sa témérité, il faisait partie des personnalités les plus attendues au poste de Shodaime Raikage. Il ne cachait pas sa profonde hostilité envers les dirigeants de son village, ce qui étrangement ne lui est jamais retombé dessus.

    Enjeu n°1 :

    COLLABORER AVEC HOMURA ET KIRI

    50%

    Enjeu n°2 :

    ESPIONNER LES PUISSANCES DU MONDE

    50%

    Enjeu n°3 :

    DESSEIN DE CONTRE-ATTAQUE

    0%

    Enjeu n°4 :

    SUITE DE L'AMULETTE

    20%

    Derniers RP

    L'histoire se répète : tour du raikage

    À l'été 83, l'Alliance, menée par un Yamanaka inconnu, tenta de récupérer le Shodaime Raikage. Ils y parvinrent, mais ne purent le ramener en vie - Getsumen fut tué, alors inconscient, par un shinobi nommé Sumashâ.

    L'histoire se répète : domaine aburame

    Une attaque d'un Yokai dans le Domaine Aburame décima une partie du clan. Un kumojin et deux errants présents sur place, parvinrent à endiguer la menace et à en venir à bout, en le tuant avec une la dague d'annihilation des Aburame.

    L'histoire se répète : domaine shiratsuchi

    Un shinobi de l'Alliance maîtrisant un art shinobi inconnu s'apparentant à l'orage attaqua le Domaine Shiratsuchi pour tenter de capturer l'un des membres du clan.
    Celui-ci fut tué par un Shiratsuchi ayant libéré le pouvoir de la première pièce d'une arme mythique, retrouvée plus tôt dans l'année par les forces de Kumo. Sa libération généra une explosion titanesque qui ne laissa aucun survivant.
    À la mort de l'homme inconnu, le pouvoir de l'orage, le Ranton, réapparu à travers le monde.

    Évènement

    Insurrection

    À l'hiver de l'an 82, l'élection du Shodaime Raikage fit rage. Nommé presque unanimement, Inuzuka Getsumen prit le pouvoir et profita de son ascension pour tenter de mener un coup d'état contre le Daimyo, Koriki Tomio.
    Lui reprochant une cruauté sans nom qui punit, asservit et torture les innocents, une grande guerre civile éclata et le peuple Kumojin fut déchiré par l'affrontement des deux forces, alors que le Seigneur lui-même était présent.

    Culture & religion

    → Grande collecte 春・大採取 – printemps
    → Célébration d'Antan 夏・昨年のお祝い – été
    → Cérémonie des chandelles 秋・キャンドルの式 – automne
    → Jeux d'hiver 冬・冬季ゲーム – hiver

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Derniers sujets

5XP : PALIERS, SUCCÈS, MISSIONS LIBRES C (SANS X2), TRAMES PERSONNALISÉES, COMBATS (SANS X2)parTsubame Tatsumi
Aujourd'hui à 11:58
20XP : MISSIONS OFFICIELLES S, EXPLORATION S, TRAMES PERSONNALISÉESparRyokyaku Shinjirō
Aujourd'hui à 11:11
3XP : MISSIONS LIBRES D (SANS X2) ET ENTRAÎNEMENTSparRyokyaku Shinjirō
Aujourd'hui à 11:10
09. Validation ou autorisation de trame personnaliséeparMaître du Jeu
Aujourd'hui à 11:08
07. Demandes de transactionsparMaître du Jeu
Aujourd'hui à 10:55
08. Validation des entraînements et combatsparMaître du Jeu
Aujourd'hui à 10:53
04. Obtenir des gains de paliers de progressionparMaître du Jeu
Aujourd'hui à 10:53
10. Demande de changement de NSparMaître du Jeu
Aujourd'hui à 10:51
À charge de revanche, groupe 3 – À l'hôpitalparRyokyaku Shinjirō
Aujourd'hui à 10:44
Le Deal du moment : -45%
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[Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi

Tsubame Tatsumi
[Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi EmptyLun 9 Sep - 15:08

Expérience : 83
Messages : 41

[Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi Empty
Tsubame TatsumiGenin 下忍 de rang C

Message Sujet: [Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi
C
Stupide hobbit joufflu !
Cinq fous se sont échappés de l’aile psychiatrique de l’hôpital de la capitale. Quatre d’entre eux se prenaient pour des êtres de petites tailles avec des pieds poilus et, selon eux, devaient absolument aller détruire un anneau car un oeil diabolique voulait mettre la main dessus. Malheureusement, leur cinquième compagnon, vouant une obsession sans borgne à cet anneau, leur a volé et s’est enfui avec.

L’anneau en question est un bijou sans valeur, complètement rouillé.

Si les quatre premiers individus ont réintégré leurs cellules, le cinquième est toujours en fuite. Dans sa folie, il arrive tout de même à échapper au personnel soignant. Les autorités vous chargent de porter secours au personnel soignant et de l’aider à retrouver l’aliéné.

Étapes —

→ Vous rendre à l’hôpital ;
→ Interroger le personnel soignant au sujet du patient en fuite et obtenir des informations sur celui-ci ;
→ Interroger les quatre aliénés pour tenter de savoir où le cinquième leur a volé l’anneau (facultatif) ;
→ Retrouver le patient en fuite avant qu’il ne quitte la capitale et le ramener à l’hôpital.

Récompenses —

5 XP et 60 000 ryôs par participants.



- - -


Tombe du Nid


Machinale, matinale, forme s’en était levée d’un jour sous l’aube automnale, les yeux livides passant fenêtre comme à s’échapper de l’insipide réveil venu les happer. Si vite, phalanges s’en portaient aux paupières, s’en frottaient misères, mouvements d’os et de peau sans un mot à chasser songes d’une nuit passée, les effacer… S’en retourneraient-ils aux nuages, noyés ?
                                        L’en voudrait encore s’en laisser rêver.
Mais si vite s’en serait préparé, futiles les idées d’un peu plus s’y laisser rester, lui apprêté en quelques instants, tissu sur tissu enfilé d’une routine, d’un nonchalant, mine blasée imprimée sur un visage nettoyé prestement, puis, déjà, la porte en avait été passée… Une poignée de minutes envolées.
                                                                      Sans un regard en arrière.
Avancer, encore, les doutes à cracher, taire.
Un tant déjà qu’à chercher l’après, il y avait toujours de quoi faire, illustre pantin s’en défiait de son insignifiant à s’en occuper le crâne, les mains, l’encéphale pour ne plus en penser au prochain matin. Toujours d’un pas, encore plus de trois, futur n’en était que moins de fumée tant que d’autres lui donnaient partition sous la dictée.
                Si tant était que mission il y avait,
                                          Même un rien, juste pour     l ' é l o i g n e r .
Dès lors, parchemin en devint bien opportun, déroulé d’un léger doigté, consulté avec tout le tact des plus précieux papiers, un comble marqué pour une bête affaire, à s’en tirer un regard en l’air.
    Une nouvelle de convoitise, trahison, démence.
En d’autres circonstances, elle en aurait été roman à s’en faire chavirer, et pourtant ? N’en était qu’au mieux d’un navrant, la traque de quelques pauvres patients confiée à quelques Genins pour n’en gêner qui de plus important, l’en garder aux basses besognes les inconvénients.
                   En était aux soupirs, cette histoire,
                                                     elle et ses beaux déboires.
Un cœur déjà s’en lassait, promesse d’un finir avant tombée d’un soir, s’en terrant sous l’illusion d’un devoir : Les ordres, encore, l’éternel faire-valoir à s’en faire croire que sens il y avait, ici, Kumo la grande  p o u r r i e   , ombre à poursuivre mirage d’appartenance telle la plus belle pitance.
    Ombre à s’en repaître jusqu’un plus soif,
    Ombre à s’en étouffer sans un pourquoi.

Départ s’en fit sans plus de mots qu’un au revoir, sitôt vu qu’en quittait famille pour un plus tard, un jour de plus emporté accomplir mission si tant était qu’il y trouvait encore sa raison : Celle d’un mouvement toujours, sans passion. Celle d’un mouvement de plus, s’en fuir distractions.
                Quelques pas sur le parquet, dernière porte passée.
                Quelques pas sur un sentier, enfin s’en allait.
                Quelques pas, ruelles, quartiers,
                                        d’une avance à s’en émouvoir.

Vêtue de son si habituel, sobre vert et noir, silhouette s’en montrait terne, surmontée d’un masque blanc, pâle et morne à s’en cacher visage, posté sur le lieu de rendez-vous à guetter d’autres les passages,
                                    à laisser iris filer à travers l’urbain paysage.
Des abords de l’aile psychiatrique, vue n’en était que mélancolique. Corps blessés, meurtris, parfois brûlés vers les établissements à guérir, naïfs si s’en croire aux miraculés. Corps tordus, penchés, parfois d’une hagarde banalité ou d’un vague égaré, erraient -Hôpital voyant passer malades en leur plus mal, quelques têtes affaissées s’en allant et venaient, pour des mines d’une tristesse qu’on ne saurait cacher.
                    L’en toucherait-elle ?
                                             Ce marasme, de ses doucereuses ailes.
Sans un rictus, face s’en gardait à sa     l a i s s e .
Tournant rapace, guettait sous l’ombre austère du bâtiment siégeant derrière, ni assis ni adossé, à encore s’en afficher droit comme un piquet, sentinelle sans surveiller affichant, brandissant son bandeau, à l’épaule exposé.
                                       Et de mouvements de haut, tresse en balancier,
                                            l’épaisse lame, d’un soleil miroitait.
Et d’instants, s’en évadait ?

Tout autour, le monde, toujours, tournait, tournoyait, d’un turquoise scruté à l’en dévisager, détaillé d’yeux qui un rien plus ne cherchaient. Façades défilaient livre d’image à s’en illustrer, le joli village, s’en dévoiler d’un quotidien les traits pour ne mieux que les oublier, s’en envolaient quelques questions qui, jamais vraiment n’importaient.
                Quelles étaient leurs couleurs, de plus haut encore ?
                     Des toits, des cieux, si l’on s’envolait d’un corps ?
Distraite, en regardait cimes et plus loin, levée tête, un instant s’effaçant entre les idées qu’en seraient au mieux digne d’un enfant : S’en penser capable de planer de quelques plumes, s’élever au-delà d’une mer de briques et d’amertume ?


    - … Non. Ça n’a pas de sens.


Et rien n’en avait jamais, murmuré.
S’en retombait masque blanchâtre, trop long moment à laisser fixer l’azur d’une devanture d’albâtre, posture à s’en reprendre insipide rigidité d’un regard vide à percer.
                     Remarquer ?
Une apparition qui intriguait, s’en démarquait, ni passante prête à disparaître aussitôt arrivée, ni patiente d’un mal visible affligée… Regard alors planait, laissait durer à examiner, détailler, chercher bandeau et dresser un portrait qu’il retiendrait, un doigt s’en levant à pointer le sien, comme à demander si l’évidente déduction était sur le bon chemin.





    - Aeonya, je présume ? … Tatsumi. Je vous salue.


    N’attendit pas confirmation.
Prestement, silhouette s’en prit modeste inclinaison, pupilles toujours fixant sans cesser comme à guetter un oiseau qui pourrait à tout moment s’échapper, oscillant entre chevelure comme un plumage, guettant les réactions d’un visage.
                  Le sien, toujours d’un caché,
                               dans le bois, dissimulé.
                               Dans la chair,     g r a v é e     neutralité.



. Aeonya



- Tatsumi vous accuse en #417d87. -
Uzumaki Aeonya
[Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi EmptyVen 13 Sep - 0:30

Expérience : 376
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Message Sujet: Re: [Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi
Ces derniers jours pour toi s'étaient avérés plus riches encore qu'à l'accoutumée, pour ce qui était des nouvelles rencontres que tu affectionnais tant. Pour une femme pétrie d'ambitions telle que toi, chaque individu qui rentrait dans ton giron présentant tout à la fois son lot de dangers et d'opportunités, que tu te devais de jauger et dont tu avais pour devoir d'extraire tout l'intérêt. Tu avais en ce sens eu fort à faire sur ce front dernièrement, avais côtoyé les caractères singuliers de plusieurs porteurs de Reliques qui figuraient comme les joyaux de Kumo, et tu percevais encore distinctement ce matin là toute l'importance que ces liens revêtaient dans contexte tendu, explosif et délétère qui planait sur la cité en dépit des apparences. Tu te savais héritière et détentrice d'un pouvoir au potentiel infini, mais il paraissait par un certain angle bien dérisoire en comparaison de ceux que la Confrérie recelait en son sein, et tu n'avais que trop conscience du profit que tu pourrais retirer en influant sur ce groupe dans son entier.

Telle la couleuvre aux écailles brillantes et enchanteresses, tu t'insinuais petit à petit dans les fêlures et les intervalles pour aller chercher et créer ta place, remplissant en toute sobriété les devoirs qui t'échouaient. Et comme de coutume dans cette optique, tu accueillis docilement le nouveau rouleau de parchemin porteur d'une tâche à accomplir, servile en apparence et pleine d'une jolie candeur. A sa lecture, tu cillas imperceptiblement : tu n'étais pas étrangère aux incursions dans les esprits les plus viles, mais l'expérience pâlissait en comparaison de voyages entrepris à travers les psychés malades et torturés d'individu ayant perdu l'esprit. La nécessité t'avait déjà poussé à de telles extrémités par le passé, et tu espérais ne pas avoir à t'y rendre à nouveau pour ce qui s'annonçait comme une traque en tout point singulière en milieu hospitalier. Si ce n'était au-delà.

Sans te hâter, tu fis un crochet par ton domicile pour y préparer quelques affaires avant de te diriger vers le centre de soin, t'interrogeant durant le trajet sur les moyens qu'avaient dû employer les personnalités les plus bienveillantes de la cité pour pouvoir conserver un service dédié  au soin des individus mentalement instables. Sous le règne de Koriki Tomio, accorder des ressources à un pan de la population dont il était impossible de retirer quelque intérêt que ce soit te paraissait en effet pour le moins antithétique avec la politique en vigueur, mais ce n'était ultimement pas à toi de juger ou d'apporter la moindre réflexion à ce sujet. Avec un entrain somme toute très contenu, tu atteignis donc le centre médical où tu remarquas promptement la présence d'une silhouette singulière à proximité. L'individu, ambivalent dans sa posture, était affublé d'un masque blanc ivoire, et ne tarda pas non plus à t'identifier comme sa partenaire de mission. Chose aisée, s'il en était, avec ta chevelure de feu comme balise témoin de ton appartenance clanique emprunte de renommée. Sans tarder, la voix atténuée par l'ornement facial  te parvint, déliée et froide tout à la fois, et tu peinas de prime abord à acquérir une certitude quant à « l'identité » de ton vis à vis.


Enchantée, Tatsumi-san. Ravie de vous rencontrer, même si j'eus préféré que ce soit en d'autres circonstances.


Tu toisas un instant l'hôpital du regard, affichant une moue faussement affectée en faisant passer tes yeux ambrés sur les murs épais et la construction audacieuse du bâtiment, qui affleurait sur un haut versant de la montagne.


J'ignore quel genre de danger ce patient peut représenter pour les bonnes gens de Kumo, mais mieux vaut ne pas attendre de le découvrir. Si l'on veut avoir une chance de le trouver rapidement, il va nous en falloir une description précise. Plus encore, nous plonger dans son dossier et la raison de son internement, afin de déterminer où sa folie a pu le mener. Je dois dire, Tatsumi-san, que je ne sais expliquer pourquoi la haute autorité du village n'a pas dépêché au moins un membre de l'illustre clan Inuzuka pour nous épauler. Leur flair aurait fait peu de cas de l'escapade de ce forcené.

Mais allons, prouvons donc que nous pouvons nous montrer tout aussi efficaces, n'est-ce pas ?


Tu ponctuas ton phrasé d'un franc sourire tout aussi amical que désarmant pour quiconque aurait voulu t'attribuer des intentions trop radicales, à l'adresse de celui que tu pensais être ton coéquipier. Dans l'ombre de ta robe ocre et vermeille, on pas s'anima dès lors pour te faire prendre la direction du hall du centre de soin, où tu t'engouffras comme en terre conquise, investie par le pouvoir et la droiture dont vous étiez, supposément, les dépositaires. Du regard, tu identifias promptement une âme apte à te fournir l'accès dont vous alliez avoir besoin, ainsi que peut-être d'autres menues informations.


Sieur, shinobi de Kumo en mission, nous venons enquêter sur la fuite de l'un de vos patients. J'ose imaginer que vous savez de quoi il retourne... ?
Oui, oui parfaitement. Laissez-moi vous conduire dans l'aile jaune, c'est là-bas que se trouve la section des fo-, je veux dire, qui accueille les individus ayant traversé de dures épreuves. Je vais demander à ce que le directeur vous y rejoigne.
Nous serions vos obligés.


Vous ne le seriez évidemment pas, et tu attendais la collaboration la plus totale du personnel de l'hôpital dans la poursuite de vos desseins officiels sans avoir à rendre quoi que ce soit en retour. Tu conservas malgré tout ton faciès impeccablement amiable vissé à tes traits d'ivoire, maquillés avec soin, et te tournas vers Tatsumi afin de recueillir son ressenti avant de prendre le chemin de cette fameuse aile jaune.


Tsubame Tatsumi
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Message Sujet: Re: [Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi

Tombe du Nid


D’un temps aux salutations, regard errait encore, d’une fixation.
Pupilles à travers fentes détaillaient formes, courbes, couleurs d’une froideur, celle d’un canon à travers muraille sans la moindre ne serait-ce que tiède lueur, à mémoriser les détails d’un autre pantin de Kumo que celui que lui incarnait, iris en faisant des sauts.
                    S’en finissant sur l’irradiante chevelure,
                                                  couleur évoquant histoires d’amertume.
Rumeurs, renommée, un nom à la volée pour quelques déductions qui filaient : Visage mémorisé s’en tassait d’un poids qu’aussitôt au souvenir serait d’un plus gravé, mirettes s’en arrêtant si ce n’était un brin plus long d’un instant sur rouge cascade qui l’en captivait d’un trop longtemps.
                                         L’enviaient ? Œillades échouées
                                         -Face à Uzumaki, pourquoi être Tsubame ?
N’en avouait plus d’un silence planant, ne s’en avouait plus d’un doute si éphémère que     v i d e     d e     s e n s   , Tatsumi, l’en retournant soutenir les siennes, de pupilles. D’un bref geste esquissé alors, lui en dévoilait qu’il tâcherait de ne pas l’oublier, son chakra au-delà d’un prénom et d’un corps.
                                             (Enchantée, Tatsumi-san…)

Voix en semblerait telle teintée d’une naïveté de l’âme, que pourtant masque n’en restait que figé de son marbre, inflexible au-dehors et au-dessous : Outil d’un rigide affligeant, envers et contre tout. Sans le moindre mépris, turquoise n’en restait qu’aussi fade que vide, à se laisser voir autrui comme image de compagnie, l’humain délesté du fardeau de ce qu’il était, ainsi.
Et d’autres circonstances ? Comme s’il y en avait.
    D’autres circonstances, comme si hors du shinobi, il existait.
    D’autres circonstances, comme s’il y en aurait,
                             lui, l’en ponctua simplement d’une tête qui acquiesçait.
                                  (J'ignore quel genre de danger…)
Les dégâts collatéraux ? Il n’y avait pensé.
Pas même un seul songe adressé, pas un mot, n’en était qu’à la suite de celui à retrouver aux plus simples ordres, et « bonnes gens », alors ? Qu’importait vraiment, blessé.es n’en seraient jamais que statistiques qu’à peine l’on guettait, et les noms rayés en perdraient humanité.
                Puis, l’évadé, c’en était tout ce qui comptait.


    - Il ne s’agit que d’un patient en fuite, après tout : La hiérarchie a dû juger qu’Inuzukas seraient plus utiles ailleurs.


Ou que tâche leur était     i n f é r i e u r e .
Mais au moins, elle n’était pas dirigée vers sa partenaire, cette froideur, n’en faisant que peu d’état de l’apparente candeur, elle qu’il ne regarderait au plus que d’un coin de l’œil.
                  Sourire non rendu, les iris n’en dansant jamais plus,
        toute parole animée pour seul feu d’une politesse si rigide que crue.


    - Et il nous en incombe, de nous montrer « tout aussi efficaces ».


Teintée, voix en empruntait plus au morne qu’au jugement,
                     en précisait sa position, d’un point plus fermement.
Sans commentaire de plus, oubliée délicatesse, ton d’un strict comme d’une posture qu’en intimerait comment lui ne serait loquace, petite ombre si bien dans son coin, sa crasse. Sans agressivité d’excès, il était tout au plus l’hostilité de la neutralité, celle restant roseau pas même courbé face à la franchise qui, d’autres, en aurait désarmé.es.
                      Celle qui, plus humain, aurait sûrement touché.
                            Tatsumi de trop de déni noyé pour s’en laisser l’écouter,
                                          aux ordres, d’œillères enchaîné,
                                                              a v e u g l é .
Mais l’en suivait si bien, docile,
        du pas d’un chien joignant chenil.
        Du pas d’un chien suivant maître, risible.
Tout soupçon d’initiative occulté, en devenait l’écho des semelles, la nuance derrière robe qui ondulait à s’en fondre dans l’image des couleurs, un peu plus s’effacer… D’un naturel, pas s’en feutraient d’un léger, si habitués à s’en rompre derrière ceux d’un frère ou d’un père qu’en était inconsciente rigueur de fer.
                         Et celle du jour la partenaire, l’oublierait-elle ?
        Un jour, deux jours après, et quelques battements d’aile.

                                                  (Sieur, shinobi…)
Statue de chair et de tissu l’en interrogeait aussi,
                                          d’un regard et sans soupir.
Guettant du fonctionnaire les gestes, contemplant d’une collègue ce semblant d’aisance modeste -Qui s’en tournait ? L’en refixait, cueillant une surprise réprimée de celui qui ne s’attendait qu’à suivre en l’ombrage d’une mieux intentionnée.
          Deux turquoises ternes l’en accueillaient,
                                     froides d’un blizzard, givrées,
                                     iris qui, si faiblement, oscillaient ?
Mais silhouette sans recul, pour un rien ne s’en cassait.
                         Et d’à peine, s’en tournait d’une face mieux ajustée.
D’un instant, planant, s’en laissait un silence à se demander ce que l’autre, encore, lui     v o u l a i t   ?
                        Son avis ? Comme s’il importait.
                        Son aide ? Comme si elle l’en nécessitait.
                        Son ressenti ? Comme si lui, importait.
      Lui demandait-elle d’agir ? De prendre le relais ?
Masque à peine d’un impact marqué, déjà s’en refermait, redressé, tête s’inclinant si brièvement à lui indiquer qu’encore il fallait avancer, comme si de son aimable, camarade venait de lui en demander accolade, ou quelconque absurde récompense pour avoir fait le premier pas auprès de l’hôpital.
             Et sans un mot de trop, lui, s’en reprenait marche,
                 s’en sortait de l’ombre d’Aeonya, comme fuyant une tache.
Foulées s’en reprenaient, cette fois s’en calquant sur le petit personnel qui aidait, lui devenu mirage à suivre de son voilé visage, pupilles s’en délaissant de l’Uzumaki pour l’en dévisager à son tour, terne glaçant appliqué, et sans non plus retenue abandonner.


    - Peut-être pourriez-vous répondre à quelques questions en chemin ? Sa posture, ses traits distinctifs : De quoi le reconnaître, en somme. Vous avez certainement dû au grand moins le croiser, ici.


Ne l’en disait, shinobi, mais le temps était compté…
En dehors des tracas, la cible pouvait encore s’échapper ? Et l’embarras de l’en traquer à travers le pays semblait ne pouvoir que s’en couronner d’un échec à s’en railler.
         Après tout, ne devaient-iels pas s’en faire « tout aussi efficaces » ?
                            Il l’avait dit, Tatsumi, et s’y tiendrait,
                                               chien s’en montrerait digne de sa laisse,
                                                         o b é i r a i t .

    - Euh, si vous voulez... Déjà, lui et ses compagnons se tiennent courbés et recroquevillés, à force de se prendre pour de petits êtres… ? Ajoutez à cela qu’il est difficile à nourrir, donc rachitique. Hm, et très pâle à force de fuir le soleil ? Bref : vous aurez du mal à le méprendre pour un habitant de Kumo comme les autres.

Écourtée réponse, d’ennui portrait bâclé,
                               l’autre de prendre la parole pour le directeur, lassé.
De pieds en pieds s’en suivant jusqu’à l’aile jaune, mirettes en quittaient les formes de l’homme pour que poignet s’en tienne du menton, filant imagination à reconstruire portrait d’une ombre sans face, aux cent faces, celle qu’il traquerait…
Celle qu’iels traqueraient.
         Mais le forcené, s’en rentrerait-il sans lutter ?


    - Nous allons peut-être devoir le restreindre par la force, s’il ne se laisse pas faire. Sauriez-vous s’il existe un moyen de le… Calmer ?


Dit, tel s’il y songeait.
Dit, alors que lui-même, violence déjà, en planifiait.
Dit, si l’autre en sembla plus sensible, comme pour l’en rassurer.



. Aeonya


Note:



- Tatsumi vous accuse en #417d87. -
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Message Sujet: Re: [Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi
Loin de te laisser désarçonner pour si peu, coutumière et maîtresse que tu étais du jeu des visages et de ses multiples facettes, tu n'en notas pas moins le mimétisme désincarné, appuyé par le port de ce masque nacré, dont fit montre ton partenaire de mission assigné. A votre simple niveau de soldat, il était rare de te retrouver associée à une personnalité aussi retord que ne pouvait l'être la tienne, aussi n'écartais-tu jamais la possibilité en pareil cas d'avoir à faire à un agent du DRK. En te basant sur ce genre d'hypothèse, tu te devais de te montrer plus précautionneuse encore qu'à l'accoutumée dans tes rapports avec ce jeune homme masqué, mais à force d'évoluer incognito au sein de cette cité et de son armée avec ton nom comme étendard, c'était là pour toi autant une seconde nature qu'une énième sinécure. Dans l'anonymat de ta cape vermeil, tandis que l'infirmier vous menait vers l'aile jaune, tu joignis donc les mains pour mettre en branle ton chakra et étendre le dominion de ton esprit tout autour de toi. Affluèrent alors vers toi une nuée d'émotions, de sentiments et de songes mêlés, que tu entrepris promptement de démêler pour y associer distinctement les entités qui t'entouraient. De façon lourde et opaque, tu perçus l'instant suivant toute l'apathie qui irradiait des pensées de ton équipier vis à vis de ce que vous entrepreniez, un détachement profond, enraciné qui allait tutoyer le mépris.

Tu ne t'appesantis  toutefois pas sur ces considérations, tâtas immédiatement de plus près les pulsations anxieuses que tu percevais émaner de l'infirmier. La tension que tu percevais chez ce dernier, alors même qu'il répondait aux questionnements fort à propos soumis par ton équipier, dépassait en effet le simple cadre de ses fonctions, s'étendant vers vous comme une bête apeurée et tentaculaire qui aurait voulu vous voir partir le plus loin possible. Écoutant le portrait dressé de votre fugitif, tu pris bonne note de cette extrême frilosité tout en emboîtant toujours le pas au médic et franchis tour à tour les trois grilles de sécurité qui séparaient l'aile jaune du reste de l'hôpital. Le choc des clefs sur les herses successives, à mesure qu'elles se voyaient déverrouillées et refermées derrière vous, se propageait en un écho sinistre au travers des hauts couloirs aseptisés.


Oh on leur donne ce qu'il faut pour qu'il se tienne tranquille, ici, mais dehors... c'est vous, les shinobi, je vous rappelle. Enfin... le directeur vous attend dans ce bureau, fit l'infirmier en vous désignant de la main une porte vétuste incrustée d'une section de verre trouble.


Vous êtes bien aimable.


Il ne l'était point, mais tu avais l'habitude de désarmer ainsi les méfiances quitte à te voir mésestimée. Un regard à ton taciturne coéquipier accordé, tu t'élanças gracieusement vers la porte pour pénétrer dans le bureau. Tes yeux se posèrent alors sur la silhouette passablement bedonnante du directeur, debout un livre à la main face à une modeste bibliothèque. Quelques paperasses éparses peuplaient le meuble en bois qui siégeait au centre, signe d'une activité récurrente en ces lieux. Le directeur, compris-tu, ne vous avait pas rejoint ici : il y travaillait, et ce une part substantielle de son temps.


Inchô-san.


Aaah, les shinobi que j'attendais...Parfait, parfait ! Vous avez déjà une piste pour retrouver notre brebis égarée ?


A dire vrai, Inchô-san, nous somme précisément venus récolter les indices qui nous permettront de retrouver votre homme.


Des... indices, vous dites ? Et de quel genre d'indice il serait question, dites-moi.


Plus insidieuses, mieux dissimulées, tu percevais néanmoins chez votre interlocuteur les mêmes effluves d'anxiété et d'irritation refoulée que chez l'infirmier un peu plus tôt. Récupérer leur patient était assurément parmi leurs plus grandes préoccupations, mais votre présence entre ces murs était, elle, elle, pour le moins indésirable.


Oui. Votre patient vous a échappé, et vous avez été incapable de le retrouver. Si vous escomptons obtenir de meilleurs résultats que vous, nous allons avoir besoin d'informations. Sur le patient, notamment, ainsi que les raisons de son internement.


Tu perçus le courroux émaner du directeur, noyé par la nécessité d'ordonner une réponse adéquate ;


...Fort bien. Son nom est Sumi Agorô. C'était un vagabond, un simple dérangé qui s'est rendu coupable de plusieurs agressions. C'est pour la sécurité des citoyens de Kumo et la sienne propre, que nous l'avons pris en charge.


Merci. Maintenant, veuillez avoir l'obligeance de nous mener aux patients qui s'étaient évadés avec lui. S'il vous plait.


Ta requête, toutefois, ne lui plut visiblement pas du tout.



Résumé

Entonnoir Psychique — B

Ninjutsu Spécial & Détection

À l'aide d'un unique mudra, la Yamanaka peut établir une connexion mentale avec l'esprit de toutes les cibles dans un périmètre moyen autour d'elle afin d'épier leurs pensées, réflexions ou ruminations, sans pour autant accéder à leurs souvenirs, communiquer ou identifier leurs origines exactes. La qualité et la profondeur des liens dépendent de la distance séparant l'utilisatrice de chacune des cibles dans la zone d'action.

UTILITAIREMULTICIBLEPUISSANCE DE RANG B



Tsubame Tatsumi
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Tsubame TatsumiGenin 下忍 de rang C

Message Sujet: Re: [Mission C] Un Anneau pour les trouver (…) ▬ Aeonya, Tatsumi

Tombe du Nid


Si masque en était mur, fentes en seraient meurtrières,
                                      amandes de leurs flèches à fendre l’air,
           c i s a i l l a n t     regard, d’un tant pourrait être mortifère.
Dévisageait pourtant sans haine, Tatsumi, acide de son seul terne et d’une couleur d’un clair à percer chair même, traversant du regard accompagnant comme coéquipière de ces yeux qui, semblant bien capables de couper, n’en voyaient alors rien de ce qui fut occulté.
              Rien des gestes, des intentions, des questions,
       tout sens s’en contentant de porter au-devant, parfois suivant un son.

Et de trois grincements, trois grilles passées, chacune sonnant de ces trissements froids, sourds et portants, échos d’une cage blanche délaissée hors du temps. D’une suite, foulées s’en voulaient aseptisées, lui marchant comme en champs de mines amorcées, d’une tenue si rigide qu’à croire vouloir s’envoler.
           N’importe où ailleurs, au ciel et sans se retourner ?
                                 (Oh on leur donne…)
N’en notait rien de plus qu’usage de force en serait leur somme, tête pas même hochée, ni dévouée à acquiescer ou l’en remercier, si tant était que toustes ici ne faisaient guère plus que ce qu’iels se devaient.
                                              D’une seule œillade à la porte qui trônait,
                                              là, siégeant telle seigneure de ces lieux,
                là, siégeant, telle si elle pouvait s’effondrer sous leurs yeux.
                                    (Vous êtes bien…)
Glaciales d’indifférence, pupilles furent rendues par décence, n’en partageant que si peu d’une partenaire la politesse comme si elle pourrait parler pour deux, et lui s’en taire plus,
                  s’en taire, comme il le devait, petite ombre sans moindre rictus.

Et d’entrée, errait des yeux à fouiller sans geste, posant les iris sur ce qui s’en dévoilait d’un toucher si leste et sans main, d’à peine reconnaître la présence d’une silhouette plus grande, plus imposante.
                                                              (Aaah, les shinobis…)
Une piste ? Mais il venait d’arriver, Tatsumi,
                              aurait objecté, si elle n’avait été plus rapide que lui.

                                                                    (A dire vrai…)
                                            (Des... indices, …)
Turquoises s’en posaient sur sa face tel bord d’un précipice, à ne plus en bouger d’un moindre vice, comme à guetter toute parole et toute réponse…
                                                                     (Oui. Votre patient…)
                                                                  (...Fort bien…)
Nom serait noté, Sumi Agorô celui d’une proie qu’il retiendrait sans entrain, celui de l’errant qu’en serait à traquer, capturer tel un chien -N’était-ce pas l’ironie ? Un conte en sarcastique refrain pour celui qu’en était toujours tant à obéir, à l’aveugle et pour le     p i r e .
                               Un vagabond, alors ?
Aussi brebis qu’il était, tout en indiquait donc qu’il errerait, sans destination à laquelle le rattacher de ses origines alors.
                (Merci. Maintenant,…)

Et en l’accueil un plus froid d’un instant,
                       sourcil d’un plus s’en fronçant.
L’homme s’en croyant sûrement à meilleur compte, n’avait-il pas escompté tant d’embarras ? En fixant si visiblement d’yeux à dénoncer une honte. Ses mains s’affairaient à attraper papier, se saisir d’un ancrage parmi le meuble éparpillé à s’en attacher au bureau de bois, expliciter comment il était occupé.


    - Vous n’êtes pas sérieuse ?


Ton ne s’en haussait, mais d’une voix, il s’en teintait d’un peu plus de ce qu’en peau, encéphale cachait, le voilé révélé d’au mieux d’un rictus, et de quelques mots d’un soupçon plus     h a c h é s .
                        D’apparence, toujours professionnel ?
                        Un peu plus d’un petit roi en son hôpital, son aile.


    - C’est que… Nous sommes déjà assez débordé.es avec cet évadé sur les bras. N’avez-vous donc pas assez de quoi le retrouver ? J’aurai pensé qu’on m’enverrait des pisteur.ses.


D’une once de reproche, blâme à s’en reporter sur d’autres,
                                        paroles attisées d’un agacement en l’âtre.
Brise plus froide n’en cueillait qu’un peu plus d’un blizzard, Tatsumi l’en voyant d’un plus froid regard, bras croisés à s’en montrer d’un moindre retrait, sans bouger de son ombre d’un côté, plus à l’aise encore quand c’était plus elle, qui menait.
                Mais sans s’en     d é m o n t e r .


    - Nos méthodes ne regardent que nous. Vous retrouverez vite votre patient, mais nous allons devoir insister, et vous demander de bien vouloir vous donner l’embarras d’accéder à notre requête.


Turquoise s’en faisait icerberg, celui heurtant navire d’un délétère,
                                  de glacier en glacier, politesse sans « s’il-vous-plaît »,
                                                lui, tant plus familier avec le sec du demandé.
Et ce petit directeur, attendait-il donc Inuzuka, lui aussi ? Peut-être plus déçu d’une si petite équipe, hiérarchie toujours si bonne à n’envoyer que le requis et s’en garder d’économies. Était-ce là, la grande raison de son semblant d’ire bouillie ?
                                               N’en aurait que faire, Tatsumi,
      pas si soucieux de l’aider, tout juste à vouloir rendre un rapport réussi.


    - Soit. Mais vous allez devoir faire vite, vous n’êtes pas ma seule tâche de la journée, je vous signale.


D’un bleuté, deux amandes accordèrent à sa coéquipière un regard,
                    en demanderaient s’il était aussi aimable, celui-là ?
                    Toujours d’un terne nimbé, au presque d’un morne las.
Sans s’attarder plus d’un éphémère, n’en avait jamais plus qu’en tête d’en finir et de suivre mouvement, couloirs retrouvés d’un pas pressé derrière celui qui s’en voulait tant leur faire comprendre comment shinobis seraient invité.es à disparaître, sans se faire prier et d’ici trente.
                                    D’une voix pas si loin de s’en épuiser,
                                    ressentis étouffés d’une image officielle à soigner.


    - Vous verrez très vite qu’il n’y a pas grand-chose à en tirer. Nous les avons remis sous traitement : Ils sont dans la cour, et parlent à un arbre qu’ils disent être un Yokai avec une grande barbe.


S’en cracheraient, les phrases, yeux au ciel tant il y mettait l’emphase, dansant lettres à en dire comment vaine était entrevue, lui ayant tant d’autres lieux où être pour s’en passer volontiers du temps perdu.
                                                                L’était-il seulement ?
                                                                Les heures à chercher, suivant,
                                                                ces années à Kumo, finalement.



. Aeonya



- Tatsumi vous accuse en #417d87. -

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