 Ven 19 Mai - 2:42
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▶ Sujet: Aprés l'horreur (libre) Allongé sur un futon dans une aile de l'hôpital de Kiri spécialement conçu pour accueillir les nobles, qu'ils soient shinobi ou pas : le jeune Yuki était installé au centre d'une formation tracé au sol conçu pour accélérer sa guérison tout en purifiant son corps des miasmes possibles qu'aurait pu laisser les monstres qui l'avait blessé. Seulement en sous vêtements et couvert de bandage dont une compresse chargé de glace et recouverte d'un embléme dédié à la régénération : celui qui avait les pupilles rosés reposait alors sur son futon sans émettre de son si ce n'est celui d'une courte respiration constante ...
Jusqu'à ce qu'il ne s'éveille finalement en se hissant sur ses coudes dans un gémissement douloureux.
"GASP !!! ... KOF KOF KOF ... Ack... "
D'abord paniqué, il jeta un rapide coup d'oeil à droite et a gauche tout en rassembler ses doigts pour commencer a malaxer son chakra ... Pour immédiatement arrêter en poussant un grognement étouffé avant de se rendre compte de la blessure qu'il avait au vente et tomba la tête sur le coussin qu'on lui avait donné tout en couvrant ses yeux de son avant-bras en soufflant difficilement.
"Capitaine Kaguya ..."
La réalité et la mémoire lui revint instantanément à cette pensée : il avait couru comme un dératé pour rejoindre Kiri et s'était écroulé devant les portes du village ... Des gardes s'étaient empressé de le ramasser tandis que d'autre vinrent accueillir les autres genins en fuite ... Il se souvint rapidement avoir entendu qu'on l'amenait à l'hôpital et visiblement, il y était.
"Je ne reconnais pas ce plafond ..."
Dit-il en faisant une référence plus si connu que ça tout en observant la faible lueur en provenance d'un lanterne entouré de bâtonnet d'encens et personne ... Oui personne, se disait Mamoru tout en repensant à la scéne qu'il avait vu en découvrant le corps pendu de la chunin et de l'horrible destin qui fut le sien ... Levant de nouveau une main à son visage pour cacher ses pupilles : le jeune homme crachota dans un demi sanglot maintenant qu'il avait toute sa tête.
"Par les ancêtres ... Qu'est ce que j'ai vu ... ?"
Personne ne l'avait préparé pour ce genre de chose ... Personne n'était prêt pour ce genre de cas et maintenant pour ne pas devenir fou : il devait parler à quelqu'un ... Et vite !
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Ven 2 Juin - 14:02
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) « Je n’ai pas besoin de soins, je n’ai subi aucune blessure. » Cette phrase, il l’avait répétée au moins cinq fois, à autant de médecins différents, mais tous souhaitaient l’ausculter alors que d’autres semblaient plus nécessiteux que lui. Pour autant, la cinquième fût la bonne, et après avoir montré que ses mouvements étaient aussi rapides qu’aiguisés, le jeune homme retrouva la liberté, pouvant quitter ce lieu qu’il n’appréciait guère. Rien ne valait les bienfaits des soins que l’on s’appliquait soi-même. Entre les murs de ce lieu sain des sciences médicales, le brun remarqua la présence d’un grand nombre de ninjas, mais aussi de simples citoyens. Blessures ou maladies, presque tout pouvait être guéri ici, et si cela ne fonctionnait pas, la morgue ne devait pas être bien loin. En parlant de morgue, le Genin se remémora la disparition de celle qui guidait son équipe, lors de la dernière mission. Il ne la connaissait pas le jour d’avant, et le jour suivant elle avait rendu l’âme. Cela aurait pu arracher une petite larme à n’importe quel Genin normalement constitué, mais rares étaient ceux qui avaient connu la douleur de tout perdre face à un Yokai, avant même de devenir les garants de la sécurité de ce monde. A mesure qu’il avançait, le Sabreur laissait déborder une toute autre émotion que la tristesse, néanmoins. La honte, d’avoir fui sans tenter de venger la mémoire la Kaguya, semblait peu à peu le submerger. La mort paraissait inévitable dans un éventuel combat contre le Yokai, mais une fois mort, il n’aurait pas eu à vivre avec la pensée que la Chûnin ne serait peut-être jamais vengée. D’un autre côté, le terme de vengeance n’était pas non plus commun dans son vocabulaire, mais il fallait se rendre à l’évidence : pour une mort, une mort. En effet, seule la mort d’un meurtrier pouvait équilibrer la balance. Son regard se laissa attirer par un patient allongé, dont la corpulence et la couleur des cheveux n’était pas étrangers à Arakan. Ses yeux étaient masqués par son propre bras, mais l’épéiste tenta sa chance, assez rassuré de savoir ce compagnon d’armes encore en vie, alors qu’il avait de toute évidence reçu un projectile assez dangereux. « Yuki Mamoru… c’est bien toi ? » Tenta le jeune homme, tout en s’approchant du blessé. Son visage ne trahissait aucune émotion, comme souvent, et le manieur d’Hiboshi espérait ne pas s’être ridiculisé en se trompant de personne. |
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Sam 10 Juin - 21:08
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) Rongé par la honte et la peine d'être juste "blessé" alors que Kaguya avait perdu la vie : le môme de glace poussa un sanglot qu'il étouffa entre ses lévres en essayant de "refroidir son coeur" du mieux qu'il le pouvait ... Avant qu'une voix ne vienne l'arracher à ses pensées. Interdit et silencieux l'espace d'un instant, le garçonnet tenta de retrouver à qui appartenait ce timbre de voix monocorde et sans une trace d'émotion ... Avant que visage d'un sabreur ne lui vienne à l'esprit et pour sûr : il se souvenait d'avoir couru derrière lui avant de tomber dans les pommes et se réveiller dans cet hôpital. D'une petite voix, le Yuki tenta de répondre à celui qui l'avait reconnu :
"A ... Arakan, c'est toi ?"
Vint-il alors dire en se redressant légèrement tout en retirant son bras avant de laisser son visage s'illuminer d'un sourire tendre à la vision de son compatriote : reprenant alors la parole avec un certain soulagement de le voir "en forme" ? Difficile à dire, il semblait si imperturbable. Peut être faudrait-il le faire un peu parler ? De toute façon, maintenant qu'il n'était plus seule ici : Mamoru n'allait pas s'en priver.
"Ouf, enfin quelque que je connais dans ce lieu ... Aller, ne reste pas debout alors que moi je suis allongé : viens donc t'asseoir à coté de moi pour qu'on discute un peu, tu veux bien ?"
Fit le Yuki en venant tapoter le sol à coté de son futon tout en venant montrer un coussin non loin : lui faisait gentiment comprendre qu'il avait besoin de discuter et que non, n'était pas une réponse recevable à l'heure actuelle. Puis, il en profita pour demander quelque informations à son compère genin.
"Si tu es là ... Tu sais ce que sont devenue Uzumaki Hino et Kayuri Heizu ? Je n'ai pas le souvenir que Kayuri ai été blessé mais Hino si : tout comme moi lorsque nous avons tenté de riposter contre l'attaque de ses Yokais géants avant de ... De ... "
De découvrir le corps sans vie de la Chunnin, se disait Mamoru en baissant le nez vers vers jambe tout en repensant à la scéne ... Avant de demander d'une petite voix.
"Tout le monde à réussis a s'en sortir ? Tous les genins du village ?"
Finit-il alors en laissant le temps au ninja du clan des sabres de Kiri de répondre à ses interrogations.
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Dim 11 Juin - 23:18
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) 
Promenade au Clair de Lune
Ft. Bankichi, et des blessés
Bankichi revenait du champ de bataille sain et sauf, c'était plutôt bien. Une première mission dangereuse où il revenait sans avoir pris le moindre risque. Il y avait eut des victimes, certes. Un point négatif. Mais ce n'était pas lui, alors ce n'était pas trop grave. Par contre, il y avait désormais un grief. Une envie de vengeance, et c'était pour cette raison qu'il arpentait les avenues de l'Hopital, à la recherche de la bonne personne à qui parler.
Ce n'était pas la bonne personne en face de lui. Un blessé de cette expédition, d'une autre équipe. Non, ce n'était pas ça qu'il avait en tête. Néanmoins, la question en suspens était bonne, et il se donna le droit d'intervenir dans cette discussion.
Pas tout le monde, non. Mais les genins oui, en tout cas, et la majorité des civils.
Un des sabreurs en avait tué un - il le savait pour l'avoir vu de ses propres yeux, et il y avait d'autres disparut ou considérés comme mort. Et un oublié, apparemment. Il remarqua l'emblème Yuki sur ses vêtements, et retint de lacher un commentaire désobligeant sur sa famille. Oh, il n'en pensait pas moins. Il n'y avait guère que Misaki qui avait remonté dans son estime. Ce clan était des pleutres. Meilleurs que les shinobis étrangers, certes, mais des pleutres quand même. C'était pas étonnant qu'elle soit la seule blessée de ce cirque.
Kaguya Bankichi, je vous serrerai bien les mains, mais elles sont occupées. Vous voulez les voir de plus près ?
Il tendit ses deux mains recouvertes d'armures d'os si typiques de son clan. A l'intérieur, deux larves voraces qu'il allait amener dans des cages pour analyse, ou étude. Ou dissection. Ha ça, pour la dissection, il pouvait facilement aider d'ailleurs.
Je viens les déposer à quelqu'un de plus instruit.
Il haussa les épaules. Il n'avait pas encore trouvé le bon service, mais cela ne serait probablement pas cette aile-ci.
© Bankichi |
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Lun 12 Juin - 0:42
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) Après l’Horreur[Asami] - Bon MATIN !Déclarait-elle en pénétrant dans la pièce où reposait Yuki Mamoru. Son regard plongé sur un calepin rempli de glyphes et de notes, elle ne remarquait pas immédiatement la quantité - et la qualité - des gens présents dans la pièce. Pour un regard observateur, les glyphes dessinés à main levé sur le parchemin de son calepin étaient en partie identiques à ceux qui entouraient le lit de Mamoru. [Asami] - Mon nom est Asami… Ou Dr. Asami comme vous le préférez… Et je serais la personne en charge de vos soins aujourd’hui.Elle tournait une page de son calepin, son regard toujours posé au coeur des notes qu’elle possédait. Elle ignorait complètement la présence des gens autour d'elle et ce n’était pas volontaire. Le Fuinjutsu avait quelque chose de complexe et si elle l’avait étudié toute sa vie, ça ne voulait pas pour autant dire que c’était facile de travailler avec les écrits d’un autre. [Asami] - Je suis surtout ici pour m’assurer que les glyphes de soin fonctionne comme prévu. Si vous avez, monsieur le Yuki, des questions sur vos soins. Adressez vous à vos infirmières.Elle était froide, distante et n’avait pas encore levé les yeux. Sa chevelure écarlate détonnait de sa peau de porcelaine et ses vêtements blancs comme neige. Elle mémorise sans trop de problème le travail de son collègue afin d’être capable de réparer ce que de potentiel visiteur aurait pu briser et - peut-être même ?- améliorer ce qu’elle pouvait. [Asami] - Je n’en ai que pour quelques minutes et après, je vous laisse tranquille jusqu’à ma prochaine vérification. Si vous avez des questions sur mes compétences, taisez-vous, les fuinjutsu n’ont aucun secret pour moi...C’était là un commentaire rempli d’égo, car elle ne connaissait rien de toute l’étendu des possibilités du fuinjutsu… Mais qui voulait d’un docteur qui ne savait pas ce qu’il faisait ? Elle savait bien qu’elle ne savait pas tout, mais elle avait rapidement appris dans ses voyages qu’il valait mieux être confiante, directe et remplie d’égo quand on s’adressait à la potentielle vie de son patient. En vérité, elle était loin de cette personnalité professionnelle qu’elle arborait… Peut-être qu’elle se mentait à elle-même ?- Déposant un sac rempli de babioles sur le lit de Mamoru, juste à ses pieds, Asami finit par lever les yeux et croiser le regard de ceux qui avaient envahi la pièce, alors qu’elle sortit de sa besace ce qui ressemblait à une sphère de bois avec un bouton sur le dessus. Posant d’abord son regard sur un sabreur du nom d’Arakan, elle le toisait rapidement du regard. [Asami] - Et vous êtes ?Sa réponse ne l’intéressait pas plus que ça. Elle valsait rapidement ses iris sur celui qui était au coeur des glyphes médicaux et du futon de l’hôpital. Avant d’ouvrir une nouvelle fois sa bouche, elle tournait la tête en direction de Bankichi qui tenait en os une créature particulière… Lui faisant lever le sourcil. [Asami] - Ils vous embêtent ?Déclarait-elle avec condescendance. [Asami] - Peut importe… Ils m’embêtent.Ajoutait-elle en chassant les deux hommes d’un mouvement de sa dextre. [Asami] - Attention à ne pas mettre le pied sur les sceaux. Reculez-vous, je vous en prie.Asami ne faisait que très rarement une première bonne impression. Elle était directe, caractérielle et anti-sociale. Bien entendu, là n’était que ce qu’elle offrait en superficie, mais qui pouvait bien avoir envie de passer cette carapace professionnelle qu’elle arborait au coeur des terres de l’eau ? |
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Ven 16 Juin - 19:01
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) La première bonne nouvelle de la journée était qu’il n’y avait pas erreur sur la personne. Le sourire de Mamoru trancha net avec l’impassibilité de son interlocuteur, qui ne faisait pas cela par plaisir, mais la vie l’avait forgé pour devenir celui qu’il était : un ninja visant à accomplir sa mission sans démontrer la moindre émotion à quiconque. Ce trait était peut-être exagéré, car peu de ses congénères semblaient se priver totalement de leurs émotions – comme en témoignait le jeune Yuki – mais au fond, avait-il quelque chose dans sa vie lui permettant de sourire de manière franche et libre ? Le Sabreur accepta sans trop broncher l’invitation de son vis à vis à s’asseoir, même si cela ne lui était pas nécessaire. Il tenta de deviner la gravité des blessures de ce-dernier, bien qu’il ne paraisse évident qu’il était tiré d’affaire. Sans être un grand devin, il ne faisait aucun doute que Mamoru avait besoin d’une personne à qui parler, et étant seul avec lui, Arakan ne se sentait pas l’âme de le lui refuser. Après tout, s’il avait engagé la conversation, ce n’était pas pour simplement s’en aller ensuite. « Concernant Heizu... » Débuta le jeune homme, avant d’être interrompu par une apparition impromptue d’un homme parfaitement inconnu au bataillon… Bien que sa silhouette ne soit pas si étrangère au maître d’Hiboshi. Il avait probablement rencontré cet individu sur ce champ de bataille macabre, un autre fuyard à qui il ne pouvait pas jeter la pierre. La suite de ses propos laissa un début d’avis sur sa personne à l’orphelin, dont la première impression était souvent déterminante pour la suite de sa relation avec autrui. Un membre du clan Kaguya… les choses retenant les larves dans ses mains trahissaient fatalement son appartenance à cette famille, et une connaissance du jeune homme l’empêchait de propager sa mauvaise impression à l’ensemble des maîtres de l’ostéogenèse. « Arakan. » Répondit-il, sans bégayer, et toujours sans émotion dans sa voix. Son habit ne dévoilait pas la moindre appartenance à une famille ou groupe de la Brume, et n’étant pas armé, il serait difficile de deviner qu’il était un Sabreur. Seul restait son nom, qui pourrait ou non être connu de ce Bankichi. Avant que plus de mots ne fussent prononcés, une tornade écarlate coupa à nouveau le dialogue, mais à bon escient, cette fois-ci : il s’agissait d’un médecin. Fort de son profond attachement à la sédentarité, et de son manque cruel d’informations sur ce qui dépassait du vaste pays de l’Eau, le shinobi solaire ne pourrait jamais deviner ou même insinuer une appartenance à un quelconque clan célèbre et puissant, concernant cette Asami, et se contenta de répéter son prénom, avant de se tourner vers Mamoru, entre deux palabres de la nouvelle venue : « Je vais laisser le docteur… - il lança un regard froid en direction de la rubiconde - s’occuper de tes soins. Nous aurons le loisir de nous reparler à ta sortie. » Il ne s’attarda pas plus sur la condescendance d’Asami qu’il ne l’avait fait sur l’intervention de Bankichi, et quitta les lieux après s’être relevé, jetant un dernier regard aux trois personnes présentes, comme pour mémoriser leurs visages… Dans sa tête, il avait déjà établi des étiquettes provisoires : Mamoru… Allié… Bankichi… Imbuvable… Asami… Médecin peu recommandable . Puis il quitta finalement les lieux. - Spoiler:
Précisions : Arakan quitte les lieux pour des raisons purement rp, tout est expliqué dans le rp, je pense. Bonne continuation à tous les trois !
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Mar 20 Juin - 22:39
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) C'était lui ou cela commencé a en faire du monde ? Se demandait Mamoru alors que ce pauvre Arakan n'arrivait pas a en placer une depuis l'arrivée d'un autre personnage dans sa chambre d'hôpital : un certain Kaguya Bankichi qui avait une bonne partie des réponses qu'il attendait au sujet des civiles blessé par l'attaque des yokais dont ... Il avait capturé certain individu qu'il gardait dans d'étranges petites cages d'ossements entre ses mains ... Les voir d'aussi prêt avait quelque chose de répugnant et rappelait au môme des glaces des souvenirs des plus désagréables : voir pire encore quand il se souvent du "corps principal" qu'il avait rencontré auparavant et baissa doucement la tête en une légère révérence pour celui qui avait perdu quelqu'un de sa famille dans ce qui était, à bien des égards; une tragédie.
"Je suis sincèrement désolé ..."
Eut-il le temps de dire au Kaguya qui semblait vouloir quitter l'endroit avant qu'une véritable tornade rousse n'apparaisse dans sa chambre ... Et il était gentil quand il compara l'Uzumaki a une tornade car c'était a la maniére d'un typhon en venant envoyer bouler un peu tout le monde pour s'occuper des glyphes qu'on avait installé pour accélérer sa guérison ? Et l'humain dans tout ça, manqua de s'insurger le jeune Yuki qui allait déjà un peu mieux avec toute cette agitation : comme toujours, on ne pouvait rester au calme quand Asami était dans les parages. S'occupant plus des sceaux que du patient présent : la dame du clan Uzumaki l'interrogea alors.
"Vous ne me reconnaissez pas ? Je me prénomme ... Comment ça ils m'embêtent ? Mais non, ils sont là pour ... Mais vous m'écoutez ? "
Dit-il alors que ni une ni deux : les deux genins étaient dehors en le laissant seul dans sa chambre ... Observant impuissant le départ d'Arakan avec un petit pincement au coeur et n'eut d'autre choix que d'incliner la tête a son départ avant de tourner les yeux vers chacune des personnes en dehors de sa chambre.
"Au plaisir, Arakan. Pardon d'avoir prit de votre temps , Kaguya Bankichi. En espérant que ces maudites choses puissent nous apprendre quelque chose ..."
Comme comment tuer le monstre qui avait causé toutes ces horreurs, par exemple ... Ou du moins : aider à le trouver. Puis, il tourna ses pupilles en directions de l'Uzumaki qui avait fait tant de bruit en arrivant et soufflât un peu d'air frais en gardant un oeil sur celle qui était obnubilé par les runes autour de lui.
"Vous entrez dans toutes les chambres de patient de la sorte ou c'est par ce que vous avez vu mon nom sur le registre que vous êtes venu ici ? J'avoue que je serais ravi d'apprendre que vous êtes venu me voir mais peut être faudrait-il que je dessine une rune sur ma poitrine ? Du moins, je suis tout de même content de vous voir mais j'aimerais savoir : auriez vous des nouvelles d'Uzumaki Hino ? Tout comme moi elle a été blessé assez grièvement durant notre derniere mission et j'aimerais savoir si vous avez eu des nouvelles de sa part."
Finit-il en éspérant qu'elle se file pas elle aussi au prochaine arrivant sinon il connaissait un Yuki qui finirait par demander à ce qu'on le ramène au clan.
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Sam 24 Juin - 23:07
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre)
Après l'eau, re-heure
Ft. Bankichi, et des blessés
Un médecin fit irruption dans la pièce. Son regard dans son calepin, elle se disait responsable des sceaux de soin dans la pièce. C'était un détail, certes, mais un détail intéressant. Lui-même n'était pas fort versé dans cet art - bien que comme tout ninja qui se respectait il avait appris à manipuler les explosions de base. Avoir une spécialiste dans ce domaine dans son cercle de connaissance aurait pu être un atout pour lui et sa future ascension au rang de Mizukage.
Ou pas, vu son attitude antagoniste.
Elle essayait d'exulter une aura d'autorité. Essayait, car cela semblait glisser sur la carapace de l'indifférence du Kaguya. Ou plutôt, non de l'indifférence, mais une sorte d'amusement devant la tentative. Après tout, lorsqu'on avait déjà croisé la terreur à la tête du clan Kaguya, ce genre de petit check d'intimidation faisait bien moins effet. Il esquissa un léger sourire tandis qu'elle l'apostropha et se mit à gesticuler.
Je vous embête.
Une affirmation, à l'élocution lente pour bien marquer le point, et non une question. Il esquissa un vrai sourire carnassier devant cette nuance importante où il revendiquait son pouvoir de nuisance sur son interlocutrice. Quelque chose le distrait momentanément de son agréable discussion. Vibrations sourdes dans sa main, répêtée, comme un crissement de céramique sur de la céramique. Les larves cherchaient toujours à s'échapper. Heureusement, son ivoire génétique était plus solide que celui de leur dent.
Le Yuki - parce que comme son clan tout entier il était pleutre - se plaignait du manque d'information sur ces fameux yokaïs. Ou était-ce LA Yuki ? Avec ce clan d'androgyne sans testostérone, c'était parfois difficile à dire. Plutôt que de se geindre, il aurait mieux fait comme lui d'en capturer des spécimens.
A ce stade, toute information est bonne à prendre.
Le Yuki demandait plus d'information concernant les autres membres de l'expédition. Il avait déjà répondu à la question, ceci dit, et cela l'irritait de devoir se répéter. Il échappa un petit claquement de langue de désapprobation. Tandis que les dents, toujours, essayaient de gratter et de dévorer ses os de sa main ganté de nâcre. Il n'y avait pas de repos pour les âmes en peines. Un rappel de sa mission. De son objectif principal.
Bien, je vous laisse à vos occupations, et je vais continuer ma quête de tortionnaire.
Il s'en alla en sifflotant.
© Bankichi |
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Ven 7 Juil - 17:55
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) Après l'HorreurElle soupirait… Peut-être avait-elle été trop sévère envers les trois shinobis de la cité de l’eau ? Si l’Uzumaki avait un caractère assez froid et direct, ses intentions étaient nobles. Sans doute était-ce là une façon pour elle de mettre une distance entre le patient et sa psyché. Aussi exceptionnelle qu’était le chakra, elle perdait de ses patients tous les jours. La nature du travail que réalisent les membres de l’armée de Mizu ne faisait qu’augmenter ce risque. De ne pas entretenir des relations amicales la rendait indifférente quant aux pertes potentielles. Observant les glyphes sur le sol, obnubilé par leur présence, Asami ne s’était même pas rendu compte qu’Arakan et Bankichi avaient quitté l’espace. Pas plus qu’elle n’avait perçu les bêtes que tenait le Kaguya, ce qui était dommage, car sans doute aurait-elle été plus qu’intéressé. C’était là les conséquences directes de son attitude. Levant finalement la tête, alors que Mamoru lui glissait un semblant de sermons, l’Eisei cherchait du regard les deux autres personnes qu’elle avait croisé en entrant dans la pièce, visiblement déconnectée des derniers événements. Terminant sa recherche en posant ses iris d’Alexandria dans celle de Mamoru, elle posait ses mains sur ses hanches au niveau de ses poignets. Les paumes vers l’extérieur, elle tenait dans sa dextre le dossier médical du Yuki. [Asami] - Ne le prenez pas aussi personnel, j’ai simplement un travail à faire et je me dois d’être efficace.Ramenant ses extrémités devant elle, elle jetait un nouvel œil aux informations inscrites sur la charte, soulevant une page ici et là. [Asami] - Votre rétablissement ne m’inquiète pas, si vous voulez tout savoir.Elle soupirait de nouveau. [Asami] - Je n’ai aucune nouvelle d’Hino, elle n’est pas dans mes registres, mais j’irais jeter un coup d’oeil aux autres étages quand j’aurai une chance. Qu’est-ce qui lui est arrivé ?. |
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 « We’re all stories, in the end. Just make it a good one. » |
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Lun 17 Juil - 17:30
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) Difficile de ne pas prendre la chose pour lui car les rares personnes qui se sont arrêté pour discuter avec lui et s'enquérir de son état : était partit suite à son arrivée ... Bon, ce n'était surement pas voulu et autant il n'avait jamais cotoyé le Kaguya qui les avait approché mais il savait qu'Arakan n'était pas un grand loquace : celui-ci étant du genre silencieux et introverti, il n'était surement pas le plus à l'aise devant l'attroupement de gens et quand une aussi forte personnalité comme l'Uzumaki venait de se faire une place dans le coin; il avait préféré partir. Soupirant doucement, le môme des glaces se redressa doucement dans son futon de sorte a avoir le dos bien droit quand il vint alors répondre à la demoiselle en blouse blanche.
"Ce n'est rien ... Les ordres du médecin font loi dans un hôpital : je ne vous en veux pas, cela ne servira a rien et pourrait être désagréable avec mes blessures ... Outch ! "
Couinât légèrement le Yuki en sentant sa blessure au ventre le lancer tout en venant soupirer de plus belle en venant caresser doucement les contours de sa plaie et reprit une légère inspiration.
"C'est par ce que vous êtes confiantes en vos sceaux et en vos parchemins que vous dites ça ? Ou que vous ne portez aucun intérêt au patient en rémission ici bas ? Ne répondez pas s'il vous plait, j'ai décidé qu'il serait plus agréable pour nous deux que je n'a aucun motif de rancune à votre égard : vous êtes employé ici et moi je ne suis qu'un genin blessé en mission. Tout comme l'a été Hino. "
Venant infuser un peu de chakra le long de sa blessure, le garçonnet aux yeux rosés vint alors reprendre une fois de plus.
"Alors que nous menions une enquête sur une invasion de Yokai aux abords du village : nous avons été confronté contre deux immenses créatures qui ont réussis a passer nos défenses et m'ont transpercé le ventre ... Mais je n'ai pas été le seul a avoir été blessé et je crains qu'Hino avait une blessure semblable à la mienne. Je prie qu'elle aille bien, il me serait douloureux de savoir qu'il lui aurait été a arrivé malheur à elle aussi ... Enfin bon, s'il vous arrive de la croiser : transmettez lui mes bons sentiments, d'accord ?"
Dit-il avant de la regarder s'affairer sur les sceaux alors, quitte a l'avoir avec lui : autant en profiter pour augmenter ses connaissances à ce sujet.
"Quitte à être là : pourriez vous me donner des informations sur les processus qui permettent ma guérison ? Je dois l'avouer : je n'ai aucune connaissance là et j'aimerais parfaire mon éducation à ce sujet. Pourriez vous m'en parler ?"
Termina alors le Yuki en retrouvant peu à peu ses forces.
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Dim 23 Juil - 18:20
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre)
Après l’Horreur
Elle ignorait volontairement le commentaire du Yuki sur la loi régi par les médecins. S’il est vrai qu’elle avait tendance à faire figure d’autorité dans ce rôle, ce n’était pas fondamentalement quelque chose qui lui tenait à coeur. Elle en comprenait cependant l’importance. Qui voudrait bien d’un médecin qui n’était pas confiant et directif ?
Le voyant se déplacer, elle ne put que sourire alors qu’il se plaignait de douleur. Ce n’était pas surprenant qu’une plaie lui envoie un petit électrochoc, alors qu’elle était malmenée en pleine guérison. Comme ça ne lui sert à rien d’en rajouter sur le sujet, elle choisit, encore une fois, d’ignorer complètement la demande du Yuki et répondit à son commentaire sur ses sceaux et son attitude.
Son regard d’Alexandria était direct, mais son faciès jouait entre la compassion et la sévérité. Sa voix se voulait cependant douce, bien plus qu’elle ne l’avait été jusque-là.
[Asami] - J’ai confiance en la qualité de vos soins et votre respect pour les requêtes de vos médecins. Que ce soit dans le chakra que j'investis dans vos plaies, dans les sceaux créés par ceux qui ont à cœur votre rétablissement ou bien votre propre désir à ne pas infecter une plaie et en perdre une jambe. Que vous ayez de la rancoeur ou pas m’importe peu, que vous ayez envie de m’aracher le visage à chaque fois que je rentre dans cette pièce m’importe peu.
Son faciès plongeait désormais plus dans la sévérité et son ton de voix était devenu sérieux.
[Asami] - Je suis là pour m’assurer que vous vous remettez complètement sur pied, sans le moindre contre-coup. Pour votre propre qualité de vie avant tout. Que vous m’appréciez au passage, c’est secondaire..
Elle alternait de nouveau vers la compassion et un ton de voix plus doux.
[Asami] - ...Mais vous pouvez être certains que peu importe l’impression que vous avez de moi, vous serez toujours le bienvenu ici et recevrez toujours les meilleurs soins que je peux prodiguez… Sans exception.
Le sujet déviant désormais sur le coeur de cette fameuse mission l’ayant amené ici et ayant potentiellement porté sa cousine entre les murs de l’hôpital, l’Eisei se faisait silencieuse et était à l’écoute. Entendant la nature des blessures de sa cousine, elle jetait de nouveau un coup oeil aux documents qu’elle tenait, simplement par réflexe. Au vu de tout ça, elle n’était pas particulièrement inquiète.
[Asami] - Je lui transmettrais vos voeux, absolument.
Sur ses mots, il était temps de se mettre au travail. Déposant les documents sur une table près d’elle, elle observait avec attention les fins détails des glyphes présents sur le sol. Écoutant d’une oreille inattentive la question du Yuki, ça lui prit quelques longues secondes avant de bien saisir ce qu’il lui demandait. Elle était restée silencieuse, mais il était évident que cette fois-çi, elle n’ignorait pas volontairement son patient.
[Asami] - Pour faire très simple, parce qu’on pourrait se parler de la nature du chakra Yin ou Yang pendant des jours… Le chakra curatif décuplement la capacité qu’à le corps à se soigner lui-même. On ne peut pas soigner quelque chose qui ne peut pas l’être, mais on peut grandement accélérer une guérison. Les sceaux sont imprégnés du chakra de son créature et le diffusent tranquillement afin d'accélérer la guérison, sans avoir besoin d’être présent.
Elle se déplaçait dans la pièce et allait complètement de l’autre côté du lit.
[Asami] - L’Iroujutsu demande un contrôle particulièrement élevé du chakra, et c’est pratiquement impossible de le maintenir longtemps. D’où les sceaux.
Elle portrait sa dextre sur son menton, alors qu’elle rencontrait des glyphs qui n’avait jusqu’ici jamais vu et dont elle ne parvenait pas à en comprendre les interactions.
[Asami] - Mais ce genre de sceau est d’une incroyable complexité. Bien plus que ce que je suis capable de créer… Et c’est la spécialité de mon clan.
Déclarait-elle en se rappelant certains écrits sur lesquels elle était tombée plusieurs années auparavant. Une lecture qui citait l'existence de sceaux réalisablent à plusieurs et capable des plus grand miracle. Quelque chose de mystérieux qu’elle allait très certainement investigués. Surtout après avoir posé son regard sur le sceau qui se trouvait sous le nabot du clan Yuki.
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Dim 6 Aoû - 19:03
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) A voir avec quelle indifférence elle le traitait quand il se plaignait du confort et du traitement qu'on lui accordait, tout de moins sur le plan humain; le Yuki sût qu'il avait prit une bonne décision de ne pas s'impliquer d'avantage dans ce qui aurait pu devenir une sacrée rancune entre lui et la genin qui le traitait comme un cochon à qui on aurait donné de la confiture ... Pardon d'avoir été blessé et d'avoir eu a finir ici pour détériorer les précieux sceaux de guérisons créer pour cet usage ... De plus, bien que le clan Uzumaki était réputé pour être une sommité dans le domaine des sceaux : était-il normal d'avoir une genin, doublé d'une errante; a un poste aussi important ? Elle n'était pas une Shinobi médecin et ne s'occupait techniquement que de l'entretien des sceaux alors en réalité le Yuki avait affaire a un simple technicien venu vérifier que l'installation était toujours en état de marche : même pas un vrai docteur . Cela expliquait possiblement son attitude mais ne la rendait pas plus digeste pour autant ...
Mettant cela dans un coin de son esprit car cela ne servait à rien pour l'instant d'en vouloir a quelqu'un qui ne faisait en fait que son travail : le môme des glaces écoutât attentivement les mots de la demoiselle au sujet de la nature même de son travail et plus particulièrement sur le contrôle du chakra.
"Je commence à comprendre la chose ... Mais cela veut-il dire que vous n'utilisez pas de chakra élémentaire dans la création de vos sceaux en général ou seule ceux qui n'ont pas pour but de faire du mal à autrui, s'en trouve dépourvu et ne compte que sur le chakra Yin ou Yang ?"
Bien que la découverte du chakra pouvait apparaitre comme récente aux yeux du monde : cela faisait plus de 100 ans qu'il avait envahit cette terre et bien des écrits ainsi que des observations avaient été faite au sujet de sa nature voir son utilisation ... Dans le domaine de la guerre, les hommes avaient été des plus prolifique et des plus imaginatifs à ce sujet. Certes, il avait été prouvé que le feu ça brule, l'eau ça mouille et que les oiseaux chantent dans le ciel mais quel était l'énergie utilisé pour soigner ? Quel était le processus qui permettait d'accélérer la guérison tout comme on pouvait étendre son ombre ou même modifier son corps pour permettre la croissance accéléré des os comme son durcissement, par le clan Kaguya. Comme quoi la bibliothèque du clan des Yuki étaient bien remplis et bon nombre de légende comme de fait, pouvait être trouvé dans les pages de ce dernier ... Aprés, ce n'était pas dit non plus qu'il avait vu juste sur les sceaux de guérison : après tout, il était novice là dessus et le clan Yuki n'était pas vraiment spécialisé là dedans.
Une tare à corriger, se disait Mamoru qui pensait que pour atteindre ses buts : il devait avoir autant de corde à son arc que possible.
"Auriez vous la possibilité de me parler un peu de votre clan ? Je ne connais de lui que les rumeurs et je n'ai jamais trouvé le temps de demander à Hino de me parler du vôtre. Comme tous le monde, j'ai connaissance qu'il est le plus à même de créer des sceaux de tout genre mais en delà du fait qu'il n'est pas lié a un village en particulier ou que les membres de son clan ont la chevelure écarlate : on ne connait pas grand chose de vous, a raison peut être ? Si j'ai pu dire quelque chose qui n'est pas vrai pour votre clan, je m'en excuse et si vous n'avez pas envie de répondre : je ne vous forcerais pas à le faire ..."
Dit-il avec une petite pointe de tristesse dans la voix car en vérité : s'il ne voulait pas de disputer avec la personne qui était avec lui en cet instant; c'était par ce qu'il avait envie de discuter avec quelqu'un pour passer le temps, oublier la raison pour laquelle il était là et le fait qu'aucun membre de son clan n'était là pour lui en ce moment ... Surement qu'ils étaient occupé a protéger le village d'une possible attaque de Yokai ? Du moins, il l'espérait.
"Sinon si ce n'est pas trop indiscret une fois encore : cela n'a pas été compliqué de venir travailler en Kiri ? Notre village n'a pas la meilleur presse auprès du reste du monde mais il est plutot attachant quand on s'attarde parmis ses habitants même si certain ont quelque soucie avec les étrangers. Enfin, vous vous êtes bien intégré au village ?"
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Mar 8 Aoû - 4:37
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre)
Après L’Horreur
L’attention d’Asami était désormais réservée aux sceaux qui arpentaient le lit du Yuki. Il la percevait comme une genin, mais elle n’était pas débutante dans les arts de la médecine. Asami détient véritablement le titre de médecin pour l’hôpital de Kiri, mais les rangs militaires ne pouvaient pas juger de ses compétences.
Après tout, elle n’était qu’à Kiri que depuis deux ou trois ans.
Mais ses connaissances en termes de sceaux et de soins excédant ceux ayant une expertise similaire. Si Mamoru avait raison de percevoir Asami comme une genin, elle étaient définitivement plus adéquate dans ses soins, que ne l’étaient sa contrepartie dans les arts la guerre.
Comparer Asami aux shinobis de Kiri… C’était d’assumer sa compétence au combat et d’ignorer ses forces dans les soins.
Asami était la pire des partenaires sur le terrain, la pire des genins -ce qu’elle n’était pas-. Elle était de celles qu’on voulait avec soi, mais qu’on devait garder en vie. Un mercenaire qu’il fallait protéger, mais qui savaient chasser “cette déesse altière qui foule d’un pas égale le trône et la chaumière”. Quelqu’un capable de soigner une frappe aux poumons, mais incapable de survivre à un dragon de foudre…
Elle avait besoin d’être protégée par ceux qui l’accompagnaient, mais en échange, la mort serait tenu à distance.
Ainsi, face à Mamoru campé sur son lit et recouvert de sceau qui la dépassait complètement… Elle détestait ce qu’il avait à lui dire.
[Asami] - As-tu pas la moindre idée de ce qui se tient sous toi ?
Déclarait-elle avec dédain.
[Asami] - Les sceaux sous tes pieds son plus complexe que ce que j’ai pu observer jusqu’à présent.
Déclarait-elle d’un regard sévère.
[Asami] - J’ai 27 ans, je pratique l’Iroujutsu depuis que j’ai 14 ans et je provient du clan Uzumaki… Et je ne comprends pas les glyphes sous tes pieds… Ne m’en veut pas quand je dis à tes amis de ne pas mettre les pieds sur tes sceaux… mais comprends qu’ils me sont plus intéressants que tes soins. Tu n’es pas en danger… Grâce à eux ?
Son ton interrogatif révélait qu’elle n’avait véritablement pas la réponse…
Elle se relevait et inspirait profondément.
Son regard d’Alexandria se posait sur Mamoru et elle faisait comme si elle n’avait rien dit. Il avait raison, il méritait plus que la curiosité des sceaux qui le soignait.
[Asami] - Je crains ne pas être plus utile qu’Hino pour répondre à vos questions.
Déclarait-elle en fuyant le regard du Yuki. Révélant clairement qu’elle en savait plus qu’elle ne pouvait en dire et vivant pleinement la honte de devoir se taire.
[Asami] - Quand je vous dit que les sceaux sous vos pieds sont impressionnant. Croyez-moi. Le clan Uzumaki est au Fuinjutsu, ce qu’est le Kenjutsu au sabreur ou le ninjutsu au Yuki.
Sans doute existait-il de meilleures comparaisons, mais il s’agissait là de ce qu’elle considérait résonner le plus pour Mamoru.
Elle soupirait. Souriait en coin et portrait ses iris d’Alexandira sur Mamoru.
[Asami] - Je suis né au coeur d’un pays inaccessible. Il vaut mieux ignorer mon clan, mes terres et la couleur de mes cheveux.
Elle chassait volontairement les questions de Mamoru, même si elle lui avait offert des aperçus.
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Mar 5 Sep - 23:12
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) Pendant un court instant, il sentit quelque chose changer dans le ton et la voix d'Asami ... Venait-il de lui dire quelque chose de mal ? L'avait-il insulté sans le savoir par sa méconnaissance des US des Uzumakis ou bien, parler de son intégration dans le village avait-il réveillé de mauvais souvenir ? Pendant une seconde, le jeune Yuki vint à se demander ce qu'il avait pu faire pour fâcher à ce point la demoiselle mais quand celle-ci lui avouât la vraie raison de son "mécontentement" : il leva un sourire avant de se sentir bête a un point qu'il ne pût s'empêcher de pousser un soupire de soulagement et tourna les yeux vers elle sans même penser a ces fameux sceaux si complexe sous lui.
"Je vois ce que tu veux dire et j'entrevoit enfin où vous voulez en venir : je perçoit parfaitement ce que vous avez essayé de me dire depuis le début et je n'aurais pas dû vous jeter la pierre, je serais dans le même état d'esprit si je découvrais un jutsu basé sur l'art de mon clan et que je ne maitrisais pas; venait par m'être révélé. Je serais surement fou à l'idée d'en apprendre plus et je n'aurais eu d'autre pensée que celle-ci. Je m'excuse pour mon incompréhension."
Dit-il dans un léger sourire pour lui affirmer qu'il avait enfin compris pourquoi elle avait fait tout cela et qu'il ne lui en voulait pas : Enfin, en réalité, il ne lui en voulait plus maintenant qu'il comprenait. Comme quoi, tout se passe bien mieux une fois qu'on prend le temps de dialoguer; se disait le jeune homme en sentant de léger vertige le reprendre alors que la demoiselle répondait à sa demande sur son village par des faux-semblants et autre détournement de mots qui ne manquèrent pas d'agrandir l'expression douce de son visage en un sourire encore plus grand maintenant qu'il se sentait doucement partir.
Croisant ses pupilles de son regard couleur sakura tout en venant se reposer complétement sur son futon en sentant l'inconscience le rattraper petit à petit : il laissa sa voix chanter quelque instant tout en laissant pleinement apparaitre que la fatigue venait l'envelopper doucement.
"Vous êtes donc une énigme, pleine de secret et étrangement inaccessible malgré votre proximité ... Hihihihi. A la maniéré d'un songe, je n'arrive pas a saisir ce qui vous compose mais je ne saurais oublier ce charmant sourire qui, m'est destiné ? Vous me faites trop d'honneur, mademoiselle Asami. Je prie pour avoir la chance d'apprendre ... A vous connaitre d'avantage... Et .. Oups, je m'oublie j'ai l'impression... Je m'en excuse. "
Finit-il finalement un peu gêné en se rendant compte qu'il commençait à raconter n'importe quoi ... Et ferma finalement les yeux en laissant flotter une dernière parole dans l'air.
"Merci à vous, du fond du cœur : merci ..."
Terminât le môme des glaces en finissant finalement par s'assoupir sur le futon et n'émettre plus qu'un léger bruit de respiration lent, trés lent alors que le corps du ninja se refroidissait pour permettre au sceau de guérison de faire son travail et à Asami; d'observer le phénoméne.
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▶ Sujet: Re: Aprés l'horreur (libre) |
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