Dim 24 Déc - 1:33
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▶ Sujet: Hajime Kodoka, Zenith (terminée). Hajime Kodokavillage cache de la brumeInformationsNom : Hajime Prénom : Kodoka Sexe : Masculin. Âge et année de naissance : 18 ans, né en 65. Pays d'origine : Homura. Pouvoir clanique ou spécifique : Sabreur (possède Hibushi).
Psychologie et physique Grand escogriffe brun de plus d'un mètre quatre vingt, coup de cheveux ébouriffée, Kodoka est avant tout une force de la nature. Sa peau est marquée par son histoire, des cicatrices toujours plus nombreuses constellant sa peau comme une toile d'un artiste impétueux, surtout du côté gauche, le côté qu'il présente généralement avant de tirer son sabre au clair. Gaucher donc, il n'est de toute façon pas le genre à discriminer, l'ambidextrie étant une force qu'il acquis au prix de nombreuses heures d'entrainement, et une force de caractère étonnante pour son jeune âge. Taillé par les épreuves, forgé dans le sang et la sueur, il est un pure produit Kirijine qui n'a pas peur de s'assumer comme quelqu'un de violent, parfois même vindicatif, il est une force à ne pas négliger, et il tient à le faire savoir. Pas fanfaron pour autant, il aime se faire remarquer, mais en bon. Toujours s'améliorer est son nindo, son leitmotiv, tout comme servir et protéger le peuple des îles de son pays, reste sa priorité. Il n'a pas de familles, mais les autres sabreurs de Kiri sont devenus des frères d'armes et de sang plus fiable que n'importe quel membres d'une fratrie, même soudée. Prêt à tout pour son chef de clan, il rêve secrètement de devenir un être aussi fort que lui, et d'inspirer les foules comme lui le fait de sa verve, et de son sabre. Ecrire l'histoire du bout d'Hibushi, la lame qui lui a été confié et avec qui il travaille en équipe comme le ferait deux partenaires.
Il faut dire que son tempérament enflammé, presque porté à blanc tant il est feu et flamme, s'enfonce dans les raisonnements les plus faibles, et il n'est pas le dernier à aller au front. Les deux s'entendent donc bien, comme on dit, qui se ressemble s'assemble. Pourtant, la première fois qu'on le voit, il semble impassible, presque distant. Mais se cache derrière cette âme rigide et ses moues inflexibles un trop grande chaleur, un type solaire qui aime trop la vie et certaines personnes. Pas tout le monde, mais ceux qui font partie de son "équipe", et de son clan, savent qu'il sera là, et qu'ils peuvent compter sur lui, à tout heure de la jour et de la nuit ; Kodoka est plein d'une sagesse de terrain, souple mais inflexible, elle s'arrête aux raisonnements les plus terre à terre, et ne souffre généralement aucune opposition, car il ne dit que des vérités, dans l'absolu. Il ne dit que ce que tout le monde pense tout bas, mais le dit tout haut. Pas méchant avec les siens, toujours bienveillant, il reste rude et déteste la langue de bois.
Quelqu'un d'entier et de volontaire.
Idéaux de votre personnage Œuvrer pour une certaine forme de paix, quitte à partir en guerre. Devenir une tête de proue, un leader dans le monde qui avance et qui broies certains, sans justice, mais de manière aveugle. Devenir un symbole, une cible, le dernier homme debout dans le grand charnier qui arrivera un jour, quand la guerre sera à leur porte. Et ne jamais céder.
Liens et perception du mondeSouhaitez-vous que votre personnage ait un lien particulier avec l'un des PnJ du forum ? Comment ce PNJ connait-il votre personnage ? Celui-ci impactera vos interactions avec ce PnJ et ceux qui lui sont opposés ou alliés. L'équipe de Spirit of Shinobi se réserve le droit de refuser certaines demandes (disponible uniquement aux nouveaux joueurs ou aux changement de personnages créés depuis plus de 6 mois) Attention, le lien qui reliera votre personnage au PNJ ne devra pas être trop important. Vous pouvez, si vous le souhaitez, ne pas prendre de PNJ tout de suite si aucun ne vous intéresse. Il vous faudra simplement effectuer la demande plus tard.
Il a déjà aperçu Seido Imufei, qui lui a sourit et lui a donné sa vocation dans le secret de son coeur. Celle d'être un leader charismatique pour les générations à venir.
Choisissez une question (ou plusieurs si vous le souhaitez) parmi celles ci-dessous à laquelle vous répondrez dans cet encadré.
Que pense votre personnage du fonctionnement "assassin" de Kiri dans leur rapport au monde ?
Il faut ce qu'il faut pour survivre dans ce monde. C'est pas nous qui somme durs, c'est le monde qui nous a apprit à l'être. Le monde constamment en changement, et qui impose parfois des mesures drastiques, et nous, nous sommes les guerriers de cette ère, les plus à même de forcer le destin et de faire de notre volonté le fer de lance, la pointe de l'épée, qui entrera dans le flanc des menaces qui planent sur le Yuusei. Les Yokais ne sont qu'un symptomes, nous sommes autant fautifs qu'eux, d'avoir laisser dégénérer la situation, et il faut maintenant rattraper le retard, et s'il faut tuer, tuer.
Que pense votre personnage de l'éviction du Daimyo Senpatsu Yoshinori, connu pour son pacifisme déconnecté de tout assassinat ? RÉPONDRE ICI
Quel rapport a votre personnage avec les différents clans ? Les estime t'il de la même manière ou différemment ?
Si Kiri est ce qu'elle est, c'est grâce à tout les shinobis qui ont donné leur vie. A tous, je vous dis merci. Merci de ne pas se mettre en travers de la route les uns les autres, et de rester unis. Nous sommes l'élite et le bras vengeur du pays de l'eau. Nous sommes le roulis implacables, la lame de fond qui aspire le voyageur, le nageur imprudent, vers le fond. Nous sommes capables d'avaler et de recracher n'importe qui, en le domptant, en le cassant s'il faut même, pour qu'il soit prévu : Kiri ne se laissera jamais faire.
Alors au Yuki comme aux autres, je dis toujours ceci : Soyons frères, si ce n'est de sang, ce sera de fer, et tant pis si parfois nous ne nous entendons pas, la famille c'est aussi ça.
Comment votre personnage se positionne t'il par rapport au pacifisme croissant dans les populations du village, causé par Senpatsu Yoshinori ? Tcheu. Que le peuple reste pacifique, nous, les ninjas, nous n'avons pas ce luxe. Le monde est cru, entier et ne pardonne aucune erreur, aucune faiblesse. Le pacifisme est une utopie qu'ils peuvent se permettre de rêver grâce à nous.
Histoire du personnage
J'avais dix ans et mon premier souvenir, fut une giclée de sang qui vint arroser mon visage. Tout était sombre, ombrageux, dehors, la brume envahissait tout l'endroit ou j'étais depuis quelques mois. Puis il y'eut cette main, secourable, qui m'attrapa par l'épaule et me dit : Voilà, petit, tu es libre maintenant. Libre de faire tes choix, tu peux courir dehors et retrouver ta vie d'avant, auprès de ce qu'il te reste de famille. Ma mère et mon père était mort, ne me restait plus qu'une tante et quelques cousins... Soit tu peux me suivre, tu as survécu à cette épreuve, je pense que tu survivras à celle qui se mettront en travers de ton chemin. Tu pourras honorer ton père et ta mère, tout deux des amis à moi, et deux grands épéiste de notre école. Mon mentor avait la fibre paternelle, et la verve facile. Je ne pouvais que le suivre après une telle déclaration ... J'avais juste une requête ... Je lui fis signe en attrapant son kimono blanc tâché de sang ... Je ne veux plus de ce nom de famille, il ne veut plus rien dire sans mes parents ... Et je ne veux pas que ce qui me reste de famille sache que je suis en vie. Alors dites leur que je suis mort ... Maintenant, je m'appellerais Kodoka. Hajime Kodoka. Car ce n'était que le début de mon apprentissage. Celui que nous suivons tous, l'apprentissage de la vie.
Ainsi commença mon histoire, celle du gamin qui rêvait du ciel, Hajime Kodoka.
Je commençais mon apprentissage avec mon mentor, un samouraï doué en Kenjutsu, et représentant d'une certaine philosophie, d'un certains mental, d'un certain honneur ... Ce que je n'appris que plus tard, fut qu'il faisait partie d'un clan rassemblé à Homura, comme mes deux parents avant moi.
Mais l'histoire, ne cessant de se répéter, je redoutais une spirale bien plus infernal que celle de mes parents. Individus qui avaient donné leur vie dans des circonstance que mon mentor se refusait à me dire. Il disait que je devais aller de l'avant, mais j'étais sûr que tout cela était bien intriguant... Je voulais savoir, non pas pour mon passé, mais pour tourner la page.
Ceci étant dit, mon entrainement intensif me laissait peu de place à l'enquête, ou à tout autre question que de survivre un jour de plus. S'enfonçant dans ce qu'on appelait le pays de l'eau, d'île en île, Fujiwara Satoru rassemblait des forces, un nouveau guerrier ou deux se joignant à lui à chaque arrêt. Ce que nous faisions m'échappait, mais cela semblait assez important... De grandes discussions se tissaient pendant que je dormais, un soir, alors que j'allais faire mes besoins pendant la nuit, je passais tout proche du feu de campement que nous faisions à chaque fois -c'était généralement moi qui était de corvée pour aller chercher le bois, et je surpris les paroles de l'un des deux hommes qui nous accompagnait Satoru et moi, buvant à une flasque... Cela faisait un moment que nous faisions des détours pour rassembler de plus en plus de guerriers.
- Puisse le futur Daimyo, ce fieffé salopard, nous rassembler tous, et faire retrouver à ces terres leur gloire d'antan !
- Je l'espère aussi mon ami, en tout cas, nous, feront tout pour.
Et j'allais me coucher en ne comprenant rien à ce qu'ils disaient. Un pays ? Un Daimyo, ces mots ne me disaient rien. Mais j'avais l'impression qu'une cause se déterminait de plus en plus. J'avais douze ans, et je commençais à savoir me débrouiller avec un sabre. Suite à cela, mon mentor, Satoru, disparu sans laisser de traces, si ce n'était un mot, quelques phrases. Il devait retourner dans son propre pays, il avait assez œuvré avec les autres, et ne pouvait pas me ramener au pays avec lui. Moi aussi je le pensais également. J'avais quatorze ans et la douleur de la perte, la violence des faits, m'avait complétement changé. J'étais sanguin, impétueux, incapable de suivre un bushido tel que celui des Fujiwara... Et de toutes manières, je ne le voulais vraiment pas.
Ayant participé à l'éjection du Damyo de l'eau, un concept que je saisissais encore mal, il ne fut guère difficile pour Satoru d'obtenir un laissé passer et une recommandation pour son élève. Moi. Je fus rapidement pris en charge par Kiri, qui termina mon apprentissage de la voie du sabre, et du Kenjutsu. J'eus même l'honneur d'entre apercevoir le chef de l'unité des sabreurs en action, à l'entraînement, et il m'avait même sourit ... Il arrivait à galvaniser les troupes et à faire s'enflammer les cœurs d'un seul regard. Voilà, j'avais trouvé qui je voulais devenir. Un homme capable d'allumer des feux, surtout dans la tête et le cœur des autres.
Pas forcément un tueur, mais vindicatif et violent, je récoltais de nombreuses cicatrices. J'étais constellé, comme la voûte nocturne, de tâches blanches sur ma peau burinée, à force d'entrainements. La brume était devenu mon élément, mon ami, ma famille et mon foyer.
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