A	Officielle: Le Démon du Feu @Uzumaki Seto , @Sato Katsuki , @Kawasaki Kaïto & @Matsurika Hanabi

Un point critique a été atteint dans l'histoire du Yuusei. Le Jinchuuriki du Pays du Feu semble avoir été localisé par des personnes de l'Alliance. C'est ce dernier qui a fait parvenir des signes de vie afin de laisser entendre un message fort à la Capitale du Pays du Feu : il n'est qu'une question de temps avant que l'Alliance n'attaque et ne se penche sur sa capture. Il faut agir vite, si on souhaite éviter qu'il ne se passe le même drame que pour Kyuubi. Un appel aurait été lancé au sud-est du pays.

Étapes — → Vous rendre au sud-est du Pays du Feu ; → Retrouver la trace du Jinchûriki menacé par l’Alliance ; → Empêcher l’Alliance de libérer et/ou capturer le démon à queues ;

Récompenses — ◘ 14 XP et 600 000 ryôs par participants.

Ses gestes, à l’image de son esprit, était clairs, limpides. C’était devenu un rituel: à chaque départ en mission la Tatouée réunissait méthodiquement ses maigres affaires. Quelques provisions, le nécessaire pour assurer les premiers soins ainsi qu’un ensemble d’éléments comme des cartes ou une boussole afin de ne pas se perdre dans les océans forestiers du Pays du Feu. Quelques mudras lui permirent d’aspirer chacun des objets et denrées présentes devant elle dans différents sceaux placés sur son corps. Une fois la tâche finit, l’encre coloré qui composait les sceaux se délita et se recomposa, prenant la forme d’animaux chimériques qui semblaient se déplacer librement sur la peau de la native des Tourbillons.

Cela faisait plusieurs jours que l’artiste traînait son spleen. Avoir assisté, impuissante, au dernier acte horrifique de Wasuko, l’homme cadavre omniscient qu’elle avait dû affronter en compagnie de Seto et Shinjiro afin de protéger Sadame Uzumaki au prix du massacre aveugle de civils lui avait laissé une cicatrice invisible mais dont la douleur surgissait à chacune de ses inspirations. L’image restait gravée sur sa rétine comme un mauvais tableau qu’elle ne pouvait oublier.

Plus tôt, un shinobi du Palais de la Shogun et membre du conseil restreint de cette dernière c’était présenté à la porte de son échoppe afin de l’entretenir d’une affaire urgente et lui remettre une lettre, une mission spéciale de la part des instances dirigeantes et frappé du sceau de la Shogun elle-même. L’ordre était implicite, tel un écho d’un passé récent, la Tatouée devait monter une équipe et voler à la rescousse d’un Jinchûriki présent au sein du Pays du Feu et lié au Shogunat. Encore la même histoire, encore les mêmes rôles et encore la même menace: l’Alliance.

Elle se saisit de la liste des Shinobis immédiatement mobilisables au sein de la capitale et prit rapidement connaissances des quelques noms présents. Ils étaient peu, la plupart des ninjas valides avaient été mobilisés pour sécuriser le Pays après l’attaque impitoyable de l’Alliance sur la capitale. La plupart étaient -comme elle- des Shinobis mis au repos ou en fin de convalescence.

Une mission périlleuse où elle devrait certainement faire face aux traqueurs de l’Alliance dans l’arrière pays du Feu impliquait un besoin de combattants aguerris et une grande adaptabilité. Ses yeux faisaient des vas et viens entre les noms et bientôt elle en retînt trois.

« Sato Katsuki. »

Le nom du colosse paraissait être une évidence, la puissance qu’il pouvait générer à travers l’usage des portes célestes restaient sans pareil parmi les Shinobi et pouvait rivaliser individuellement avec les entités les plus menaçantes du Yûsei.

« Uzumaki Seto. »

Une affaire dans laquelle était impliqué un Jinchûriki impliquait obligatoirement la présence d’une Uzumaki et celle ci avait prouvé sa valeur lors de la protection de Sadame. Son savoir, son sens du sacrifice et sa force au combat la rendait inestimable au sein de cette équipe.

« Et… »

Ses yeux restèrent fixés sur un nom de la liste, un nom qu’elle n’osait prononcé mais qui saurait apporter imprévisibilité, contrôle et polyvalence à une équipe déjà bien balancé. Son caractère pouvait être à double tranchant mais c’était un pari qu’elle était prête à prendre tant le nain pouvait être assez extravagant pour faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre.

« Bon… hmm… Kawasaki Kaïto. »

L’homme acquiesça et partit livrer les ordres de missions aux autres membres sélectionnés par l’artiste, laissant celle ci à ses préparations. Pour la première fois depuis l’Incident de l’Hôpital, la jeune femme réussit à oublier le massacre et son échec et se concentrer sur cette mission qui lui apparaissait comme une chance de rédemption. Elle réparerait ses erreurs passés, elle protègerait tout le monde et réussirait cette mission parfaitement.


_____________________________

Arche Sacré d’Homura.

Les différents protagonistes se rassemblèrent comme le voulait la tradition devant l’Arche Sacré marquant l’entrée et la sortie de la Capitale.

« Bonjour à tous ! » S’exclama la rosâtre en direction de ses coéquipiers.

« Je crois que nous nous connaissons tous ici, si ce n’est pas le cas je vous invite à le faire en chemin, vous avez tous lu l’ordre de mission ainsi que son niveau de dangerosité. Nous devons agir vite et rester alerte dès notre premier pas hors de l’ombre des murailles de la capitale. »

Elle inspira profondément, gonflant ses poumons au maximum de leur capacité et expira bruyamment, chassant par la sorte cette douloureuse boule de nerf qui c’était logée et prospérait dans son abdomen.

« Bien ! L’organisation sera aussi simple qu’efficace, nous évoluerons les uns derrières les autres... Katsuki tu passeras devant. En cas d’embuscade, la force de frappe que tu incarnes sera essentielle pour enfoncer les lignes ennemies et nous sortir le plus vite possible d’une mauvaise situation. Je serai derrière toi et utiliserai au mieux mes capacités de détection pour éviter des mésaventures. Ensuite, Seto, tu es pragmatique et courageuse. Ta force de caractère et de jugement nous serons précieuse au centre, en cas de danger devant nous échangerons de place afin de laisser parler tes poings. Enfin, Kaïto, toi et tes marionnettes assureraient nos arrières et, selon la situation, apporter le surnombre à l’avant, ton instinct et tes compétences font de toi l’un de nos plus grands atouts pour cette mission, montre nous l’astucieux shinobi que tu es. »

Elle adressa un dernier regard en direction des insignes des trois clans créateurs gravés dans les pierres constituant l’Arche, émit le vœu de revenir saine et sauve en compagnie de ses coéquipiers et de l’hôte du Démon. Puis, elle se tourna, chassant cet élan d’optimisme qu’elle savait dangereux et bien souvent irréel.

« Si tout le monde est prêt, allons y ! »

Elle s’élança, son masque aux crocs démoniaques sur le visage, en direction le Sud Est du pays pour affronter une nouvelle fois ce qui s’apparentait être l’antagoniste de sa génération: l’Alliance. Ses pupilles étaient marquées de cette volonté inébranlable qu’elle avait acquise lors de son voyage diplomatique à Uzu et sa rencontre avec le Trio de la Balance, ce souhait qu’elle ne resterait pas une proie immobile et silencieuse face aux exactions de l’Alliance, qu’elle saurait trouver les forces en elle et autour d’elle pour pouvoir se dresser face à la menace de Janome, Naga et Kyubi. En ce sens la présence de ses coéquipiers à ses côtés, des individus qui possédaient cette force et cette bravoure essentielles dans cette énième bravade contre l’organisation qui semblait sortir des ombres lui paraissait essentielle et rassurante.

Spoiler:

Dernière édition par Matsurika Hanabi le Ven 25 Oct - 21:02, édité 1 fois

Cela faisait déjà un moment que Katsuki était sortie de prison suite à l'attaque sur Homura, mais la routine tardait à revenir dans la capitale. Normal, car celle-ci ne ressemblait toujours pas à une capitale à proprement parlé. Néanmoins, la vie trouvait un rythme dans le chaos, et plus les journées s'enchainaient, plus il semblait possible pour le mortel moyen de revenir à une normalité. Le colosse n'est pas le mortel moyen, et sait pertinemment que l'alliance n'en a pas finis avec Homura, et c'est pour cette raison que quand il attrape la missive de sa première mission post attaque sur la capitale, il appréhende... qu'est-ce que les hautes instances du pays du feu peuvent bien lui vouloir? Le sceau de la shogun est le premier indice qu'il n'allait pas sur une simple mission comme il en avait fait plein.

Katsuki dévore le contenu de la lettre, et remarque que sa main tremble légèrement. Il semblerait que ses mots aient été en avance sur leur  temps de quelques semaines, car le Jinchuriki présent au pays du feu se manifestait enfin. Si l'on devait croire la lettre, celui-ci appelait à l'aide, et donc il tombait évident qu'il était un potentiel allié à Homura... très bien alors. L'idée d'affronter l'alliance sur un terrain neutre cette fois enflammait de désir le colosse… un désir bien réel de vengeance, de rétribution… de mettre un poing violent au visage de cette organisation qui lui avait prit non seulement d'innombrable vies, mais aussi son quotidien, sa réputation, ses connaissances... l'image qu'il avait affûté auprès des civils, qui avaient finalement commencer à le regarder sous une lumière positive.

Ses affaires étaient faites dans l'instant, et il partait en direction de l'arche… sa résolution était inébranlable.

---

À l'Arche Sacré, le colosse reconnait rapidement ses collègues. L'un d'entre eux est Kaito, une présence apprécié, et les deux autres il avait rencontré en récupérant Uzumaki Sadame juste avant l'attaque... et si l'Uzumaki du duo était un peu plus mystérieuse, il avait déjà qu'il pourrait compter sur Hanabi, la cheffe d'équipe, quand la situation le demanderait. L'artiste ne perdait pas de temps d'ailleurs, donnant des ordres et offrant un commandement solide pour la mission, au grand plaisir du colosse, qui comprenait alors qu'il serait le fer de lance de leur formation. Quelque part, il était content de voir que quelqu'un allait s'en servir de la manière évidente, celle d'une force importante au combat… trop souvent avait-il été envoyé faire le négociateur ou le diplomate.

Le colosse prend alors les devant, direction sud-est. Avant de partir, il offrit une main amical dans le dos de Kaito. Il se sentait en sécurité d'avoir le nain avec le groupe, il lui faisait déjà confiance avec sa vie.

'' Ramenons ce démon à Homura. Pas question de laisser l'Alliance prendre un autre avantage. Montrons leur que le feu brûle toujours. ''

Qu'allait il rencontrer dans ce périple ? La dernière fois qu'il partait récupérer un Jinchuriki avec Seto et Hanabi, les catastrophes avaient été énorme… mais bon, il savait maintenant que de répondre au Futon par le Katon était une idée douteuse au mieux, et  désespéré surtout. Avec un peu de chance, ce Jinchuriki là aurait encore son démon une fois les shinobis d'Homura sur place… et à partir de là, ils ne se laisseraient pas surprendre pas l'alliance aussi facilement. Une seule hésitation existant dans le cœur du colosse… en l'absence de shinobi médicaux, s'il venait à ouvrir la cinquième ou même sixième porte comme... non, pas la place au doute, si ça devait être fait, alors il le ferait.

Tout utilisateur des portes célestes acceptaient que, dans le meilleur des cas, leur destin était de mourir au combat.

Automne 83, Pays du Feu - Homura, Arche Sacrée

Assis en tailleur, à même le sol, dans le petit jardin attenant à la Taverne Onirique, les yeux fermés, je prenais de grandes inspirations, avant de relâcher doucement l’air accumulé dans mes poumons. Cette  discussion avec Katsuki sur la gestion des émotions m’avait fait grandement réfléchir.

[Katsuki] « Les émotions fortes sont un moteur. Il faut s’en servir, mais ne jamais perdre le contrôle. » (Propos tirés du rp : Le muscle et le cerf veau)

Ces mots résonnaient encore dans mon esprit, alors que nous avions eu cet échange quelques jours auparavant. Mon niveau actuel et mon âge ne justifiaient plus depuis longtemps mon manque de rigueur dans la maîtrise de mes ressentiments envers l’espèce humaine. Contre toute attente, je m’étais résolu à trouver une solution à cette situation désastreuse. Pour devenir une ombre parmi les ombres, je devais d’abord devenir le maître de mon corps, de mes pensées et de mes sentiments. Certainement l’exercice le plus dur que j’eus à entreprendre depuis ma naissance.

Depuis, chaque matin, avant que l’aube ne se répande sur la capitale, je venais tenter de trouver la paix intérieure dans ce jardin. Je mettais alors en pratique les exercices de respiration que le vieux m’avait appris quelques années auparavant. Oui. Il m’aura fallu tout ce temps pour accepter de les utiliser. La séance se terminait lorsque les premiers rayons du soleil venaient tendrement caresser mon visage.

Des mouvements dans mon dos, vers l’atelier, détournèrent un instant mon attention. Des murmures entre deux hommes. Je crus reconnaître la voix de Roruko. Quant à l’autre, ses intonations ne me disaient absolument rien. Sa voix n’appartenait ni à un membre du Gang des Sept Nains ni à l’un de nos clients habituels. Considérant que cette affaire ne me concernait pas, mon esprit tenta de se focaliser à nouveau sur ma respiration.

Des pas, plutôt légers et pressés, mirent à mal ma concentration et firent échouer pour la énième fois cette nouvelle tentative désespérée. Je poussais un soupir, ouvris les yeux et les posais sur l’horizon. De ma position, la vue était imprenable sur certains quartiers de la ville. Les ombres reculeraient dès que le soleil apparaîtra. Visiblement, je n’aurais pas cette chance de le voir se lever aujourd’hui.

« Mes respects, monsieur. »

Je saluais le nouveau venu d’un signe de la tête puis, après m’être levé, je m’étirais consciencieusement pour réveiller mes muscles quelque peu endoloris par la position que j’avais tenu au sol.

« Ordre de mission prioritaire. »

Mon regard se posa sur l’enveloppe qu’il me tendait. Il ne perdait pas de temps. Je retins un soupir, le remerciais et pris le morceau de papier. Mon interlocuteur disparut presque aussi vite qu’il était arrivé. Visiblement, il avait le diable aux trousses. Mes sourcils se froncèrent légèrement lorsque je reconnus le sceau de la shogun. Il n’avait donc pas menti. Pour que Fujiwara Iwao daigne s’intéresser à ce genre de paperasserie administrative, c’est que la situation devait être particulièrement préoccupante.

Je l’ouvris sans ménagement et lus son contenu. Je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour être certain d’avoir compris ce que je venais de lire. Sérieusement ? L’Alliance n’en ratait pas une lorsqu’il s’agissait de foutre le bordel. Pour qu’un jinchuuriki demande de l’aide à la capitale, c’est qu’il pensait ne pas être en mesure de battre seul ses adversaires. Vu ce qu’ils avaient fait à Sadame et à la capitale, je ne pouvais que comprendre la situation délicate dans laquelle il se trouvait.

Après m’être assuré d’avoir enregistré correctement les informations, je jetais mon ordre de mission dans les flammes de la cheminée de la cuisine. Il était aujourd’hui de notoriété publique que le yuusei était infesté par des espions au service de notre pire adversaire : l’Alliance. Bien que le nombre d’habitants ait drastiquement diminué, il avait été confirmé par Fujiwara Senchi, lors de la dernière audience avec le Quintet, qu’Homura avait encore des indicateurs liés à notre ennemi. Par mesure de précaution et pour éviter que ces informations ne tombent entre de mauvaises mains, j’attendis que le papier soit entièrement brûlé et la cire fondue avant de quitter la pièce.

Je prévins le vieux de mon départ imminent. Je pris néanmoins le temps de préparer mes affaires. Avant de quitter ma chambre, je glissais l’une des pièces remontées du Sanctuaire condamné dans la poche intérieure de ma veste et vérifiais une dernière fois que le coffre contenant certains de mes trésors soit bien cadenassé. Je confiais un double de toutes mes clés au vieux et partis rejoindre mes compagnons de mission à l’Arche Sacrée.

« Salutations sur vous, chers collègues. »

Hormis Seto, que je ne connaissais que de vue, j’avais déjà travaillé plusieurs fois avec Hanabi et Katsuki. Au départ, mes rapports avec notre cheffe de groupe avaient été plutôt conflictuels. Avec le temps, ma propension à agresser verbalement les individus s’était amoindri, bien que j’en pensais pas moins intérieurement. Malgré mes divergences d’opinion avec mes camarades, le respect et la confiance que je leur accordais étaient suffisamment grands pour que mes inquiétudes vis-à-vis de cette mission soient quasi inexistantes.

Je ne doutais pas de la complexité de nos objectifs. Bien au contraire. Je savais que nous allions en baver. Dans le cas contraire, ma présence aurait été inutile. Ce sont les difficultés qui nous permettaient de grandir et de devenir plus fort. Je n’émis aucune objection quant au plan annoncé par Hanabi. Il était plutôt bien pensé. Il sortira de cette quête ce qu’il devrait en sortir. En bon comme en mauvais. A nous de nous y préparer et de braver l’adversité pour faire pencher la balance d’un côté… ou de l’autre.

Lorsque la peinturlurée donna le signal du départ, je fis quelques mudras et invoquais Jules, émeu parmi les émeu (technique n°01). De toutes mes marionnettes, ses déplacements étaient les plus rapides. Si j’étais amené à changer rapidement de place pour x raison, c’est lui qui me permettrait de couvrir le plus de terrain en un temps relativement raisonnable. J’attendis néanmoins que nous ayons quitté la capitale pour mettre en place la suite de ma stratégie.

Hanabi m’avait donné des consignes et je comptais bien les mettre à exécution. Toutefois, je ne savais pas qui nous observait lors de notre départ. Suspicieux comme je l’étais, je ne voudrais pas donner un avantage tactique à l’Alliance en dévoilant à ses espions mes véritables intentions dès le départ. Lorsque nous fûmes à une distance raisonnable des portes, je fis de nouveaux mudras et deux clones apparurent (technique n°02). Le premier invoqua Moka, roi des ours (technique n°03), tandis que le second fit appel à Jack, corsaire des bois (technique n°04).

Ils s’éloignèrent du groupe, l’un sur notre droite, l’autre sur notre gauche. Leur objectif était d’être, dans le pire des cas, une première ligne de défense au cas où. Dans le meilleur, ils seraient nos yeux et nos oreilles, permettant ainsi au groupe d’avoir un périmètre de sécurité, certes restreint, mais nécessaire pour nous permettre un temps de réaction plus grand, sans que cela impacte notre santé. A la vue de la puissance que les membres de l’Alliance pouvaient déployer, cette zone n’était pas du luxe.

Je comptais bien sur le fait de tous les ramener en vie à la maison.

Et pour ça, j’avais le devoir d’être cet « astucieux shinobi » dont Hanabi avait parlé.

Résumé: