Dim 11 Juin - 23:52
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▶ Sujet: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un ver, vert, vers le verre Ft. Bankichi, des vers, et des poèmes
Bon bon bon...
Un kaguya se baladait dans l'Hopital de Kiri. Ca commence comme une blague, et c'est assez drôle quand on y pense. Un peu comme un loup dans la bergerie. Un requin dans un banc de poisson. Un borgne cannibale au milieux d'un troupeau d'aveugles. Combien de blessés il n'y avait-il pas ici, à sacrifier à leur divinité ancestrale ? Enfin, c'était une tradition tombée en désuétude. M'enfin, s'il voulait trouver de la puissance, peut-être que lui aussi devait commencer à réfléchir à trouver des informations sur ce rituel. Ptet demander à l'un des vieux Kaguya ? Après, en général, dans son clan on se faisait pas des vieux os.
Har har har.
Oh, une jarre. Tiens, voilà qui était intéressant. Il passa à côté d'un dépôt de pièces en tout genre, et un peu musée des horreurs avec un organe stocké dans un liquide verdâtre. Et surtout, ben d'autres pièces de verrerie qui pouvaient l'aider, car après tout il avait deux invités, dans ses poings serrés, qui ne demandait rien de plus osés, que vers la sortie de filer. Des vers, dans un verre. Cela aussi, ça ressemblait à un début de blague.
Oh, j'emprunte ça, ça a l'air pas mal.
Il ouvrit une des jarres - avec difficulté. Faut dire que ses mains n'étaient pas libres, ce qui rendait la tâche ardue. Au lieu de simplement faire un kage bunshin. S'il avait un peu d'intelligence. Du coup, imaginez la scène, avec deux démons dans les mains, en train de coincer une jarre en verre sous l'aisselle et de tenter de faire tourner le bouchon avec le coude de son autre bras, avant de se rendre compte que c'était impossible (c'est comme lécher son coude, en fait). Alors, il étendit l'os de son auriculaire et de son pouce de son autre main pour garder sa prise tout en prenant le bouchon de ces os bienvenus.
(Il tituba et renversa un truc ou deux, rien de grave)
Enfin, le bouchon tomba sur la table. Il fourra sa main dedans et libéra la première horreur avant de bloquer la sortie avec sa main. Il déposa la jarre sur le bureau, et laissa son gantelet d'os en guise de bouchon solide. Le Yokai dedans s'énervait, tournait en rond et essayait de mordre le verre (ça ne marchait pas) ou de grimper (ça ne marchait pas non plus). Par contre, ses agitations bougeaient le bocal et il risquait de le renverser.
On va renforcer ça, sinon ca va partir en théâtre d'horreur.
Quelques cartilages de mains après, il avait généré un maillage d'os solide autour du bocal. Même si le verre venait à se briser, les os pourraient empêcher une évasion fortuite.
...
Ne manquait donc plus que de s'occuper de la deuxième vermine, puis d'aller trouver un scientifique, ou un gars comme ça, du genre intelligent à lunettes. Cela devait bien pouvoir se trouver dans le coin de l'hopital, pas vrai ?
© Bankichi |
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Dim 18 Juin - 13:17
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre]
Tell me your story Kiri no gakure Les mains enfoncées dans les poches de ma blouse, j’observe une scène étrange. Heureusement que mes lunettes sont encore sur mon nez, sinon j’aurais du mal à croire la scène. C’est plus le devoir que la curiosité qui m’a mené à cette salle. Croyez-moi, j’aurais bien aimé ignorer le bruit qui m’a sorti de mes études. Le bon côté, c’est que ce n’est pas une de ces horribles bestioles qui se promène en liberté dans le labo de stockage. Encore que, c’est peut-être vite dit; du coin de l'œil, une création osseuse sur un bocal avait attiré mon attention. On est peut-être pas forcément loin du genre. L’univers est-il en train de se moquer de moi ?
Mon doigt brisé me fit soudainement un peu plus mal, douce frustration; et il me fallait toute la volonté du monde pour ne pas serrer les dents. Ça serait un coup à me briser la mâchoire aussi… Le choix est alors difficile, juste tourné les talons, je suis de garde, ça équivaut à ne pas faire mon travail. Alors se renseigner sur sa présence ? Ça inclut de perdre mon temps à lui parler. Ou simplement le virer d’ici sans cérémonie ? La dernière option me sembla compliquée, surtout si le mastodonte n’est pas à même de coopérer. Je risque de me faire briser quelques os… mais différemment cette fois. Il est presque évident qu’il ne fait pas partie des effectifs médicaux. Suffit de voir son accoutrement.
― Nos échantillons sont précieux, notre matériel aussi. Pour ceux qui savent les utiliser du moins.
C’est donc un brin moralisatrice que je fis mon entrée en scène, pour en prime faire la bonne et ramasser ses dégâts en fronçant les sourcils. Qui allait devoir nettoyer tout ça et le justifier ? Pas toi n’est-ce pas. Quelques objets avaient seulement besoin d’être remis à la place, d’autres étaient bons pour la poubelle maintenant que le choc au sol les avait brisé. Le rangement ne prit que quelques secondes pour une habituée des lieux, tout en effectuant ma besogne, mes pas avaient avalé la distance qui me séparait de l’intrus. Ma main gauche se tendit en sa direction, un mouvement balancier des doigts pour lui dire de me rendre ce qu’il avait encore me paru suffire largement comme communication. Une façon de lui dire de lâcher l’affaire et de déguerpir… indirectement. Mais pas sûre qu’il comprenne, alors jouons la carte de la sécurité…
― Je vais les remettre à leur place et faire comme si je ne t’avais pas vu.
Donc dégage, allez ! Et sans t’énerver de préférence. Mais, je ne sais pas pourquoi, j’avais comme la sensation que le plan initial allait déraper. Le coup sur la paroi en verre donné par le yokai prisonnier m’arrachait un soupir exaspéré. Et comment j’allais me débrouiller avec ce truc maintenant aussi. Dire que je m’étais naïvement imaginer que ça serait une permanence facile à l'hôpital aujourd’hui. C’était sans compter sur le facteur perturbateur devant moi, qui en toute franchise, commençait à piquer ma curiosité sur son objectif ici. Non, non, non Kaya, ne perd pas de temps avec ces futilités. Il faut prendre un air ferme et espérer que cela suffit… |
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Mer 21 Juin - 18:12
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un Ver, Vert, Vers le Verre[Asami] - Aller ! J’ai terminé pour aujourd’hui ! On se voit demain !Déclarait-elle à une collègue qu’elle avait croisée en direction de la sortie de l’hôpital. Comme toute bonne conversation de corridore, elle s’était légèrement étirée et Asami était une fervente croyante de l’adage : “ Quitte l'hôpital le plus rapidement possible où quelque chose va arriver et tu n'auras pas le choix de rester. ” Tournant les talons en direction de la sortie, ses iris d’Alexandria se posèrent sur un homme tenant dans ses poings deux créatures particulièrement dégoûtantes. Pénétrant dans l’établissement avec confiance, tel un homme qui possédait l’endroit, il poursuivit son chemin jusque dans les différents corridors de l’établissement. Figé sur place, fermant le poing de sa dextre, Asami se donna un petit coup sur le front. Elle combattait mentalement l’idée de simplement ignorer cette image qui ne lui disait rien de bon et simplement quitter en direction de sa demeure. Soupirant, elle baissait les épaules et emboitait le pas dans la direction prise le Kaguya qu’elle ne voyait déjà plus. Ce n’était pas tous les jours que quelqu’un se présentait en tenant fermement des créatures encore en vie… et il fallait bien dire que les Yokai piquaient particulièrement la curiosité de l’Uzumaki. Retraçant ce qu’elle pensait être le chemin potentiellement emprunté par Bankichi, elle posait un regard curieux dans chacune des pièces qu’elle croisait. Quelques patients, quelques chambres vides, un placard plein de matériel, un bureau avec une dame bien confuse du regard soutenue d’Asami, mais aucune trace du Kaguya… … jusqu’à ce qu’elle tombe sur une salle avec plusieurs échantillons et autres spécimens en tout genre. Au sol, du liquide… Soupirant une nouvelle fois, se disant qu’elle aurait finalement dû simplement ignorer le shinobi, elle valsait son regard entre le Kaguya pris en flagrant délit de bêtise et une collègue travaillant comme elle à l’hôpital, mais qu’elle ne connaissait pas vraiment. Si ce n’est qu’elle avait bien dû la croiser ici et là depuis tout le temps qu’elle dédie à l’hôpital de Kiri. [Asami] - Qu’est-ce qui se passe ?Demandait-elle sur un ton semi-sévère et en soulevant un sourcil. |
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« We’re all stories, in the end. Just make it a good one. » |
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Ven 14 Juil - 21:26
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] PURGE Ft. Bankichi, et Asami Deux visiteuses arrivèrent. Deux eisenins - au vu de l'accoutrement. L'une d'entre elle venait de le chassait d'une chambre d'une malade. Et malgré les spécimens incroyables qu'il avait en main... Tout le monde semblait les ignorer pour se focaliser sur quelques bris de glace. Une abération.
Elle voulait presque faire comme si elle ne l'avait pas vu. Il claqua sa langue, incompréhensible à ses yeux. Il lui donnait l'opportunité de se faire un nom, et encore mieux, de le servir. Cela devrait être un grand honneur ! Non, cela ne pouvait pas être le cas. Cela ne pouvait pas être un refus. Elles devaient simplement ne pas avoir compris ce qu'il implicitait.
Précieux ? Mes échantillons le sont bien plus... Ces spécimens étaient capables de contrôler des civils.
C'était là la menace qui les attendait, en-dehors du village. Qu'on ne l'aida pas immédiatement dans sa quête était incompréhensible. Il agita légèrement un des deux bocaux, ce qui n'était pas sans déplaire au vers qui fit des bruits de gêne. Voilà qui allait être leur arme secrète contre ces ennemis cachés partout en-dehors des villages. Il allongea l'un de ses doigts en un lame fine et aiguisée, avant de s'approcher de sa cible.
Si je dois en disséquer un moi-même, cela ne sera pas si difficile que cela. Mais si l'une d'entre vous peut m'aider dans la méthodologie, je ne dirais pas non.
Peut-être que cela allait un peu diminuer sa haine et sa rage présentes en lui depuis le début des évènements.
© Bankichi - Spoiler:
J'attendais un poste en plus mais je vais continuer. Un tour de plus puis je demande une intervention ? Bav |
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Sam 22 Juil - 20:54
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Vous étiez alors trois pour vous occuper de cette bête qui en avait fait voir de toutes les couleurs aux civils mais aussi aux Genin des récentes missions. Au sein de son bocal, vous pouviez la voir bouger dans tous les sens, mais le plus souvent, c'était comme si elle insistait pour partir en une direction assez précise, sans que vous ne compreniez pourquoi. Sa tête rebondissait mollement bien qu'avec force sur la paroi de verre, le plus souvent au même endroit, mais il lui arrivait parfois de chercher comme une sortie à sa prison transparente... en vain, bien évidemment. Bankichi, derrière sa structure osseuse, pouvait sentir la lourdeur qu'elle exerçait et qui aurait pu lui poser problème, s'il n'avait pas pris quelques précautions.
Toutefois, il tint bon sans aucun soucis. Cette larve n'était qu'un misérable résidu du grand pouvoir du Yokai que vous aviez rencontré, vous n'aviez pas à redouter sa capacité à briser ce qui l'entourait. Bien que vous aviez tout intérêt à craindre sa capacité à nuire, au vu de tout ce que vous aviez vu de ses congénères.
Vous étiez alors face à elle, avec le premier dilemme de choisir ou non de la libérer. Si vous la libériez, prendrait-elle le contrôle du Kaguya ? Serait-elle inoffensive ? Vous n'aviez qu'une seule manière de le savoir : prendre un risque, aussi inconsidéré soit-il. Parce que vous ne saviez pas à qui vous aviez affaire. |
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Jeu 27 Juil - 2:14
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un Ver, Vert, Vers le VerreSi elle n’avait pas immédiatement compris l’ampleur de ce que détenait le Kaguya, ses quelques instants lui offraient quelques moments sans ombres et sans brumes. Certes, elle avait bien pu voir qu’il s’agissait de larves. Certes, elle avait bien pu faire le lien avec les créatures plus typiques qui vivaient au coeur de la vie, l’univers et le reste. Mais ce que détenait le Kaguya n’avait rien de normal. L’Uzumaki posait son regard d'Alexandria sur cette médecin qui, jusqu’ici, semblait submergée par ce qu’elle vivait. Soupirant verbalement, elle posait sa dextre sur son épaule et la dirigeait dans ce qui ne pouvait être qu’un début de l’hyper-force. C’est-à-dire que de sa dextre, elle la déplaçait vers l’arrière, mais l’intensité employé était bien loin de représenter la carrure d’Asami en comparaison de l’effort demandé. Elle la forçait dans un mouvement désirer, comme si ça lui avait demandé autant d’effort que de tourner la page d’un journal. Elle observait avec attention les mouvements de la bête. Valsant difficilement son regard jusqu’à celui du Kaguya, l’Eisei lui offrait quelques mots. Ce dernier détenait entre ses mains autant de possibilités que d'échecs. Asami ne serait pas celle qui prendrait la décision d’agir sur cette information - car si on la forçait dans l’action, elle choisirait toujours la vie avant la mort.- [Asami] - Cette créature semble vouloir s’enfuir dans une direction. Tu peux la suivre. Je peux la disséquer.Elle levait sa dextre chargé d’un chakra bleuté et tranchant. メス軽度の裂傷 | Scalpel : Lacération Rapide — BIroujutsu — TaijutsuRecouvrant ses mains d'un chakra bleuté tranchant, l'utilisateur frappe rapidement une ou plusieurs fois un adversaire afin de lui causer des coupures saignates importante
ATTAQUE MONOCIBLE RAPIDE Puissance de rang B-[Asami] - À toi de décider.Elle soupirait. Elle savait que si le Kaguya décidait de la suivre, elle n’aurait pas d’autre opportunité que de le suivre. Elle détestait même l’idée de le faire… mais elle était incapable d’agir autrement. Si on outrepasse sa façon de mettre un décision dans les mains d’un autre, Asami l'égorgerait ici et maintenant et en analyserait les tenants et les aboutissants de chacune de ses cellules. Mais cette décision ne lui appartenait pas. |
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Lun 31 Juil - 14:08
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un Ver, Vert, Vers le Verre Ft. Bankichi, et AsamiL'eisenin semblait avoir enfin compris ce qu'il tenait entre ses mains. Il eut un sourire satisfait. Elle proposait de disséquer le spécimen. Bankichi allait accepter rapidement, aux premiers abord. Il n'aimait pas ce genre de travail manuel, et puis... et puis, il détestait se salir et réfléchir à ce qui se cachait dans des entrailles et des organes. Non, très peu pour lui. Disséquer était un excellent choix. Puis, après quelques secondes, il trouva dommage de ne pas suivre le vers. Il semblait être appelé. Le suivre pouvait donner une nouvelle information, pas vrai ? Il acquiesca à sa propre question. Rien ne l'empêchait de le disséquer après. Le meilleur des deux mondes.
Rien ne nous empêche de faire l'un, puis l'autre. Mais d'abord...As-tu une carte de notre pays ?
Néanmoins, Bankichi n'était pas foncièrement connu pour sa bravoure. C'était un pleutre. Il prenait ses précautions. La dernière fois, une armure lui avait permis d'éviter de partager le sort des civiles. Evidemment, un simple Yokaï n'aurait jamais été suffisamment fort pour faire plier sa volonté régalienne. Il s'agissait de ne pas prendre de risque inutile, un besoin protocolaire souvent inutile mais qui faisait bon à suivre pour les apparences.
Les apparences, donc.
Ne la laisse pas entrer en contact avec ton corps, prends des distances. Au moindre risque, dissèque-là de suite, sinon je ne répondrais pas de ta santé.
La sienne (d'apparence) changea assez rapidement, une fois son chakra ancestrale activé. Un voile blanc se drapa sur son corps, le couvrant intégralement d'un ivoire aussi éclatant que solide. Une armure clanique, et pas des moins solides. Plutôt le contraire. La dernière fois, elle avait brisée les dents aux tentatives de le corrompre. Pas de raison que cela ne change, cette fois-ci. Il étudia la direction prise, avant de la noter (sur une carte, si Asami pouvait l'aider en ce sens, sinon sur des feuilles disponibles et des repaires imprécis). Cela ne coutait pas grand chose de voir là ou cela allait le mener, même si la ligne droite allait couper le continent en deux.
Puis... il réfléchit quelques instant. Si son premier instinct aurait été de libérer l'animal, il se rendait compte à quel point c'était prématuré. La relâcher était un risque de sécurité. Pour lui, pour un autre kirijin. Il pouvait mitiger ce risque, bien sûr, en se protégeant d'une armure. Et c'était bien insuffisant. Bankichi n'était pas n'importe qui. Il était le futur Khan. Ses capacités étaient supérieures à celle de la simple plèbe qui évoluait autours de lui. Quelque chose attirait cette créature - au-delà du visuel. Un signal. Une piste de chakra, peut-être ? C'était une information exploitable. Il avait un début d'idée. Un moment de génie intellectuel. Et il pouvait l'exploiter d'une bien meilleure façon qu'il tenta d'expliquer à sa partenaire.
Si le vers est attiré dans une direction, il suffit de le découvrir avant de s'y rendre, et de prendre les mesures de précautions nécessaires... Hmm, allons peut-être refaire ce relevé à partir de différents points de la muraille du village, et de tracer sur la carte des droites à chaque direction donnée par le vers. L'origine devrait être l'intersection de ces droites. De cette manière, nous pourrons estimer où se situe l'origine de l'appel que reçoit le vers. Si c'est un signal vers l'original, par exemple, cela serait un excellent moyen de le traquer et d'envoyer nos monstres à nous à ses trousses.
Sans aucun doute, cela mériterait une accolade de l'administration et un bonus extraordinaire, pas vrai ? Après avoir exposé son plan, Bankichi se dirigea vers une extrêmité du village, en voyageant de manière perpendiculaire à la direction qui attirait l'insecte.
© Bankichi - technique utilisée:
Armure du Diable — BNinjutsu SpécialL'utilisateur crée tout autour de lui une armure d'os à base de cartilages renforcés. Une fois entièrement entouré, celui-ci se verra protégé d'attaques à la puissance modéré et pourra les encaisser sans broncher.
DEFENSEMULTIDIRECTIONNELLEPUISSANCE DE RANG B
- explication:
Puisque le vers veux se diriger vers un endroit, Bankichi va dans une autre direction et regarde si le vers adapte sa direction. Si oui, il fait l'équivalent d'une triangulisation sommaire pour avoir une idée sur carte de ce qui attire le vers.
- schéma explicatif:
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Mar 1 Aoû - 13:27
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Le choix se posait à vous sur ce que vous aviez à faire de cette bestiole. Vous aviez donc deux possibilités : la disséquer maintenant, afin d'en apprendre plus sur le fonctionnement des Yokai... ou vous plonger plutôt dans une deuxième opportunité qui se présentait à vous. En effet, vous aviez remarqué tous les deux qu'elle prenait une direction bien particulière. Qu'elle soit appelée ou qu'elle se dirige machinalement vers ce lieu qui vous était inconnu, vous ne pouviez évidemment encore le savoir, mais vous prîtes la décision de faire ce qui vous semblait être le plus sage...
Utiliser une carte, tracer des trajectoires au vu des directions prises par les larves et utiliser ces trajectoires afin de trouver une zone précise : celle dans laquelle souhaitait se rendre ce résidu de Yokai.
Bankichi – et Asami, si elle souhaitait s'aventurer avec lui –, se rendit comme prévu à une extrémité du village. Protégé par sa carcasse d'os qui empêchait complètement la larve de se débattre et de sortir de son emprise – alors que vous voyiez bien qu'elle rêvait de s'échapper de sa poigne –, il se rendit rapidement compte que son idée porta ses fruits...
La larve adapta sa trajectoire en direction de sa destination. Et peu importe de combien d'endroits vous partiriez, elle ne ferait sûrement que s'adapter pour se rendre à cet endroit précis.
Votre choix était maintenant bien plus large. Vous aviez une idée d'où voulait aller cette larve...
Alors qu'en feriez-vous ?- Informations:
Le plan de Bankichi porte ses fruits et, grâce à une carte et à un tracer de différentes trajectoires, vous aviez une idée de l'endroit où la larve souhaite se rendre. Simplement, maintenant que vous faisiez face à cette possibilité... Que déciderez-vous de faire ? Lieu localisé sur votre carte : https://zupimages.net/up/23/31/ni1r.png
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Jeu 3 Aoû - 22:50
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un Ver, Vert, Vers le VerreÀ l’entente de la décision du Kaguya, elle désactivait cette charge en chakra qui parcourait son corps jusqu’à atteindre l’extrémité de sa dextre. Disparaissant aussi rapidement qu’il était apparu, le chakra tranchant des arts médicaux shinobi n’était simplement plus. Finalement, elle avait pris la décision dans les mains de la brume, mais si l’idée d’étudier la bête la fascinait, elle ne pouvait que comprendre les explications de son interlocuteur. En fait, elle jugeait même que son idée relevait du génie et ne pouvait que croiser les bras en arborant un léger sourire en coin. [Asami] - Soit ! Allons-y pour une promenade de santé.Elle avait feint une réaction en observant l’armure du Kaguya se former sur son corps. Pour cette spécialiste de la médecine, les pouvoirs des maîtres des Os avaient un petit je-ne-sais-quoi d’intriguant. Pour cette être capable de maîtriser le chakra, le fait qu’ils pouvaient les manipuler sans le moindre mudra rajoutait une once d’intérêt à ce qui était déjà particulier… mais pour cette femme né en partie du clan Isatsu. Un clan aux idéaux envahissant et obsessif… Peut-être était-ce là la naissance de pensées envahissantes. *** Un certain laps de temps passait tandis que le Kaguya et l’Uzumaki arpentaient les dédales de la cité de la brume. Armés d’une carte du pays de l’eau, ils traquaient les désirs bestiaux des créatures que détenait Bankichi. Recouvert de ses os et au coeur d’une protection, il n’avait pas à craindre des répercussions des rejetons. Calculant les différentes trajectoires, Asami gardait un oeil attentif sur les bêtes, quoiqu’une attention absente lorsqu’elle dessinait sur le lin du parchemin qu’elle détenait. [Asami] - On a une localisation. On n'y va ou on avertie les autorités ? Dans tous les cas, je pense que ça serait une bonne idée d'aller jeter un oeil à ce qu'elles pointent.Bien sûr que c’était une idée de con… " Deux incompétents s'enfoncent dans la forêt " étaient certainement le début d'une mauvaise blague. - Résumé:
― Asami suit Bankichi. ― Elle demande si c'est une bonne idée qu'il se rende à deux, mais nomme être très curieuse d'aller voir ce qui se trame
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Ven 4 Aoû - 0:01
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] PURGE Ft. Bankichi, et Asami
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Bankichi avait tracé les droites, et la localisation était étonnamment précise. Les larves pointaient également devant elles, et pas dans le sol ou vers le ciel - d'autres informations conséquentielles. La croix était figée sur la carte, et sa présence brûlait sa rétine pour une autre raison. Une croix rouge qu'il traça un peu au sud-ouest de la première croix. Celle-ci était différente, c'était l'endroit où avait eut lieu l'expédition. Otone.
C'est proche de l'apparition du Yokaï.
Des flash de cette nuit lui revinrent en tête. Les yokaï qu'il avait affronté, avant d'en capturer deux. De sa cousine avalée. Du monstre Yokaï au chakra vertigineux qu'il avait décidé de ne pas affronter - pour de bonnes raisons. Son sang Kaguya ne s'était pas enflammé devant cette adversité-là, heureusement. Le contraire. Il était devenu de glace, et lui avait apporté une clarté exceptionnelle, cristalline - la vision qu'il n'y avait que la Mort qui l'attendait s'il désirait affronter cette abomination. Et qu'il tenait bien trop à la vie pour cela. Il était silencieux.
Plusieurs secondes.
Il compris aussi que le système qu'il avait mis au point était peut-être plus qu'une simple indication statique sur une carte. Ces données pouvaient être mesurée en temps réelle, et être utilisée pour anticiper un mouvement étranger, ou un assaut potentiel. Voir même traquer précisément le Yokaï originel, si sa théorie était fondée. Mais il fallait le tester, le vérifier. Et ne pas y aller les mains vides la fleur au kunaï.
Je retire ce que j'ai dis, il faut garder ces larves en vie, et voir absolument vers quoi elles mènent. C'est primordial pour Kiri. C'est également primordial qu'il y ait la bonne force de frappe qui y aille - ou avec des compétences de sensorialité adéquate.
Ce qu'il ne possédait pas. Absolument pas. Il était puissant certes. Ou pas. Mais ces domaines étaient encore hors de sa portée. Il se rognait un ongle devant la prise de décision nécessaire. Asami avait suggéré d'aller voir les autorités. Et elle avait raison, bien entendu. Ce n'était pas pour autant que cela lui faisait plaisir car traiter avec l'Autorité... n'allait pas dans ses habitudes. Il frémit en repensant aux monstres qui dirigeaient Kiri. Le trio des chefs de clan. La mizukage. Des monstres de puissance et d'inhumanité, tous les uns autant que les autres, et autant d'obstable entre lui et sa prise de pouvoir du Yuusei. Il ne désirait pas leur parler. Pourtant...
Essayons d'obtenir une entrevue avec la Mizukage, ou si ce n'est pas possible, avec Taosu-sama. Cette est au-dessus de nos capacités, même si... je désire en savoir plus et en faire partie.
Et l'avouer avait extirpé de son corps un bout de son âme, au moins. Ils allèrent trouver un garde à l'entrée du Palais de la Mizukage. Il pris une inspiration. Il ne voulait pas traiter avec les autorités. Il en avait trop peur. Il voulait rester discret. Une bonne excuse de rester paresseux. Pourtant, ce qui lui permit d'aller de l'avant, en cet instant, c'était un sentiment puissant.
L'orgueil, et la vengeance. Un de siens avaient été tué. Il avait du rebrousser chemin. Lui, le futur Khan. Et cela, cela n'avait pas de prix. Ce Yokaï le paierait de sa vie. Il leva un dessin de Yokaï, tiré du bingo book.
Kaguya Bankichi. J'ai participé à l'expédition où Otone a été tué. Nous avons trouvé une information capitale sur le Yokaï mystérieux. Il nous faut une entrevue avec la Mizukage.
© Bankichi - résumé:
Bankichi acquiesce, et décide d'en parler à la Mizukage, ou dans le cas où cela n'est pas possible, sa cheffe de clan. Il va voir un garde du palais de la mizukage et demande une entrevue.
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Mar 8 Aoû - 16:39
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Vous aviez fait un choix des plus sages : prévenir les autorités. Il y avait dans cette situation un quelque chose de frustrant, qui était principalement lié au fait que vous n'aviez pas les capacités actuelles pour faire face à celui que vous pensiez être votre ennemi : Shinchū, celui qui était à l'origine de la mort de la Kaguya mais également de tant de civils. Et vous vous rendâtes devant le bâtiment de la Mizukage. Devant vos yeux, un garde vous toisa avec curiosité avant de vous répondre. Vous pouviez voir de la curiosité mais bien évidemment, il avait le devoir de rester à sa place. "Vous pouvez entrer, Mizukage-sama est apte à vous recevoir."Il était l'heure de faire vos preuves devant la figure emblématique de la Brume, avec cette question qui persistait dans votre tête... Apprécierait-elle que de telles initiatives soient effectuées en solitaires par des Genin ? Vous vous apprêtiez à le savoir. |
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Mar 8 Aoû - 22:23
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] PURGE Ft. Bankichi, et AsamiBankichi remercia le garde puis se tourna vers sa partenaire de crime.
Allons-y, Asami-san. Je prends mes responsabilités. Mes spécimens, ma découverte, mes emmerdes.
Il inspira à fond, avant de tendre un des bocals à Asami et de prendre la carte de l'archipel du pays de l'eau dans l'autre. Puis il toqua à la porte et ouvrit. Il avança dans ce bureau si intimidant, avec la personne encore plus intimidante qui siégeait en ces lieux. Véritable déesse en ces murs. Quelqu'un qu'il aurait voulut ignorer le plus longtemps possible, dont il aurait voulu se cacher à ces yeux nâcrés. Ses ambitions de conquête du monde avaient ici un obstable de taille. Oserait-il seulement un jour se dresser devant ce monstre humain dont la puissance faisait frisonner chaque cellule de son corps ? Une femme dont le pouvoir était inconnue de ses sujets et qui était arrivée à la position la plus illustre qu'il soit.
A part celle de Daimyo.
Il mit un genoux à terre et pencha la tête, serrant le bocal contre son bras armuré de ses os kaguya.
Mizukage-sama, bonjour. Excusez-nous de cette entrevue non prévue, mais nous avons trouvée une information capitale sur Shinchu, potentiellement sa localisation actuelle. Ici.
Il se releva - prenant délicatement garde à son bocal dans son bras - puis déposa la carte de l'archipel sur le bureau de la mizukage, avec la croix rouge qui était visiblement (via des tracés au crayon) l'intersection entre trois droites. Ensuite, il déposa une des larves enbocalée sur le bureau et tapota sur le verre pour la réveillée au besoin, et la mettre en activité. L'idée était de reproduire l'évènement où la larve pointait dans une direction afin que la mizukage puisse voir d'elle-même le procédé.
L'information est dérivée d'une direction qui fait réagir ces deux larves, issues de lui et que j'ai capturées lors de l'expédition. J'ai réitéré la mesure dans tout le village, ce qui m'a donné cette localisation. Ce n'est pas certain que cela soit sa localisation à lui - cela serait idéal, bien sûr bien qu'optimiste, mais quelque chose attire ces larves et c'est au minima un indice sur ce qu'il est en train de faire en ce moment - et potentiellement sur ce qu'il compte faire dans le futur, tant que nous maintenons ces larves en vie. Je ... Nous avons jugé que cette information était la plus utile dans vos mains, plutôt que de prendre des actions supplémentaires.
Plusieurs choses étaient à noter dans cette localisation, bien sûr. La localisation proche de là où le Yokai avait trucidé des kirijins. La localisation proche avec le Palais royal, aussi. Le fait que cette tanière - ou cette embuscade - était proche du village en lui-même. Tout cela était inquiétant. Il avait une multitude de choses à ajouter, mais se mordit les lèvres pour ne pas outrepasser le scope de son travail, et le niveau auquel il était sensé faire abstraction. Garder profil bas, malgré tout. Malgré ces circonstances.
© Bankichi - Spoiler:
En accord avec Asami, je poste en premier car je prends "le lead" et asami est plus en support.
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Mer 9 Aoû - 20:43
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un Ver, Vert, Vers le VerreAsami portrait sa dextre à son menton. Elle était en accord avec ce que lui échangeait Bankichi et sur sa vision d’une force d’intervention un tant soit peu plus compétente qu’un Genin et une curieuse. [Asami] - Tu crois que ça pointe vraiment vers la créature ? Que personne ne Kiri ne l’aurait repéré malgré leurs recherches…Ça, elle en était moins certaine. Il était évident que les bêtes étaient énigmatiques et que ce vers quoi elles pointent ne pouvait qu’être riche en information, mais de là à pointer vers leurs créatrices ? Ce n’était pas impossible, mais elle trouvait ça un peu tiré par les cheveux… [Asami] - ... mais je ne parviens pas à trouver une alternative.Au final, l’Uzumaki n’avait véritablement pas d’affaire à s’impliquer dans quelque chose d’aussi sensible pour le village de Kiri, mais elle ne pouvait chasser les blessures de Mamoru, Hino et le fait que trois kirijins avaient perdu la vie. Peut-être que ça aurait été différent si quelqu’un maîtrisant l’Iroujutsu avait été avec eux. [...] Pénétrant au coeur de l’administration Kirijine, Asami s’effaçait complètement. Restant en recul, elle laissait Bankichi porter les interactions. Elle jugeait que sa présence, celle d’une simple civil, n’avait aucune valeur face à ce qui se déroulait devant elle. [Asami] - Bonne chance ! Déclarait-elle à Bankichi en toute sincérité. Elle taisait aussi cette attitude horripilante qu’elle arborait tel un véritable mécanisme de défense afin de mettre les gens à distance. Ici, dans le bureau de la Mizukage, elle savait pertinemment que ses origines avaient un poids et qu’elle ne pouvait pas simplement faire comme si c’était une journée ordinaire. Autant l’Eisei pouvait être désagréable, autant elle était quelqu’un de réfléchi et savait quand il était le temps de se taire. Face à celle qui manipule la cité cachée par la brume, Asami avait un pas de recul derrière Bankichi. Il était évident qu’elle lui laissait autant l’espace physique, de par cette menace qu’il avait d’enfermer en son être, que psychique, car elle se trouvait face à une sommité et qu’elle-même n’était pas genin. |
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Lun 14 Aoû - 13:20
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Hadо̄ Oboroge, Shodaime MizukageLa personne que vous rencontriez à l'instant n'était ni plus ni moins que l'ombre de l'eau. La deuxième personnalité la plus importante du Pays de l'Eau mais également l'une des personnes les plus effacées qu'il vous était possible de rencontrer. Vous l'aviez déjà vu, pour la moitié d'entre vous, lors de la réunion qui s'était tenue entre les shinobis de Kiri et le Quatuor de Mizu, peuplé des trois chefs de clan ainsi que d'elle-même. Et c'était même pendant cette période que vous l'aviez perçue, elle, froide et tranchante, juste et maline, comme si elle était l'image même de ce que devait être Kiri. Et c'était d'ailleurs sous cet argument qu'elle avait été élue à l'époque, ce qui n'était un secret pour personne lorsqu'on connaissait plus ou moins le profil de celui qui l'avait installée au pouvoir – le troisième Daimyô –. En pénétrant dans la pièce, vous aviez pu voir qu'elle était assise à son bureau. Son visage paraissait particulièrement calme comme si elle sortait d'une grande période de concentration, mais ses mains étaient surtout encore liées comme si elle analysait déjà votre simple arrivée. Son regard froid vous toisa l'ombre d'un instant, sans vouloir paraître cruelle ou injuste, car elle se doutait que si vous étiez tous les deux ici, ce n'était pas pour rien. Vous aviez été invités à entrer, à grimper le long de cette immense tour qui gouvernait le centre de Kiri et si vous tourniez les yeux dans sa pièce, vous pouviez d'ailleurs percevoir tous les environs et ce sur des kilomètres. De sa position, elle avait la vue de tout le village et plus loin encore, et vous pouviez même vous demander à quoi cela pouvait bien servir. Sûrement à savoir où intervenir et quand, afin d'envoyer des escouades précisément sur les lieux. Elle vous écouta attentivement, principalement Bankichi qui mis en avant ses découvertes. Un fin sourire s'immisça sur ses lèvres... de la fierté, sans aucun doute. « Et vous aviez parfaitement raison. » , commença t'elle pour rebondir à la toute dernière phrase du Kaguya. « Vous y rendre seul ou agir seuls, cela aurait été inconscient. Nous ne parlons pas de n'importe qui. » Elle prit un instant pour se remémorer de tout ce qu'il venait de lui partager et elle reprit déjà. « C'est une piste très intéressante. Nul doute que votre ingéniosité servira la Brume, dans le futur. Vous êtes en très bonne voie pour devenir Chûunin, Kaguya Bankichi. Sûrement attendrons-nous que vous preniez encore un peu de galon et d'expérience avant de vous proposer, mais vos efforts sont appréciés et pris en compte. Quant à vous, Uzumaki Asami, veuillez accepter ces quelques ryôs en guise de remerciement pour votre aide envers notre cité. » Son sourire se tarit, elle reprit tout simplement sa concentration pour réfléchir à un mode d'emploi. Comment aborder ce monstre qui avait traumatisé les Genin ? « Veuillez me partager tous les documents qui sont en votre possession et qui servirons à établir un plan d'action. Nous attendrons que nos effectifs soient revenus de leur mission avant de nous atteler à cette initiative. Nous ouvrirons ces portes à tous les désireux d'en venir à bout, mais n'oubliez pas une chose... » Elle était prête à mettre les moyens de le faire tomber, visiblement... « Ne vous proposez pas si vous êtes un poids pour nos Jônin. Certains y perdront la vie, sans aucun doute. Faites en sortes que ce ne soit pas de votre faute. » Vous aviez les conditions mais sûrement que vous n'étiez pas les seuls visés... tous les Genin auraient sûrement les mêmes règles à respecter. « Vous pouvez partir dès que vous m'avez partagé tout ce que vous avez découvert, et tous les objets qui peuvent servir à l'élaboration d'un plan. » Il ne vous restait qu'à conclure et à prendre la porte lorsque vous aurez terminé. Vous auriez bien compris que l'Ombre de l'Eau ne faisait pas dans le superficiel. - Informations:
En plus de toutes les informations partagées, Uzumaki Asami gagne 200 000 ryôs pour son aide à la cité. La récompense de Bankichi est quant à elle directement liée à sa future promotion de Chuunin.
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Mer 16 Aoû - 10:00
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] PURGE Ft. Bankichi, et Asami Elle écouta dans le silence, la mizukage. Avant de finalement lui donner raison, et de les complimenter, tous les deux. Il était même mention d'avancer dans sa promotion vers le grade de chunin, ce qui avait un gout étrange dans sa bouche. D'un côté, c'était naturel au vu de ses compétences et de qui il allait devenir. D'un autre, il avait la volonté de rester discret des autorités. C'était pour cela qu'il avait hésité à venir initialement vers la mizukage. Quoi qu'il en soit, si chasse il devait y avoir, il en serait de la partie. Il savait se défendre.
La carte, et les deux vers. C'est tout ce dont je dois vous laisser.
Tout était déjà sur le bureau, il n'avait pas d'autres documents. Cela faisait un petit vide dans son coeur de voir partir ces deux petits vers Yokaï. Il aurait tellement voulut pouvoir les couper en petit morceaux. Hélas, il leur avait trouvé une utilité pour toute la brume, et le sacrifice de les garder en vie en valait la peine.
Il serait intéressant de garder les deux yokaïs au cas où notre cible s'enfuit, pour pouvoir le traquer. Je recommande de vérifier régulièrement la solidité de leur bocaux et de leur cage. Je vous remercie de votre temps, Mizukage-sama.
Il la salua avant de pivoter et de partir en directement de son ennemi juré : les escaliers. Et il y en avait une tonne avant de redescendre. Pourquoi est-ce que la cheffe de son village tenait tellement à être exposée en hauteur ? A sa place, ca serait uniquement pour pouvoir tirer des pieux d'os sur tous les ennemis de sa nation, mais elle n'était pas Kaguya et...
... Hum, amusant, il ne connaissait absolument pas ses capacités. Une question pour un autre jour.
© Bankichi |
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Jeu 17 Aoû - 2:10
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un ver, vert, vers le verreLe coeur d’Asami sautait un battement en attendant la figure la plus importante de la cité de la brume la citer par son nom. Certes, n’importe quel abruti pouvait saisir la nature de la naissance de l’Eisei en jetant un simple regard sur la couleur anormale de sa crinière, mais de là à être connu de nom par la Mizukage, ça donnait pratiquement froid dans le dos. Que savait-elle d’elle autre à son sujet ? Elle, un vulgaire médecin se tapant l’incruste quand elle pouvait. Écoutant avec cet ultime silence qui l’avait caractérisé depuis son entrée dans le bureau de l’Ombre, Asami s’inclinait simplement lorsque cette dernière lui offrit une somme d’argent. Un montant qui la surprenait, car elle n’avait véritablement rien fait mise-à-part suivre les pas du Kaguya. Mais elle savait que ce n’était pas bien vu de refuser un cadeau. - ou plutôt c’était là la seule et unique raison qui lui permettrait d’accepter l’argent sans virer complètement obsessive à l’idée qu’elle ne le méritait pas.- Lorsque vint la finalité et ce message pourtant si lourd de sens, l’Uzumaki posait son regard d’Alexandria sur cette dernière en adoptant une attitude pourtant si loin de la “Asami” qu’elle présentait généralement. D’une voix légère et pourtant véritablement sincère, bien qu’on pouvait fortement en douter en connaissant le caractère de cette derrière, elle offrait quelques mots à l’Ombre de l’eau. [Asami] - Jamais je n’oserais prétendre aux capacités de l’élite de Kiri, je me tiendrais loin d’un contact rapproché. Cependant, si vous jugez que mes talents avec l’Iroujutsu pourrait vous être utile, n’hésitez pas à me faire signe.Impossible pour elle de ne pas être un fardeau, alors qu'elle ne possédait aucune formation digne des Kirijines. Ça n’empêchait pas qu’elle pouvait peut-être reste en retrait afin de venir à ceux et à celles qui se retrouveraient blessés dans l’affrontement, si les autorités jugeaient que c'était nécessaire. Cependant, avant de tourner les talons, elle s’exprimait une dernière fois. [Asami] - Sur un autre sujet. L’un de vos exécuteur est venu me porter le corps de l’un des miens. Je comptes quitter pour Uzu afin qu'il puisse reposer parmi les tourbillons et s’il y a quoique ce soit que vous aimeriez que je transmettre à mon clan, il me fera plaisir de le leur apporter en même temps. |
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Sam 2 Sep - 23:21
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] Un ver, vert, vers le verre Ft. Bankichi, des vers, et des poèmes La descente de la tour fut presque aussi difficile que la montée. Des marches. Des marches. Encore des marches. Il hésita à se jeter par la fenêtre et à tester la solidité de son armure Kaguyesque. La seule chose qui le retint, c'était la possibilité de détruire un toit a côté et qu'on le facture du montant des réparations.
Les marches, donc.
Une descente silencieuse. Derrière lui, Asami la mercenaire Uzumaki, auto proclamée médecin - bien qu'il n'en avait jamais vu la confirmation réelle en ce jour, à part le fait qu'elle se baladait dans un hopital et qu'elle semblait occupée. Il aurait peut-être du lui demander ses certifications avant de l'emmener voir la Kage de son village. Une réflexion pour un autre jour.
Car aujourd'hui, ce qui occupait son esprit, c'était avant tout cette expédition. Dangereuse. Etait-il un fardeau ? Au corps-à-corps, certainement. A distance ? Mmmh, moins certain. Il disposait de défenses appropriées pour un genin, mais la cible était d'un niveau bien supérieur. Il devrait travailler sur son armure et sa technique de projectile à longue distance, certainement. C'était ce qui faisait stratégiquement le plus de sens. Et discuter avec son pacte des salamandres pour avoir un spécialiste futon à ses côtés peut-être. Il y avait une synergie à aller chercher et...
... Il se perdait dans ses considérations que ses pieds touchèrent enfin le sol. ENFIN ! Satanée tour de babel. Il s'adressa à celle sans qui tout cela n'aurait pas été possible.
Merci Asami pour le soutien... moral ? Nous serons amener à travailler encore ensemble, je le crains. Aujourd'hui tu auras reçu une belle récompense. Mon dû à moi, je l'aurais quand on butera ce monstre.
La rage commença à lui taper dans les veines. C'était rare, mais son sang Kaguya était une bête féroce en cage qui arrivait parfois à grogner derrière les barreaux. Il devrait hâter ses préparatifs pour être à la hauteur d'une telle mission.
A la prochaine fois.
Il s'en alla en direction des quartiers Kaguya. Une bonne nuit de sommeil l'attendait pour finir cette journée haute en émotions.
© Bankichi - Spoiler:
MERCI POUR LE RP !
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Mer 6 Sep - 21:09
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre]
Un ver, vert, vers le verre
N’étant pas sollicité par la Mizukage face à sa proposition, l’Uzumaki ne perdit pas un instant et tournait les talons. Si elle avait tenté de glaner quelques informations, c'eût été un échec. Quoiqu'elle n’avait pas l'arrogance de croire qu’elle parviendrait à décoder la plus haute sphère de la société Kirijin, en excluant bien entendu le Daimyo de l’eau.
Suivant le pas de Bankichi, elle quittait le bureau de l’Ombre et échangeait quelques instants avec le soldat d’Ivoire.
[Asami] - Ne me remerciez pas pour si peu. Je n’ai fait que suivre le mouvement et j’en ai récolté quelques gains. C’est plutôt moi qui devrais vous remercier.
Rigolait-elle face à l’inconfort qu’elle vivait. Elle s’était tapée l’incruste et en avait récolté 200.000 ryos. C’était sans doute la plus belle récompense de sa vie face à cette curiosité obsessionnelle qui l’habitait par moment.
[Asami] - N’Hésitez pas à venir me voir à l’hôpital au besoin. Histoire que je justifie un peu mon salaire.
Sur ses maux, elle le saluait de la main et quittait en direction de sa propre chaumière. Quelques ryos en poche, ça allait lui permettre de facilement payer son gîte et son couvert pour les mois à venir.
- Spoiler:
Merci pour le RP et merci pour la narration !
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« We’re all stories, in the end. Just make it a good one. » |
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▶ Sujet: Re: Un ver, vert, vers le verre [Libre] |
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