La missive était arrivée très tôt au domicile de la renarde. Celle-ci se préparait pour une nouvelle journée sans histoire à Homura. Mais les dirigeants du village en avaient décidé autrement. Ils avaient décidé d'envoyer Yoko en mission diplomatique au pays du Fer, un pays voisin de Hi no kuni. Elle n'irait pas là bas seule car elle serait accompagnée de Fujiwara Urumi. Elle ne connaissait pas Urumi, mais avait entendu parlé du clan de samouraïs d'Homura. La tenue conventionnel de ninja ne suffirait pas pour une tel rencontre. Yoko était consciente qu'elle devait faire bonne impression auprès des Tetsujins. La renarde se regardât dans le miroir un instant... Elle avait bien quelques minutes avant d'aller chercher son équipière chez les Fujiwara non ?

C'est vêtue de sa plus belle tenue que notre renarde prit le chemin du domaine des Fujiwara. Le domaine en question était bien plus modeste que ce à quoi Yoko s'était attendue. Les Fujiwara étant l'un des clans majeurs de Hi no kuni, elle s'était attendu à un domaine extrêmement luxueux avec des jardins. Elle fût donc très surprise en voyant ce domaine composé de nombreuses tentes plutôt modestes. Rapidement un épéiste qu'elle supposait être un Fujiwara s'approchât de la demoiselle. Celui-ci ne semblait pas insensible à la beauté de la renarde.

"Bonjour Mademoiselle, il est assez rare d'avoir une visite aussi matinale ici, surtout la visite d'une femme renarde aussi bien vêtue que vous. Qu'est-ce qui vous amène ?"

"Ho ! Bien le bonjour, désolée de troubler la quiétude de ce lieux. Je suis Seijuu Yoko, j'ai été mandatée pour une mission diplomatique au pays du fer et deux membres de votre clans doivent m'accompagner. L'une des personnes qui m'accompagnent est Fujiwara Urumi, j'ignore l'identité de la seconde personne. Je serais ravie si vous pouviez demander à Urumi de me rejoindre merci."

   

Les partenaires de la renarde ne furent pas longs à la rejoindre. La première personne était la fameuse Fujiwara Urumi. Une charmante jeune femme pâle comme la neige. Son charme timide ne laissait guère la Seijuu indifférente, mais habituée à masquer ses émotions derrière un masque de sympathie, Yoko n'en laissât rien paraitre. La manière de parler de la Fujiwara était très théâtrale, voir même un peu désuète, mais les bonne manières l'imposait... Du moins c'est ce que supposait la renarde qui n'observait pas ces règles. Elle allait répondre à celle qui se présentât sous le nom d'Urumi. Mais avant de pouvoir répondre le Jonin qui formerait le dirigeant de ce trio fit son entré.

Fujiwara Iwan était un homme dans la force de l'âge et fort bien habillé. Ne possédant qu'un regard extérieur sur le clan Fujiwara, Yoko trouvât cet homme bien habillé et plutôt sympathique. La première attention du Jonin fût d'ailleurs pour la Seijuu. Tant de sympathie à son égard ne manquait pas de plaire à la renarde dont les oreilles se dressèrent et la queue se mit à remuer de droite à gauche.

Après un briefing des plus formels, Iwan laissât aux kunoichi l'opportunité de poser des questions. Mais Yoko souhaitait faire les choses bien. Après tout, une bonne relation avec l'un des trois clans fondateurs d'Homura ne pouvait qu'être profitable à ses objectifs.

"Avant toute choses Iwan-senpai, Urumi-chan, Je vous remercie de m'accueillir au sein du domaine de votre clan. Je me présente, Seijuu Yoko. J'espère que nous mèneront cette mission à bien afin de servir au mieux les intérêts du pays du Feu." Commençât-elle avec une légère courbette digne des personnes bien élevées.... Dégoutant... Puis elle reprit la parole. Iwan-senpai. Vous semblez en savoir un peu sur le pays du Fer, notre destination. Vous laissiez sous-entendre que les choses y étaient différentes. Que voulez-vous dire par là ? Ne sommes-nous pas mandaté pour une mission diplomatique ?"

Yoko avait beau avoir l'air d'une novice, la politique était un domaine qui l'intéressait. Elle espérait éviter d'avoir à se battre si cela était possible.

   

Yoko écoutait le dialogue entre les Fujiwara avec une certaine attention. N'étant pas du clan des samouraïs, elle ignorait tout de leurs histoires et comprendre la situation était cruciale pour ce genre de mission et visiblement elle était épineuse. Les Fujiwara semblaient avoir connu un schisme dans leur histoire et n'étaient plus unis. Certains avaient rejoint Hi no kuni tandis que d'autres étaient restés à Tetsu no kuni. La renarde pris une posture réflexive et sa queue se mit à s'agiter de gauche à droite alors que ses oreilles s'abaissèrent signe d'une profonde réflexion. Urumi comme Iwan soulevèrent des points importants de la mission qu'il ne fallait pas négliger. Les Fujiwara de Tetsu occupaient la majorité des siège du conseil et semblaient être pour le moins fermés. De plus le pays du fer était avantagé dans cette guerre. Cependant, une donnée manquait. Pourquoi attaquer Oto no kuni si ce n'était pas pour ses terres ? La nourriture ? Si c'était le cas, une alliance commerciale suffirait. Cependant, le renarde avait l'impression que cela cachait autre chose de plus dangereux.

"Je ne connais pas la géopolitique qui régit le pays du fer. Néanmoins, en tant que Seijuu je représente un élément externe au clan Fujiwara. Bien que mon point de vue ne soit pas totalement objectif, il l'est peut être un peu plus que le votre étant donné que la situation touche votre clan directement. Urumi-chan, Je pense que Iwan-senpai ne souhaitait pas te blesser par ses paroles, mais qu'il a simplement exposé son avis. Iwan-senpai, il faut néanmoins reconnaitre que vous devriez choisir vos mots avec plus de discernement. Pour le bien de notre mission, commençons par nous entendre. Les samouraïs Fujiwara ont beau se prétendre incorruptibles ils n'en reste pas moins des hommes avec leurs failles et il nous est nécessaire de trouver laquelle. Cette faille sera notre argument pour faire pencher cette rencontre en notre faveur. J'imagine que si il s'agit d'une guerre de ressource, un traité commerciale devrais suffire. Cependant j'ai l'impression qu'il y a autre chose derrière tout cela. Je suis de l'avis d'Urumi-chan, rencontrer des Fujiwara potentiellement alliés vivants sur place nous serait d'une aide précieuse... Je ne souhait pas arrivé à de tels recours, mais disons que je suis adepte de certaines... Stratégies visant à soutirer des informations ou obtenir des faveurs de manières... disons détournées."

Yoko avait volontairement choisi de rester évasive sur le sujet. Si elle pouvait garder un atout dans sa manche, cela faciliterait les négociations. Une fois d'accord, le groupe se mit en route vers la frontière du pays du fer. Le voyage à travers la forêt rendit la Seijuu particulièrement heureuse car elle s'y sentait dans son élément. Aussi l'arrivée dans le désert blanc du pays du fer coupât net cet entrain caractéristique de la Seijuu.

Résumé:

   

Tant que la possibilité d'explorer le monde ne s'est pas présentée, être confronté à l'extrême pauvreté peut être un choc des plus violents. Alors que l'équipe traversait les terres enneigées du pays du fer, La renarde fût frappée par ce choc. Pour elle qui n'avait vécue que dans la sécurité du pays du feu, être ainsi confrontée à une telle pauvreté l'affectait énormément. La pétillante renarde, d'habitude souriante semblait beaucoup moins à son aise. Iwan-senpaï semblait culpabiliser et Urumi-chan n'était pas beaucoup plus bavarde. Cette ambiance pesante et l'environnement froid rendaient la renarde très nerveuse.

Le groupe finit par arriver à proximité d'un village qui n'était guère plus accueillant que le reste des environs. Yoko avait l'air absente depuis qu'ils éraient dans ce paysage froid. Comme si sa nature de renarde lui hurlait de retourner en des environnements plus cléments. Elle essayait tant bien que mal de calmer cette angoisse. Si bien qu'elle ne fit pas particulièrement attention à ce que disais Iwan-senpaï dans un premier temps. Elle ne remarquât qu'Iwan s'adressait à elle quand elle croisât son regard alors qu'il bougeait les lèvres.

Comment amorcer le traité ? Ce que Tetsu pourrait offrir en échange ? La renarde n'en savait absolument rien. Elle n'était qu'une simple Genin...

Hum... Peut-être pourrions nous demander dans un premier temps le retrait des troupes belligérantes à Oto. Puis qu'en échange du maintien de la route commerciale, un apport en matières premières présentes en Tetsu comme le fer ou l'acier ?

Résumé ::

   

La soirée chez Urumi-chan avait été un véritable calvaire pour la renarde. Le premier problème fut les questions liées à l'étiquette. Yoko ne comprenait pas que l'on puisse être coincé à se point si bien que les manquements furent nombreux pour le renarde. L'autre point problématique fut les enfants. Peu habitués à voir venir chez eux une femme aux oreilles et à la queue de renard, les jeunes garçons de la famille d'Urumi n'hésitèrent pas à tirer sur les attribut vulpin de la demoiselle. N'étant pas chez elle, elle n'osât pas protester, mais très vite les douleurs se firent ressentir...  La nuit n'en fût guère meilleure. Le froid du pays du fer s'insinuât dans sa chambre provoquant de nombreux éternuements. Ce pays était vraiment inhospitalier. La nuit portant conseils, la renarde eût tout loisir de réfléchir à l'épineuse situation de cette rencontre...

C'est donc avec de sacrées cernes que la renarde se montrât au petit matin. En attendant Iwan, elle laissât s'échapper un bâillement exprimant sa fatigue. Iwan débutât un petit briefing matinal, mais la renarde, trop fatiguée pour être cohérente ne relevât pas la question du jonin et se contentât de baragouiner quelque chose qui ressemblait à "Je ch'ais pmas..." alors qu'elle se frottait les yeux.

***

Le groupe finit par arriver vers Hatogakure no Sato. Mais surtout, la neige se faisait de plus en plus présente. N'étant pas habituée à ce manteau blanc, la jeune femme aux cheveux rose, mue par un instinct presque animal prit sa forme de renarde pour faire des sauts dans la neige sans pour autant trop s'éloigner du groupe.

Elle perçut également l'approche du guerrier. Il faut dire qu'il ne cherchait pas à être discret non plus. Dés qu'elle perçut les premiers flashs, Yoko se doutât que quelque chose clochait. Elle avait donc abandonné sa forme animale pour redevenir plus ou moins humaine et elle commençât à composer une série de mudra. Surgit alors dans un nuage rosâtre un clone identique à la renarde qui s'empressât de rejoindre le groupe tandis que la Yoko originale restât dissimulée derrière un buisson proche.

L'attitude du guerrier était on ne peut plus claire, il souhaitait confronter Iwan seul à seul. Le Jonin ne réagit pas, alors la renarde prit les devant. Le clone s'approchât entre Iwan et le dénommé Ozuru d'une démarche gracile et sensuelle qui dénotait énormément avec la tension palpable de l'instant. L'insouciante manipulatrice braquât le regarde de son clone dans celui du guerrier tandis que l'originale composait les mudras de son genjutsu. Après avoir établi un contact visuel, le guerrier vit apparaitre des brumes rosâtres l'isolant du monde alentour puis la silhouette d'une très belle femmes bien trop peu vêtue pour l'environnement fit son apparition en face de lui susurrant une sensuel "Ara ara ~ Ozuru-sama, nous somme une délégation envoyée en mission pacifique. Nous feriez-vous l'immense honneur de nous laisser passer tous ensemble y compris Iwan-san. Si vous accédiez à ma requête, je vous garantis que votre repose du guerrier sera dé~lé~ctable~."

Résumé:

   

Malgré toute la bonne volonté de la renarde il semblait impossible, même au moyen de techniques destiné à cet usage, de faire entendre raison au guerrier qui se libéra du genjutsu de Yoko en se poignardant. Le pauvre clone renard de la Seijuu en fait les frais car il se fera découpé par la vague de chakra. Assise dans la neige, la renarde rose soupira d'exaspération. Voilà encore une preuve que les légendaires Fujiwara n'étaient rien d'autres que des abrutis aptes à renier leurs valeurs pour une vengeance personnelle. Et plus enclins à faire parler l'acier que la diplomatie. Vraiment, la seule chose de légendaire était leur incohérence. Cependant Yoko semblait tout de même croire qu'une voie diplomatique était possible. Elle n'aurais certainement pas la puissance de se mesurer à un tel adversaire mais si les pulsions sexuelles ne marchaient pas, restait la raison.

Un peu en arrière du combat, la renarde n'arrivait pas vraiment à suivre l'affrontement et ne semblait pas vouloir s'impliquer outre mesure. Elle attendit que la neige soulevée par l'antagoniste ne retombe avant de lever une main pour signifier aux épéistes de lige de ne pas intervenir. Puis elle se relevât en époussetant la neige de son kimono. Elle levât les mains au ciel avant de s'adresser d'une voix suffisamment forte pour couvrir le fracas des lames :

"N'y a-t'il vraiment aucun moyen de faire parler la raison plutôt que le sabre ? Ozuru-san, nous ne sommes pas là pour nous battre et ce qui vous concerne avec Iwab-san n'as rien à voir avec notre venu. J'ose espéré que vous êtes mieux éduqué qu'un babouin tout juste bon à brandir un morceau de ferraille et êtes apte à comprendre que nous ne pouvons raisonnablement nous adresser aux représentants de votre pays, qui je pense vous tient à cœur, sans le responsable de notre mission diplomatique. Que gagnerez-vous à abattre des gens qui ne vous veulent pas de mal ? Vos griefs ne peuvent-elles pas attendre la fin de notre mission ? N'étant pas une Fujiwara, le sort d'Iwan-san ne m'importe que tant qu'il se rends utile pour ma mission. Après cela je vous le laisse volontiers si l'envie de vous battre est toujours présente. Et si ma parole ne vous suffit pas, accompagnez nous au lieu de nous barrer la route comme vous le faite."

Puisqu'elle ne s'était pas montré agressive, Yoko espérait sincèrement que cette ultime tentative de faire entendre raison à l'homme en armure fasse effet.

Résumé:

   

La renarde n'aimait vraiment pas la tournure que prenait l'affrontement. Ses mots semblaient ne pas atteindre le guerrier qui s'entêtait à combattre Iwan. Le Jonin quand à lui semblait rendre coups pour coups et les deux antagonistes semblaient de force égale. Mais voilà que dans un manque totale de coordination avec les actions de la renarde, Urumi se jetait elle aussi dans une série d'attaques au sabre se mettant à son tour en danger. La renarde allait s'élancer pour tenter de sauver Urumi, mais trop tard, l'éclair fût plus rapide. Zuko, qui par chance ne fût pas touché par l'attaque tirât Urumi hors de portée d'un nouvel éclair. De son côté la Seijuu se métamorphosât dans sa forme animale complète et s'élançât vers sa camarade. En arrivant à proximité de Zuko, elle fit signe à celui-ci de charger Urumi sur son dos. Il était temps de décamper d'ici car le duel qui opposait Iwan à Ozuru devenait bien trop dangereux au gout de la renarde. Une fois chargée, elle s'élançât en direction de Hatogakure.

***

En ce matin relativement calme pour le village, les habitants virent une renarde bien plus grande que la moyenne, chargée d'une jeune femme foncer à toutes vitesses vers le palais. Quelques mètres avant d'arriver au niveau de la porte, la renarde repris sa forme humaine et pris Urumi dans ses bras avant de se diriger vers l'entrée gardée par deux soldats. Ceux-ci pointèrent leurs lances vers la Seijuu. Les talents d'actrice de la demoiselle allaient enfin servir à quelque chose. Elle trébuchât volontairement, mais sa chute semblait suffisamment crédible pour charmer quelqu'un.

"Ha ! S'il vous plait messieurs, à l'aide ! Mon amie à été la victime d'un brigand appelé Ozuru ! Notre escorte affronte en cet instant même ce démon au porte de la ville ! Nous sommes une délégation pacifique envoyée par le village d'Homura afin de traiter de la situation présente. L'acte de ce barbare pourrait avoir de lourdes répercutions si vous ne l'arrêtez pas ! Vite ! mon amie est gravement blessée ! Nous devons impérativement rencontrer le dirigeant du village !

Simulant un regard en larmes, la renarde avait sorti son meilleur jeu d'actrice pour recevoir l'aide de ces gardes.

Résumé:

   

L'accueil ne fût pas aussi simple que l'eut espéré la renarde. Si les gardes les laissèrent entrer, le seigneur de ces terres se montrât aussi froid et tranchant qu'une lame. Yoko consciente de ce qui se jouait dut faire preuve d'un immense sang froid pour ne pas tout simplement balancer son poing en travers de la figure de cet empaffé grisonnant et désagréable. L'impression d'être ainsi malmené commençait à peser lourdement sur son moral d'habitude si enjoué. Finalement Zuko, le cousin d'Urumi prit la situation en mains et fit entendre raison à ce seigneur de pacotilles qui s'empressât de réunir une troupe pour rejoindre le lieu de l'affrontement. La Seijuu laissât Urumi au soins des guérisseurs Tetsujins avant de rejoindre la troupe.

En toute hâte, le cortège rejoint l'entrée du village... Trop tard. L'affrontement était terminé et visiblement Ozuru était sorti vainqueur. Les Fujiwara qui avaient accompagné Iwan, Urumi et Yoko avaient été mis en pièces. Mais ce qui choquât la renarde c'est l'état du Jonin. Sans prendre le temps de détailler l'état des autres Fujiwara, sans entendre la complainte de Zuko ou les recommandations d'un des gardes du seigneur, la renarde se précipitât vers le jonin tombant à genoux dans la neige. La main sectionnée d'Iwan tenant encore son sabre reposait non loin.

Les larmes aux yeux, la genin prit la main froide et encore attachée au corps de son supérieur. Affolée, elle n'avait jamais été confrontée à la mort. Désemparée, elle perdit tout repaires, tout semblait noir autour d'elle. Les bruits environnants étaient étouffés, elle ne cherchait pas à avoir conscience de son environnement. Iwan semblait respirer... Une respiration trop profonde... Il était au porte de la mort. Le visage du Jonin tourné vers le ciel, la renarde lui retira délicatement ses lunettes, pensant qu'il voudrait voir le soleil de ses yeux si il voulait partir. Puis solennellement, elle prit le sabre du Jonin et le rangeât dans son fourreau. Elle se tournât vers le lointain, le sabre d'Iwan dans une main, elle mit les lunettes comme pour masquer son mal-être et au même moment, l'éclair frappât Arami. Un goût amère emplit la gorge de la Seijuu, le goût de la défaite.

Une voix intérieur s'éveillât. Une voix féminine, impérieuse, la part animale de la Seijuu qui était restée silencieuse depuis bien trop longtemps. Les yeux de Yoko changèrent, ses pupilles s'allongèrent et la voix dit à la jeune fille. "Ne t'en fais pas, tu auras ta vengeance pour ce qu'il a fait..."

Résumé: