Sam 12 Oct - 4:02
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▶ Sujet: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei] Le Cri des Agneaux ―Reconnu.es dans le monde entier, les Uzumaki disposent d'un grand réseau de communication au sein du monde. S'iels sont généralement bien vu.es par les shinobis, il existe tout de même des groupuscules souhaitant les faire tomber. Alors sûrement serait-il important de s'infiltrer au sein de certains de ces groupuscules afin d'éviter qu'un jour, une attaque ne mette le Yuusei à feu et à sang, causée par le déséquilibre des forces au sein du monde. Une première piste se situerait à Sanchu.
Uzumaki Eijirō, un errant que les voyages ont mené au Pays des Montagnes, a lancé l’alerte quant à la disparition d’autres Uzumakis dans la région, incluant un de ses camarades de route. Il aurait rapporté, après avoir réussi à s’échapper, que ses ravisseur.ses cherchaient un moyen de se rendre au Pays des Tourbillons, afin de frapper au cœur même du clan sur lequel repose l’équilibre. Étapes —→ Se rendre à Sanchu, et prendre contact avec Uzumaki Eijirō ; → Identifier avec précision la menace planant sur le Pays des Tourbillons ; → Mettre en déroute leurs plans, par n'importe quel moyen que ce soit ; → (Optionnel) Retrouver les Uzumakis qui se sont fait.es capturer ; → Faire un rapport en personne à Uzumaki Asami ; → Une confidentialité absolue est nécessaire en lien avec les informations obtenues entre Kiri, Asami et les membres de la mission ;
| Récompenses —◘ 14 XP et 600 000 ryôs par participants. |
Un appel à l’aide. Tel avait été la demande d’Asami qui avait réuni les quatre âmes devant elle. La Rubiconde était un être de barrière, de mise à distance et de carapace. Ici, pourtant, elle se montrait vulnérable. Même d’une vulnérabilité naïve à risque d’abus. Elle offrait un unique moment de pure transparence ; elle était un être en souffrance qui demandait de l’aide. Devant tous ceux présents se trouvait un talisman. Au creux de tous les talismans, tous identiques à priori, il y avait une légère modification dans les glyphes sur leurs rebords. Une version tourbillonnante du fuinjutsu que les plus expert du niveau d’Asami [rang A en Fuinjutsu au moment de la création desdits objets] pouvait y voir une incohérence signalant la présence d’un code, mais dont le sens et la clé de déchiffrage se voulait su uniquement d’Asami et qu’elle emporterait dans sa tombe. Il s’agissait là d’une création propre à la Rubiconde et servant à identifier les talismans qu’elle distribuait afin d’en authentifier leurs validités. Un code dissimulé au coeurs de ses propres glyphes, eux même difficilement déchiffrables. Un don de soi, qu’elle offrait dans un moment de souffrance. Si sa difficulté à accepter de nouveaux êtres autour d’elle était sans doute un de ses pires défauts. Elle se trouvait pourtant devant quatre personnes qui avaient osé surmonter la brute qu’était Asami et avait laissé sa marque dans sa psyché au point où elle avait confiance en eux. Une confiance aveugle - elle était un être d’extrême - et dont ils s'étaient tous à la fois glissés dans sa psyché d’une manière unique et pourtant propre à chacun d’entre eux. L’un d’entre eux l’avait fait par sa persévérance. Un être né sous la même étoile qu’elle. Un être portant le fardeau tourbillonnant des Uzumaki, mais la Rubiconde n’était pas une femme de Népotisme. Porter fièrement une crinière dorée avait peu de valeur à ses yeux, bien que ça apaisait inévitablement son monde intérieur. Elle voyait cependant en lui un être de compétence et d’acharnement. Quelqu’un qui n'abandonne pas. Bien qu’elle souhaitait lui offrir plus de mots, le talent parlait pour lui-même. Elle pouvait lire sur le talisman du blondâtre de la salle les quelques mots suivants : « Il y a des brutes qu'on n'apprivoise pas. On les dompte. » Ici, Asami, voyait en cet être une rivalité infranchissable.Le second avait acquis la confiance de l’Eisei par son soutien lors de ses moments de faiblesses. Il avait offert son corps, littéralement, afin de permettre à l’Eisei de continuer à donner la vie. Il avait offert sa sueur et brillé par ses actions, alors qu’elle n’avait été que l’ombre de sa propre incompétence. Un être qui ne mériterait sans doute aucunement sa confiance, si leur première rencontre s’était faite dans un autre contexte, mais la chance est une variable faisant partie de la vie et de ce fait, aux yeux d’Asami, Bankichi était un livre qu’elle ne devait pas juger par sa couverture. Un homme qui avait déjà en sa possession un talisman et dont celui qui reposait devant lui n’allait être « que» son second. Dans tous les cas, si quelqu’un d’expérimenter dans l’art des sceaux [Rang A Fuinjutsu] posait son regard simultanément sur les deux talismans que ce « Kaguya » possédait, il y verrait deux assemblages de glyphes différents sur le pourtour. Bien entendu, elle était ici anxieuse que ce dernier en saisisse les subtilités, mais c’était sans savoir que Bankichi était incapable de lire un glyph même si sa vie en dépendait [Bankichi : Rang E Fuinjutsu ?]… Bref… Sur le talisman posé sur la table, elle pouvait lire - toujours dans son langage glyphique - : « Ne me parlez pas de mes dettes, à moins que vous ne vouliez les payer. » Ici, Asami voyait en cet être une dette qu’elle ne pourrait jamais repayer… Car chaque vie qu’elle sauve depuis leur rencontre n’est possible que grâce à lui, à son corps et à la sueur de son effort, ce jour-là.La troisième personne n’avait pas acquis sa confiance simplement par le mysticisme de son existence. Certes, Asami était sensible aux croyances divines comme n’importe quel civil du Yuusan, mais malgré la candeur qui venait avec la nature de son pouvoir, cette personne avait frayé son chemin dans l’esprit de l’Uzumaki comme personne d’abord. Elle l’avait rejoint par son humanité, et ce, malgré son pouvoir divin. Elle l’avait atteinte par sa simplicité en étant elle-même, et non pas en utilisant son adage de semi-dieux qui venait avec la détention de son sabre, comme l’avait fait bien d’autres avant elle. Quand elles n’étaient qu’eux deux, l’Uzumaki sentait qu’elle était Asami. Autant que son amie était Heizu. Entre elle, il n’y avait pas d’enjeu d’Uzumaki, de Sabreuse, d’Istatsu (le côté Oto d’Asami) ou de Kayuri (Le nom que porte Heizu). Deux prénoms, deux êtres, deux personnes, deux vérités. Aucune complexité. Deux amies ? Sur la bordure du talisman devant elle, on pouvait y lire : « Le divin de l’homme se voit dans les yeux, les gestes, le corps. » Ici, Asami voyait en cet être une véritable amie capable de comprendre la lourdeur d’une étiquette, d’un clan.Finalement, il y avait cet être qu’elle avait accepté d’aider, mais qui possédait déjà une expertise similaire à la Rubiconde. Un être effacé dont les arts, redoutés partout ailleurs, n’avait fait ni chaud ni froid à Asami, bien qu’elle en avait apprit l’importance de s’en protéger. Non pas de les détester, mais bien de vivre avec eux, sans pour autant se laisser emporter par leurs forces. La Rubiconde était-elle tombée dans un panneau ? « Son apprenti » en était-elle réellement une ? « La Mentor » avait-elle véritablement quoique-ce-soit à enseigner à quiconque ? Est-ce que les deux êtres ne se mentaient simplement pas à elles-mêmes ? Étaient-elles toutes les deux prises au piège d’une diade toxique alimentant une roue infinie « d’auto-validation » collective ? Eri était-elle la véritable maître et Asami sa victime ? Peut-être que la Rubiconde cherchait en cette relation « de mentor » une façon d’adoucir son être innaprochable et que de l’autre côté, la Yamanaka « incapable » de voir sa valeur et de porter son nom, acceptait la brute comme un être à craindre, un être « suppérieur » comme on le lui avait apprise ? Alors que pourtant, elle en était son égal ? Peu importe les aléas pédantesques, autoritaires ou sous le camouflage d’un sentiment de supériorité, Asami avait offert accueil et conseil à Eri qui, pourtant, n’en avait jamais eu besoin, mais qui en avait pourtant eu l’impression. Un drôle de mélange pourtant similaire ; celui d’un mensonge qu’on se dit à soi-même et qu’on justifie dès que possible ou le mensonge qu’on se refuse d’admettre comme étant vrai. Comme étant un absolu. Asami lui faisait confiance, juste parce que ça fait parfois du bien de simplement croire en quelqu’un - et que cette dernière n’avait pas abusé de son être dans son moment le plus vulnérable sous la transposition.- Sur le talisman de cette dernière, on pouvait y lire : « Ma confiance, je te l’ai donnée. Me la rendras-tu abîmée ? » Ici, Asami, elle faisait simplement confiance à Shimizu Eri.
... [Asami] - Devant-vous se trouve un parchemin et un objet. Le parchemin contient une mission qui me tient à coeur et l'objet est un talisman équivalent à une dette que je vous dois si vous menez cette mission à termes et si vous acceptez de taire vos découvertes en dehors des ceux ici présent. Que vous le vendez à quelqu’un d’autre, l’utilisez vous-même ou bien vous vous le faite voler, quiconque me le présente aura droit à ma pleine coopération, tant qu’il ne va pas à l’encontre de kiri, d’Uzu, de la mizukage ou du trio de la balance.Elle soupirait, tout en offrant un temps significativement long et malaisant pour offrir à quiconque souhaitait se retirer, cette option. [Asami] - J’assume que vous acceptez ma requête égoïste… Merci. Ici, on pouvait entendre Asami l'errante, la civile. Celle qui avait besoin de votre aide, Ici, elle vous aurait bien claqué sa bourse sur la table pour vous convaincre davantage, mais elle avait vidé ses économies pour « acheter » les autorités kirijines afin qu’ils acceptent de donner une priorité à sa demande. Elle n’avait cependant rien à vous offrir, si ce n’est que le vulgaire talisman qui se trouvait devant vous. Un véritable « don de soi », « avec conditions ». un marteau, alors qu’ici elle avait besoin de scalpels. Elle avale un peu de travers son don aussi massif de talisman. Entre de mauvaises mains, elle soignerait même Shinchû. Tel était l’importance de sa demande. [Asami] - Je vous laisse prendre connaissance de la mission. À ceux qui choisiront de l’accepter et de saisir mon talisman, je vous fais confiance. S’il vous plaît, accomplissez cette mission et que ce que vous apprendrez ne quitte pas cette pièce.Sur ses mots, elle tournait les talons et quittait la pièce. Son rôle s’arrêtait là. Autant elle avait l'espoir que tout se passe comme elle le souhaitait, autant elle n’était ici que la commanditaire d’une mission de la brume. Elle était une vulgaire civil vulnérable et qui ne pouvait que croire en ce pays qu’elle appelait sa maison, en ses ninjas qui étaient là pour la défendre et surtout, en ceux en qui elle avait confiance. Allaient-ils abuser de son moment de vulnérabilité ? |
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« We’re all stories, in the end. Just make it a good one 'cause stories are where memories go when they're forgotten » |
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Sam 12 Oct - 22:24
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei] Le cri des agneaux Ft. Wild HuntBankichi portait un kimono simple et une tunique typique des pécheurs de Mizu, rapiécées aux coudes et aux genoux, ersatz d'un temps passé et révolu. Il trainait un sac assez lourd qui tintabulait dans des bruits métalliques étranges. Il avait été convoqué par sa servante préférée, Asami. Il y avait peu, il était encore dans sa clinique à se faire soigner des assauts récents sur la Brume, et voilà qu'elle leur demandait de partir, de l'aide.
Ils étaient quatre en tout. Asami, la médecin sans limite et sans frontière. Zetsumei, son cousin sauvage et pourtant si adorable. Une blondasse aux yeux bleux qu'il ne connaissait absolument pas, et c'était rare dans les shinbois parce qu'il avait bien roulé sa bosse. Heizu, une sabreuse terrible et dangereuse comme la Brume. Et... Eri. Une genin spécialisée en genjutsu.
Contre un talisman ?
Bankichi regarda le sceau étriqué et complexe qui dansait sur le vélin, avant de reporter son attention sur l'autre parchemin, lui au moins bel et bien lisible par ses soins. Une mission, collaborative entre Uzu et Kiri. Le fait que des Uzumakis étaient visés ne le dérangeait à priori pas. Ceci dit, il leva les yeux et compris qu'il en était autrement pour cette jeune femme. Sanchu.
Mhhhh.
Il prit le talisman et l'inspecta. Il ressemblait très fort à celui qu'il avait déjà. Ou l'avait-il mis encore ? Sans doute quelque part dans ses papiers. Il n'était pas du style à faire attention à ces papiers. Oh il comprenait que pour Asami ils avaient une valeure importante. A ses yeux, pourtant, la valeur était autre.
Le premier talisman avait la valeur d'une reconnaissance, d'une bagarre audacieuse, et surtout du début de l'épopée pour se venger de Shinchu. Certes, cette bagarre n'avait pas été en la faveur de l'Uzumaki. Mais était-ce le point important ?
Bankichi appréciait les talents de cette guerrisseuse. Elle n'était pas du continent, et n'était pas de Kiri non plus. Pourtant, le chunin appréciait sa "candeur" et son aide au cours de leur aventures. Il considérait même maintenant tout son clan comme des potentiels serviteurs. Alors pourquoi regardait-il ce talisman avec une telle insistance, malgré lui ?
Oh, il comprit.
Bien évidemment.
Il saisit le talisman et le déchira en plusieurs morceaux avant de les lancer dans l'air.
Ta nature est très... transactionnelle Asami-san. Mercantile ? Une fois est un cadeau, le deuxième me laisse un goût amer en bouche. Je ne fais pas dans la traite d'esclave, Asami-san. C'est indigne de moi. Je comprends la détresse que l'on peut ressentir lorsque sa famille est attaquée. Je vous apprécie, Asami-san. Votre détresse est ma détresse. Et si des continentaux s'agitent, il est de mon devoir de les remettre à leur place. J'en suis.
Il avait cet air digne, et pourtant carnassier. Les lianes ondulèrent sous sa peau - elles étaient encore repues de leur dernier repas. Elles ne manqueraient pas de pouvoir elles aussi voir un peu d'actions.
Il saisit sa lance rouge et passa un chiffon dessus pour la nettoyer, tout en attendant la réponse des autres acteurs en présences.
Profiter de cette expédition pour receuillir des informations sur ce pays étrange serait un bonus pour lui. Après tout, il avait reçu une quête de la part du Yokai Forgeron concernant une lance maudite dans ce coin-là. Et si sa situation actuelle ne lui permettait pas encore de faire cette expédition avec assurance et certitude, un premier passage en reconnaissance ne pouvait que l'aider dans cette future tâche.
L'occasion de se dégourdir les jambes; l'occasion de buter du continental.
Comment refuser une telle proposition ?
© Bankichi |
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Lun 14 Oct - 0:40
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei]
"Uzumaki Yuji" Au coeur des faubourgs dévastés de Kirigakure, elle était venue te trouver. Avait sollicité ton concours, pour une entreprise qu’elle ne pouvait seule assumer. Patient et curieux alors, tu l’avais écoutée, ressassant derrière tes prunelles ambrées tous les délices que tu lui avais déjà arraché, que ce fut avec ou sans son gré. Sa requête, elle n’avait pas cherché à en cacher les contours égoïstes, avait une fois de plus affiché toute la rectitude de ses convictions et la droiture de ses desseins. Une simplicité dans son approche qui n’avait trouvé d’égale que la ruse dont tu lui avais imposé la complicité, et qui s’exprima ce soir-là par la seule nature de ton apparat, une fois acquise la compagnie des trois autres missionnés. Sans la trace de la moindre hésitation, tu avais rejoint leurs rangs, t’étais joint à eux sous les traits d’un jeune homme étranger et familier à la fois évoluant parmi les siens, te fendant de ton anonymat comme d’un voile imperméable apte à embrumer les esprits les plus affûtés. Uzumaki Yuji : ainsi t’étais-tu introduit cette fois auprès d'eux, l'air avenant quoi que hautain associé à la caste réputée dont tu empruntais la notoriété. Tour à tour, tu avais défié sommairement leur regard, avais plongé dans leurs iris comme aucun autre n'aurait pu le faire que le prédateur rôdant près du nid de son gibier. Peut-être, songeas-tu, ne réaliseraient-ils jamais qui côtoyait ce soir leur flanc et s'apprêtait à partir avec eux sur le continent. Plus important que tout, cependant : Elle, ne le soupçonnerait probablement jamais.
Tout comme tes coéquipiers, t'était en tout cas donné à voir cet ensemble de talismans chacun marqué de runes absconses que tu aurais été bien incapable de déchiffrer, et qui symbolisaient pour votre commanditaire avalisée par la Brume elle-même les liens même de la causalité. Car en échange de jouer pour sa cause, c'était une dette à repayer qu'elle vous proposait ainsi, un levier tout à fait ostentatoire que vous seriez ultérieurement libres d'actionner. Une commodité dont tu pouvais aisément te passer mais que, ne serait-ce que pour les apparences, tu étais voué à glaner pour confirmer ta participation à cette mission dont tu connaissais déjà la silhouette des tenants et aboutissants. Tes bras d'abord lâchés le long de ton corps plus svelte et élancé que de coutume, tu en vint à les croiser sur ton poitrail en froissant ce par-dessus verdâtre fictif que tu avais choisi de revêtir, lorsque tu écoutas les dires de ton partenaire et cousin Bankichi. A son ton régalien, en effet, la personæ que tu arborais se devait de manifester ce qu'il fallait de dégoût et de mépris, ce que tu fis avec justesse et parcimonie pour cimenter l'existence de ton itération de Yuji. Lorsque tu en eus l'opportunité, tu pressas à ton tour le pas vers le talisman qui t'était octroyé, portas une main ferme et déterminé sur ses contours raffinés et l'élevas vers toi sans hésiter.
Je suis votre obligé, Asami-san. Il va sans dire que je ne faillirai pas à la tâche : les enjeux pour notre peuple sont bien trop grands. Quant à vous...
Tu expédias une oeillade singulièrement hostile à l'adresse du tisserand de jais pour le convaincre de ton inimitié factice à son endroit.
...J'espère que vous saurez vous tenir. Votre réputation vous précède, Kaguya, et la dernière chose que je souhaite est de vous voir saccager nos chances de contrecarrer les plans de ces malandrins.
Tu le sentais aux creux de tes reins, dans les remous qui sévissaient dans ton abdomen, ce frisson d'ascendance divine qui te venait tout droit des royaumes d'Izanagi, emprunt de ses délices et de sa majesté. Oui, songeas-tu en repensant aux mots de ton cousin, le continent vous attendait bel et bien, et tu t'apprêtais à lui laisser entrevoir l'un de tes nombreux visages.
Résumé
Kaijû no Yoroi — ANinjutsu SpécialL'utilisateur crée tout autour de lui une armure d'os à base de cartilages renforcés. Une fois entièrement entouré, celui-ci se verra protégé d'attaques à la puissance importante et pourra les encaisser sans broncher.
DEFENSEMULTIDIRECTIONNELLEPUISSANCE DE RANG A
Senshin Henge no Jutsu — ADissimulationL'utilisateur utilise son chakra et sa maîtrise avancée de la tromperie pour se transformer en quelqu'un d'autre ou en un objet, sans que les chocs modérés ou que l'acuité visuelle d'autrui ne puissent percer à jour ce camouflage. Il dissimule également ses émanations de chakra afin de duper les techniques de sensorialité d’un niveau égal ou inférieur d'apparaître comme un simple civil.
UTILITAIREPUISSANCE DE RANG A-
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Mar 15 Oct - 16:32
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei]
Le cri des agneaux
ft. Bankichi & Zetsumei & Eri
La rubiconde lui faisait face alors qu’elle passait un regard étrangement triste sur ceux qu’elle avait réuni pour ce qu’elle qualifia elle-même d’appel à l’aide. Devant le quatuor se trouvait quatre missives accompagnées chacune d’un talisman unique leur étant visiblement destiné. Dans un silence respectueux, les quatre membres de la brume présent attendirent que l’instigatrice de cette rencontre prenne la parole et la Kayuri en profita pour observer ses comparses. Deux d’entres eux lui était connu, mais elle n’avait jamais rencontré la troisième. Ce à ce moment que l’Uzumaki prit enfin la parole, confirmant ce qu’elle avait déjà deviné tout en y ajoutant la raison du talisman qui, à ses yeux, représenterait une dette. Sans réellement réfléchir, la jeune femme dégaina Sagiri de quelques centimètres afin de laisser un filon de brume s’échapper de sa lame qui vint faire virevolter légèrement le petit bout de papier avant de l’empaler pour finalement aller le déposer avec délicatesse dans les mains de l’eisei-nin avant de disparaître un instant plus tard tandis que la sabreuse rengainait sa lame. Comment oses-tu penser avoir une dette à mon endroit ? Sa voix avait été ferme et suffisamment puissante pour que l’Eisei-nin puisse l’entendre alors qu’elle cherchait à quitter la pièce. Si l’une d’entre nous possède une dette envers l’autre, ce serait plutôt moi… Mais trêve de ces conneries de dettes, ma réponse est évidente. Mon seul regret est que tu ne puisses pas nous accompagner. Sur ces mots, la sabreuse agrippa l’ordre de mission et en déchira le sceau afin d’en lire le contenu tandis qu’elle observait les fragments du talisman de Bankichi virevoltés au grès du vent, étirant un sourire sur le visage de la jeune femme. Cette mission promettait d’être… Intéressante. - Résumé :
Santé: N/A Chakra: N/A
Résumé: N/A
Technique(s) utilisée(s) : N/A
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Ven 18 Oct - 6:02
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei] Le Cri des Agneaux — Automne 83, Pays des Montagnes Ft. Kaguya Bankichi, Kaguya Zetsumei & Kayuri Heizu Je vais le tuer, Asami-sensei... Le Monstre.Ainsi avais-je parlé, à l'orée de la forêt, ce jour-là, renonçant dès lors à l'idée de fuir, pour braver la bête et son Chaos, partout où ils seraient, pour ma propre gloire et celle de la Paix ; pour purger le monde de tous ses abominables reflets, de la Pluie jusqu'à l'Eau, au sein du clan Yamanaka, ou ailleurs, jusque dans les volutes sanguinaires de Kirigakure, et même l'inconnu. Un serment, qui allait tantôt me guider sur un chemin bien plus accidenté que je ne l'avais envisagé, là où chaque pas de travers pouvait s'avérer être le dernier... D'abord, au Pays des Montagnes.Je poussais un soupir, inaudible, en terminant la lecture de l'ordre de mission. « Asami-sensei...» Les yeux, le visage, le corps entier de l'Écarlate parlaient d'eux-même. Je l'avais rarement vu dans un tel état de vulnérabilité. Heureusement, je n'étais pas la seule à répondre à son appel à l'aide, trois autres têtes complétant le tableau. D'entre elles, seule celle du chûnin à la salamandre m'était familière. La présence de cet Uzumaki aux cheveux d'or, toutefois, me rassurait, étrangement... « Je... je ne peux pas accepter votre talisman, sensei. » laissai-je enfin tomber après les autres, en rangeant le parchemin dans la pochette dissimulée sous mon haori turquoise, à ma taille. « Vous m'avez déjà offert bien... bien plus que vous ne le croyez. En fait... Ce... serait plutôt à moi de vous offrir quelque chose. » Mon regard, nerveux, croisa brièvement celui de chacun de mes camarades dans la pièce avant de plonger dans celui de la rubiconde. Ce que je m'apprêtais à faire était inédit et, surtout, terrifiant pour l'enfant en moi, qui avait toujours été effrayée par son ombre. Les conséquences de mon geste ne tarderaient pas à se faire sentir, mais il n'en restait pas moins nécessaire, sinon pour couper l'herbe sous les pieds à ceux, ou celle, qui espéraient y forger les barreaux d'une cage. Ma voix les atteignit alors tous, elle le devait, à la fois forte et fluette. « Si le... don... du clan Yamanaka peut servir à apporter la Paix, alors, je... Je vous aiderai, Dame Asami. » Il n'y avait plus de retour en arrière possible. C'était ainsi que l'on marchait dans la Voie. - Résumé:
Résumé des actions : - Eri refuse le talisman offert par Asami; - Acceptant la mission, elle révèle du même coup son identité Yamanaka aux autres personnes présentes dans la pièce.
État de santé : RAS État du chakra : RAS
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Sam 26 Oct - 21:56
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei] Le cri des agneaux Ft. Wild HuntHeizu-san semblait également avoir une bonne relation avec l'eisenin, tout comme la jeune Eri qui mentionna un clan. Distraitement, Bankichi nota le point, sans reconnaitre le nom mentionné.
Yamanaka ? Cela me dit quelque chose... Sans doute un clan de grands utilisateurs de genjutsu.
Il lança un regard noir à l'Uzumaki blond qui c'était permis de ternir sa réputation - qui était parfaite. Vous n'avez jamais entendu une meilleure réputation que la sienne. Certains disent même qu'il a inventé la réputation. Des héros et des légendes venaient de loin pour le voir, la larme à l'oeil, en lui disant "Merci d'avoir tué Shinchu". "Merci d'avoir tué cette Mariée sans Visage". Heureusement, il était trop important pour satisfaire ce jeune freluquet d'une réponse sonnante et directive. Il ne méritait que le mépris de son indifférence, pour le moment.
Bankichi laissa tout le monde dire son grain de sel et dire aurevoir à la meilleure Eisenin non kirijin de tout le Yuusei. Il se tourna vers les compagnons, et ajouta une petite précision.
Personnellement, je suis également intéressé par obtenir une cartographie sommaire du pays, cela nous aiderait aussi pour notre mission. Et... si quelqu'un a entendu d'un endroit où la végétation se meurt, comme corrompue. Allons trouver un bâteau pour Sanchu. J'ai quelques provisions pour le voyage.
Bien entendu, Heizu savait de quoi il parlait. La lance Maudite se trouvait dans le même pays - et cette opportunité était intéressante pour trouver déjà quelques informations globales dessus. Sans en faire un objectif principal, se renseigner n'était pas une mauvaise chose. Cela faisait partie d'une certaine préparation.
Ils trouvèrent un bâteau et le manipulateur des lianes noires fut le premier à monter à bord et à prendre une chambre, et y déposer son lourd sac à dos. Il sécurisa sa chambre du mieux qu'il put, et laissa une invocation pour surveiller le tout avant de remonter sur le pont. Profitez du grand air, et de voir la Brume de son pays une dernière fois. Il en profita pour toucher mot à la sabreuse. Heizu était en théorie une ennemie jurée du Kaguya - tous les épéistes de Kiri disposaient d'une influence et d'un pouvoir politique important. Trop important pour qu'ils ne soient pas des obstacles à sa conquête. Néanmoins, le futur Khan avait traversé des épreuves avec Heizu-san. Shinchu, d'abord. L'expédition, ensuite. Enfin, la Mariée sans Visage. Il la considérait presque comme une alliée, et admirait ses compétences. Alors les mots vinrent tout seuls.
Heizu-san, je n'ai pas encore eut le temps de vous en parler, mais nous avons traversé pas mal d'épreuves ensemble, et j'aimerais à notre retour vous inviter à une ... unité anti yokaï. Si vous êtes intéressée, je vous fait suivre les détails.
Une invitation à la Chasse Sauvage. Ce n'était pas anodin, ce n'était pas non plus le meilleur moment pour parler de tous les détails que cela impliquait. Toutefois, à ses yeux Heizu serait une force multiplicatrice et non des moindre.
Quand à Eri, le Kaguya fut polis avec elle sans chercher à s'en rapprocher outre-mesure. Le blondinet ? Il l'esquivait au possible, non sans grimacer. Son esprit semblait un peu ailleurs lors de la traversée, à ce Bankichi. Un oeil averti aurait pu constater que Bankichi, une fois le bâteau loin des côtes, perdait beaucoup de sa bravache. Le teint n'était pas livide, ou retenant des relents de maladie (car si Bankichi avait peu de qualités, mais le pied marin en faisait néanmoins partie). Non, c'était... des perles de transpirations. Des déglutissements. Des regards incessants, autour de lui. Si quelqu'un lui poserait la question ? Voilà ce qu'il dirait.
Hm, je... je ne vais pas souvent sur le continent.
Bankichi avait peur, peur de cette inconnue, peur de s'y retrouver face à des obstacles qu'il fanfaronnait comme indigne de lui, et pourtant hors de sa portée. Peur de se retrouver sans la protection de la Brume Sanglante, aussi. Il pensait aux sauvages, aux ennemis de son clan, aux yokaïs qui devaient pulluler de partout sans Kaguya pour les chasser durant les pauses de midi. © Bankichi - Spoiler:
Ils trouvent un bateau, Banki dépose ses affaires sous protections d'une invocation rang C et se balade sur le pont
Il a les boules.
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Lun 28 Oct - 1:15
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei]
"Uzumaki Yuji" Les yeux, miroirs de l’âme. Les tiens, en l’occurrence, n’étaient le vecteur que de malice et de tromperie, l’un des nombreux aspects que tu incarnais pour Izanagi, et si tout ce que tu dégageais physiquement pouvait s’apparenter à une franche droiture menée par une morale sans faille, cela n’en changeait en rien qui tu étais. Ce, que tu étais. Un être de sang qui vivait pour le sang, maître des maux et des afflictions, toujours à la recherche de leurs plus belles expressions. Tu dus produire cependant un effort supplémentaire en matière de duperie, lorsque la jeune Eri de sa franchise fit étalage sans coup de semonce, énonçant haut et fort et à tous les missionnés présents dans la pièce la nature précise de son ascendance. Tu tâchas de réfléchir vite, à la réponse adéquate à apporter, toi qui était déjà détenteur de ce secret désormais avoué, et comme en bien d’autres circonstances, la réponse appropriée te sembla être un surplus de modération et de sobriété. Tu adressas donc logiquement un regard plus appuyé à la jeune femme, haussa un bref moment tes sourcils pour marquer ta surprise, avant de finalement hocher la tête en signe de compréhension et d’acceptation. Nul besoin, pour l’affaire qui allait vous occuper, de jouer un débordement de défiance : tu aurais déjà fort à faire en ce sens, vis à vis de ton propre cousin, pour cimenter toujours un peu plus la stabilité de cette personae que tu avais mise sur pieds. Le temps du briefing fut toutefois promptement passé, et tous vous mîtes en marche vers le port le plus proche, solidement achalandé avec le continent, pour embarquer à bord de l’un des navires en partance pour Sanchu.
Solitaire et pour autant avenant lorsque cela t’était permis et possible, tu pris le temps de faire le tour du pont, ton maigre paquetage tenu sur le dos par une ficelle entortillée autours de ton index et majeur, jouant les curieux, agissant comme tel dans un pur reflet de ton véritable toi. En ton for intérieur, et à plus forte raison lorsque les amarres furent larguées, tu commençais à éprouver une sensation de picotement unique en son genre, comme si des milliers de fourmis étaient venues te grignoter les entrailles de l’intérieur dans un festin bourdonnant et extatique. L’excitation. Tu finis par l’identifier sans mal, sans pour autant pouvoir en faire étalage, soucieux de rester dans ton personnage avare en mot et coutumier de ce genre de traversée. Par intervalles savamment étudiés, tu laissas transpirer de maigres sourires sur tes traits altiers, en particulier à la vue de ton cousin Kaguya manifestement aux prises avec l’énormité de la nouveauté vers laquelle vous vous précipitiez. Impensable, en ces circonstances, d’aller d’entretenir avec lui : l’envie t’en manquait même, à vrai dire, quand tu considérais les autres opportunités qui s’offraient dors et déjà à toi, tandis que l’Archipel s’éloignait à une allure soutenue et régulière, vos voiles à présent gonflées par les vents.
Prétextant un tour de l’équipage, avec qui tu parvins à échanger quelques banales interjections amicales, fruit de tes nombreuses immersions auprès des quidam qui formaient les masses de vos cités et de votre pays, tu parvins à repérer celle avec qui tu voulais t’entretenir, fut-ce avec une brièveté qui limiterait ta propension à l’erreur. Ton regard, tu le fixas vers l’horizon, vers ces terres encore invisibles que tu pourrais bientôt fouler. Avec le sang desquelles, tu pourrais t’abreuver.
Dame Yamanaka. J’espère que vous ne m’en voudrez pas de partager votre compagnie un petit instant. Je n’ai pas pu ignorer… la fragilité. Dans votre voix, tout à l’heure. Je gage qu’il n’est pas toujours aisé, pour une maîtresse de l’esprit, de tisser d’authentiques liens avec autrui.
Tu allas chercher un regard, de la part de la Shimizu, un bref accrochage de vos prunelles respectives, avant de reprendre succinctement.
La tâche qui nous attend promet d’être ardue, et les enjeux pour les miens sont grands, mais sachez… Sachez, que vous pourrez trouver en moi un ami, si nécessité venait à se présenter.
Tu hochas amicalement la tête à son endroit, avant de tourner les talons de toi-même en te rendant à bâbord. Les mers, sous la coque du navire, se fendaient avec une facilité déconcertante, comme si les dieux eux-mêmes voulaient faciliter et accélérer votre traversée. Il ne t’en aurait, en tout cas, jamais paru autrement, et ce malgré les tenants pragmatiques de votre mission. Des objectifs, songeas-tu, qui s'imbriquaient dans de bien plus grands enjeux, des balances de pouvoir que tu pouvais maintenant entrevoir avec plus de clarté, investi d'un savoir que bien d'autres avant toi avaient convoité sans succès. C'était en effet loin d'être un hasard, si les intérêts de l'eiseinin Uzumaki avaient ainsi pu converger avec ceux de votre Mizukage, et il te tardait à présent de te réserver à toi seul certaines pièces de cet échiquier pour les faire saigner. Pour découvrir, de quelle substantifique moelle elles étaient faites.
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Lun 28 Oct - 14:32
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei]
Le cri des agneaux
ft. Bankichi & Zetsumei & Eri
Tous, ou presque, refusèrent la faveur obligée de l’écarlate ce qui fit légèrement sourire la jeune femme. Quelques instants plus tard, le quatuor prenait la direction du port de la brume et la sabreuse en profita pour analyser le compagnon qu’elle ne connaissait pas, le fameux Uzumaki aux cheveux blonds. Sa démarche lui rappelait quelqu’un, mais elle n’arrivait pas à placer le doigt sur le souvenir adéquat et, après plusieurs minutes de recherches mentales infructueuses, la Kayuri abandonna l’idée d’en découvrir l’origine et accompagna en silence ses partenaires jusqu’au navire. Alors qu’il s’apprêtait à embarquer, le Kaguya l’intercepta pour lui proposer de rejoindre une unité spéciale du village lorsqu’ils seraient de retour de leur expédition et la jeune femme ne put s’empêcher de sourire avant de lui répondre. Une unité spécialisée contre les Yokai ? C’est une proposition intéressante… C’est vrai que nous avons une certaine affinité lorsqu’il est question d’affronter ceux-ci… Votre proposition m’intéresse… Elle fit ensuite volte-face et monta à bord du navire où elle fit ce que toute bonne kirijine et se mit à l’ouvrage, joignant ses forces à celles des marins qui s’échinait sur les différents cordages afin d’éloigner le vaisseau du rivage. La sabreuse ne se permis un moment de pause qu’une fois ce dernier bien en route vers leur destination et, alors qu’elle s’affalait au pied de l’un des mâts du navire, son esprit vagabonda vers ses comparses de voyage et, plus particulièrement, la dame aux cheveux blonds qui leur avait dévoiler son affiliation au clan Yamanaka… Mais qu’était réellement ce clan et qu’elle était ces capacités auxquelles elle avait fait référence ? Intrigué, elle attendit que l’étrange Uzumaki s’éloigne avant de s’avancer à son tour vers la discrète dame qu’était Eri. Pardonnez mon dérangement, mais ma curiosité me pousse à vous demander… En quoi consiste l’héritage Yamanaka ? et surtout… En quoi pouvaient-elles être utiles au reste du groupe lors de cette mission d’infiltration ? - Résumé :
Santé: N/A Chakra: N/A
Résumé: N/A
Technique(s) utilisée(s) : N/A
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▶ Sujet: Re: [Mission A] - Le Cri des Agneaux [Bankichi, Eri, Heizu, Zetsumei] |
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